Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
La haine encore et toujours......
m
30 août 2004 15:25
Salut a tous,

Le gagne-pain du journal-torchon algérien "l'expression" est décidément le dénigrement du Maroc avec des articles toujours écrits pour susciter l'émotion de la rue algérienne et de la dresser chaque jour un peu plus contre le Maroc.

Après El Watan, qui avait accusé il y a quelques années le Maroc d'abriter les assassins du GIA après les tueries de Béchar (miséricorde aux victimes), ce journal soviétique qui porte mal son nom nous dégaine aujourd'hui l'article que voici:


BÉCHAR
Des bandits marocains arrêtés
30 août 2004 - Page : 7


L’immigration clandestine continue d’être un fléau qui porte un grave préjudice à l’économie de la région frontalière.


En l’absence d’une véritable volonté des voisins marocains de juguler le phénomène, l’Algérie continuera d’être le réceptacle de tous les clandestins et les sans-papiers refoulés du Maroc. Mais ce qui inquiète surtout c’est l’apparition de bandits de grands chemins qui ont commencé à écumer certains régions frontalières du Sud-Ouest. Ces derniers, des sujets marocains pour la plupart, s’attaquent, selon des sources locales, aux troupeaux de chameaux qui passent en liberté dans les vastes étendues du Sahara. Pis encore, certains individus interpellés étaient en possession d’armes à feu, de jumelles et de moyens de communication, ce qui laisse penser à l’existence d’un véritable réseau de trafic qui pourrait s’approvisionner en Algérie (grâce au vol avec violence) pour alimenter certains pays européens. Il y a quelques jours (le 27 août), un ressortissant marocain, âgé de 65 ans, qui s’était introduit clandestinement en territoire algérien a été appréhendé par les éléments des garde-frontières.
Au cours de l’opération intervenue au lieudit Oued Lahmaïd, non loin de Zegdou (wilaya de Béchar) les gardes-frontières ont saisi un fusil et une paire de jumelles qui constituaient l’arsenal de cet
individu.
Quelques jours auparavant, dans la zone de Hassi El Mir, dans la wilaya de Béchar, des nomades avaient arrêté trois sujets marocains qui avaient tenté de subtiliser des chameaux. Ces individus, qui s’étaient introduits clandestinement en territoire national, étaient munis de paires de jumelles et de fusils de chasse.
Ces faits ne devraient pas en principe être traités comme des événements isolés, bien au contraire, ils semblent constituer des indices prouvant l’existence d’un réseau de trafic qui aurait jeté son dévolu sur les tribus du Sud qui peuplent la région. L’autre fait gravissime signalé, ces derniers jours, dans la région frontalière, est l’arrestation de plusieurs clandestins refoulés du Maroc. Si, auparavant, le phénomène concernait exclusivement des ressortissants de pays subsahariens, aujourd’hui, il s’est étendu pour toucher d’autres nationalités. C’est ainsi qu’à Maghnia, ce sont quatre clandestins bangladeshis qui furent interpellés au moment où ils tentaient de s’introduire illégalement en Algérie.
Cette nouveauté constitue un facteur d’inquiétude puisque le Maroc, lancé, dans le cadre d’accords avec l’Espagne et la France, dans la guerre contre l’émigration clandestine ne s’embarrasse pas pour refouler vers l’Algérie tous les étrangers arrêtés en situation irrégulière sur son territoire. Même si, d’après certaines sources locales, des camps de tri et de détention destinés aux clandestins ont été ouverts dans certaines localités marocaines, cela n’empêche pas les autorités de Rabat de continuer à considérer l’Algérie comme un lieu où elles peuvent se débarrasser de tous les rebus.




Nassim BEN


[www.lexpressiondz.com]


Quel gâchis !





PS: vous constaterez que les journalistes n'ont même pas le courage de mettre leur nom de famille en intégralité (BEN, BEL, etc....)




m
30 août 2004 15:28
"continuera d'être le receptacle": c vrai que c l'eldorado africain les clandestins refusent l'Espagne et l'Europe pour aller en Algérie nager dans l'argent
m
30 août 2004 16:20
si tu veux lire sur le Maroc dans les journaux algeriens, essayes de zapper au moins:

- "L´Expression": qui est purement anti-marocain et se porte volontier parole du Polisario. Parfois on pense qu´il confont le Maroc avec Israel ou un autre pays.

