LA HALDE RAPPELLE A L'ORDRE L'UNIVERSITE MONTPELLIER 1 SUR LE PRINCIPE DE LAÏCITE
Saisie par la Cimade, la Halde vient de prendre une délibération qui épingle la présidence de l'université de Montpellier 1.
Les faits : durant l'année universitaire 2007/08, une professeure de langue intervenant en Administration économique et sociale (AES) refuse, au motif d'une interprétation personnelle de la laïcité, que des étudiantes portant le voile assiste à ses cours.
Informée des faits, la présidence de l'université n'a pas jugé nécessaire, au regard de cette violation manifeste du Code de l'éducation, de rappeler à l'ordre la professeure.
Pour la Halde, l'absence de réaction est une faute qui engage la responsabilité de la présidence de l'université.
Elle rappelle à la Présidente de l'université et à la professeure incriminée les termes des articles 432-7 et 225-1 et suivants du code pénal, en soulignant que si de tels comportements devaient à nouveau être portés à sa connaissance, malgré le rappel des termes de la loi, des suites adaptées y seraient données.
"concrètement" elle a eu au moins le mérite de dénoncer cette discrimination alors que les associations musulmanes et la société civile surtout les musulmans restent et resteront passives
je suis d'accord avec vous' tout est de notre faute. Certains français se battent plus pour nos droit que nous même. Notre manque de solidarité nous conduira à notre perte... Faut ouvrir les yeux, se reveiller se battre sans arme, aimer l'autre même s'il nous deteste...
Lettre aux députés Collectif des musulmans de France (CMF) lundi 20 octobre 2008
Madame Monsieur, Vous venez de vous associer à la démarche de Madame Françoise Hostallier députée du Nord , dont les opinions envers l’Islam et les musulmans ne sont plus un secret, afin de déposer un projet de loi visant à interdire (allons droit au but) le port du foulard pour les femmes musulmanes lors des sorties scolaires. Nous vous informons , au cas où vous ne le sauriez pas, que la HALDE s’est prononcée sur ce sujet et a considéré qu’il était discriminatoire d’exclure ces mères de famille lors des sorties scolaires.
C’est pourquoi nous sommes choqués et scandalisés par votre soutien à cette démarche qui vise à remettre en cause des décisions et avis donnés par une instance mise en place par l’Etat Français, en vue de protéger une catégorie de citoyens des attaques et campagnes islamophobes qui deviennent monnaie courante ces dernières années et qui sont alimentées par des personnes dangereuse pour la paix civile et sociale, le vivre-ensemble et l’avenir de notre pays.
Le Président de la République a dit "l’islamophobie c’est comme le racisme et l’anti-sémitisme ça ne s’explique pas ça se combat" or, d’une part le gouvernement actuel ne fait rien pour combattre cette islamophobie et les politiques tels que vous , par cette proposition de loi, allez l’encourager avec tous les risques que celà comporte tant dans l’hexagone qu’à l’étranger pour l’image et les intérêts de la France.
C’est pourquoi nous vous invitons, dans l’intérêt collectif et national, à revenir sur votre décision de soutenir une telle démarche qui va diaboliser encore un peu plus les citoyens français de confession musulmane en les transformant en bouc-émissaires.
Nous souhaitons vivement que de telles initiatives soient dénoncées et étouffées par nos élus et non pas promues et soutenues comme vous le faites.
Nous espérons ne pas être amenés à faire des campagnes d’information et de dénonciation, pendant et hors des échéances électorales, en vue d’informer vos électeurs et potentiels électeurs sur cet acharnement orchestré contre une partie de la population française.
Ne doutant pas que votre sens des responsabilités vous amènera à mesurer les conséquences d’une telle posture politique si elle venait à aboutir, recevez Madame Monsieur mes salutations distinguées.
LA HALDE RAPPELLE A L'ORDRE L'UNIVERSITE MONTPELLIER 1 SUR LE PRINCIPE DE LAÏCITE
Saisie par la Cimade, la Halde vient de prendre une délibération qui épingle la présidence de l'université de Montpellier 1.
Les faits : durant l'année universitaire 2007/08, une professeure de langue intervenant en Administration économique et sociale (AES) refuse, au motif d'une interprétation personnelle de la laïcité, que des étudiantes portant le voile assiste à ses cours.
Informée des faits, la présidence de l'université n'a pas jugé nécessaire, au regard de cette violation manifeste du Code de l'éducation, de rappeler à l'ordre la professeure.
Pour la Halde, l'absence de réaction est une faute qui engage la responsabilité de la présidence de l'université.
Elle rappelle à la Présidente de l'université et à la professeure incriminée les termes des articles 432-7 et 225-1 et suivants du code pénal, en soulignant que si de tels comportements devaient à nouveau être portés à sa connaissance, malgré le rappel des termes de la loi, des suites adaptées y seraient données.
A la rentrée, une élève se présente avec son voile en cours d'espagnol. L'enseignante la repére tout de suite et pendant que les étudiants se font passer des feuilles qu'elle-même a ramené, elle demande discrétement à l'étudiante de venir la voir à la fin de l'heure. Celle-ci sait tès bien de quoi ikl en retourne car elle a eu certains retours concernant cette même enseignante. Donc à la fin de l'heure, elle s'empresse de s'éclipser, mais Mme la laïque ne l'a pas oublié, elle le lui rappelle. Donc l'étudiante en question revient sur ses pas, et s'entend dire que si elle voulait être acceptée en cours elle devra désormais quitter son voile. ce que l'étudiante refuse bien évidemment. Et elle se présente au cours suivant. Là l'enseignante l'ignore complétement quand elle fait l'appel ou bien quand elle répond à une question. L'étudiante qui dans son droit et le sait pertinemment va jusqu'à interpellé l'enseignante et lui rappelle qu'elle se doit de la considérer, elle demande à l'enseignante de lui fournir une explication valable de cette différence de traitement. Ce que l'enseignante est incapable de faire, et c'est normal. L'étudinate continue d'aller en cours, y participe sans pour autant en gêner le déroulement, bien que l'on ait décidé de l'ignorer. Pire, l'enseignate la menace d'expulsion de cours, de rapport etc.. sous pretexte qu'elle perturbe le cours!! L'étudiante ne se laisse pas démonter pour autant, et au cours suivant elle le montre. Nouvelle menace. mais cette fois-ci, les autres étudiants prennent sa défense et font remarquer à l'enseignante qu'elle a tort. Entre-temps, la jeune fille en question s'était adressée à la présidence de l'université. Et on ne peut pas dire qu'ils n'étaient pas au courant et que c'était la premiére fois. On lui as bien fait comprendre qu'il vallait mieux qu'elle retire son voile, que de toute façon c'était la derniére année de cette enseignante dans cette université. Bref même la présidence a du mal à rappeller à l'ordre ses brebis galeuse. Il a suffit qu'elle saisisse la HALDE (qui n'a juste qu'un rôle de rappel à l'ordre) pour que cette enseignante comprenne ce qu'elle ne veut pas comprendre.
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