- "EL Khabar": Journal Arabaophone tres connecte aux generaux d´'Alger qui sont au coeur ou meme la cause du maintien de relations tendues entre les deux pays.

- "El Watan": auparavant il y avait quelques articles ou quelques journalistes seulement qui denigrait le Maroc (pas seulement les institutions mais aussi les marocains), mais dernierement il est farouchement anti-Marocain.
m
30 août 2004 16:29
je sais mon frere maroc1 c des jaloux un point c tout ils ont rien a dire


g trouvé un article sur la gazette du maroc qui donne l'avis des algériens sur Boutef pas mal:

lien: [www.lagazettedumaroc.com]

c un peu long mais interessant,


Quand les Algériens fustigent Bouteflika
KARIM SERRAJ
23 2004


Hypothétique ouverture de Zouj Bghal

Après l’annonce de la levée de visa pour les Algériens, les Marocains attendaient un geste tout aussi fort en symboles de la part du gouvernement algérien. Il n’en est rien. Lors de notre périple dans l’Oriental (voir LGM N° 280) nous avons tâté le pouls des populations de la région, et mesuré le degré de leur espoir et de leurs attentes. Aujourd’hui, c’est du côté des Algériens d’Oujda et sa région que nous avons recueillis des points de vue pour le moins étonnants. Ils sont des dizaines d’Oranais, d’Algérois, de Sétifiens qui dénigrent la politique d’un Président “qui gouverne sur un fonds de commerce”. Ils attendent eux aussi l’ouverture des frontières, une normalité qui ferait en sorte que leurs vies soient adaptées à des modes de commerce et de négoce avec les voisins oujdis ou berkanais avec qui ils sont en affaire depuis des années. Le ras-le-bol est généralisé et la colère est montée d’un cran après l’annonce du refus d’ouverture du passage de Zouj Bghal.



Les Algériens aiment venir au Maroc. Quelqu’un nous a donné pour preuves le manque de place sur les lignes aériennes en partance vers le Maroc. Et il en était fier. Ce n’était pas un Marocain, mais bel et bien un Oranais qui répond au nom de Rabeh et qui fait du commerce avec des Oujdis depuis au moins quinze ans. “Je n’ai pas abdiqué. Après la fermeture de Zouj Bghal, j’ai eu un coup sérieux, mais mes amis marocains ne m’ont pas tourné le dos. On s’est ressaisi d’ailleurs et ça marche”. C’est dans le quartier de Lazaret qu’il a élu domicile et fait le va-et-vient entre Oran et Oujda à chaque fois que l’occasion ses présente. Il réagit avec beaucoup de retenue sur la position de son pays et explique en homme cultivé qu’il est le pourquoi du comment : “Les causes sont claires pour nous tous. Il faut maintenant se poser la question comment éviter ce genre de bras de fer. Le Maroc a fait un geste très lourd de sens. On a tous pensé que c’était le début de la fin de la crise. Sans parler du problème du Sahara, qui est une autre affaire, réglable aussi avec de la bonne volonté. Mais je veux juste revenir sur un point essentiel. Pourquoi le Maroc avait fermé ses frontières pour les Algériens ? Je crois qu’on l’oublie souvent : c’était pour se protéger des groupes armés qui ont décimé des populations entières chez nous, et ce n’est un secret pour personne. Il y a eu la fusillade d’Asni à Marrakech et c’étaient des gens qui venaient d’Algérie. Il ne faut pas être un as de la politique pour réagir. C’était un acte terroriste qui a décidé de la fermeture de Zouj Bghal, c’est du moins ce que nous savons depuis cette date. Aujourd’hui, les données sont autres et le Roi Mohammed VI a tendu sa main. C’est à Abdelaziz Bouteflika, le Président, de réagir ”. C’était cela le point qui a déclenché pour nous le sujet de ce reportage. Quel est donc ce point de vue algérien que nous n’avons pas sur l’ouverture probable de Zouj Bghal et est-ce que les Algériens le veulent-ils vraiment. Y gagnent-ils ? Et quoi donc ?

Un Algérien à Lazaret

“Il ne faut pas croire que depuis la fermeture de la frontière les Algériens ont déserté Oujda. C’est un tort de le penser. On en voit tout le temps. Pas autant qu’avant, mais ils viennent ici pour des affaires, pour la famille ou pour négocier de futures affaires.” Hassan tient une épicerie sur la route qui mène à la sortie de la ville vers Zouj Bghal, cette longue ligne droite qui jadis était fleurissante. Il est en affaire avec deux Algériens, deux frères, Salem et Mourad : “C’est grâce à leur argent qu’ils ont ouvert le magasin ici. Ils ont acheté le local et j’ai fourni la marchandise. C’était cela l’arrangement au départ. Puis il y a eu qu’ils ne pouvaient pas venir ici aussi souvent qu’ils le voulaient, alors on a gardé le contact par téléphone ou alors ils venaient une fois par an, l’été, pour qu’on fasse les comptes. Il n’y a jamais eu de problème entre nous. Ils m’ont fait confiance et je n’ai jamais trahi la leur. L’argent que je leur virais quand c’était urgent ou alors il fallait attendre leur venue. Mais c’était dommage car on avait, à la base, décidé de réinvestir cet argent dans d’autres affaires notamment une usine de volaille et un salon de coiffure pour ma sœur. Mais ils avaient peur de s’engager ne sachant pas quand la frontière pourrait s’ouvrir de nouveau.”. Hassan appelle son ami Mourad en Alégrie et nous le passe pour “ vous dire lui-même la vérité”. Quand Mourad réagit de l’autre côté, on a du mal à croire ce qu’il avançait. Il était à la fois triste et amer. Une teinte de colère éteinte, presque une résignation : “Je ne sais pas quoi vous dire d’autre que cela : nous sommes déçus et malheureux. Un homme décide sans se concerter avec le peuple. Je crois que cette affaire mérite un référendum. Votre Roi a écouté les désirs de son peuple, nous, on est opprimés et il faut vivre avec l’amertume de perdre de l’argent, des opportunités de travail avec les Marocains. Ce n’est pas de la politique, c’est de l’enfantillage”. Et Mourad de revenir sur ses rêves de grandes affaires prospères à Oujda et à Berkane où il avait déjà démarché pour un petit business d’export avec des amis algérois qui voulaient investir au Maroc. Il détaille sa vie actuelle et l’impossibilité qu’il vit pour se rendre au Maroc où il a une affaire avec Hassan quand il le veut. “Avant c’était simple. On prend la voiture, et on traverse. En un rien de temps, nous sommes à Oujda. On avait loué un appartement, et on y passait une semaine, deux parfois, même un mois l’été. On allait à la plage de Saïdia. On vivait comme chez nous. Et voilà, tout part en l’air”.

La fuite en avant

Hassan nous donne les contacts d’autres Algériens mariés à Oujda. On va les voir et la surprise est de taille : “J’ai une famille ici. Je ne savais pas comment réagir quand on avait fermé la frontière. Je ne vous cache pas que mon pays me manque, mais il faut savoir que je suis ici chez moi aussi. On ne m’a jamais traité autrement que comme l’un d’eux. Les gens quand ils vous connaissent, ils mettent de côté les griefs politiques. Dommage que chez nous, on n’arrive pas encore à faire la part des choses”. Ali est un quinquagénaire de bonne famille qui a trouvé son compte dans la médina d’Oujda avec sa femme Hasiba, une jeune femme qui dit pouvoir “ suivre son mari là où il le veut, mais c’est lui qui a choisi de rester ici”. Et Ali de confirmer que : “les choses auraient été plus dures là-bas qu’ici. Je vais vous dire pourquoi je suis resté au Maroc : d’abord la sécurité puis la vie y est plus simple et moins dure que chez moi là-bas. Mes enfants vivent bien et j’ai pu me trouver un bon travail ici grâce à la solidarité des gens. Non, je ne regrette pas d’être resté au Maroc”. Ali nous raconte alors des histoires très significatives sur des amis algériens qui ont fait faillite après avoir investi au Maroc. C’étaient des jeunes qui avaient trouvé le filon à Oujda, à Berkane ou à Saïdia et qui avaient la rage d’y arriver. Ils ont mis un paquet d’argent dans des affaires qui ont tenu deux ans ou trois, puis la dégringolade a pris le dessus sur le reste: “Il y a toute une génération qui en veut au gouvernement algérien. Nous aimons l’Algérie, on ne s’en cachepas, mais il faut savoir dire la vérité sur son pays. Et ce que je dis, je le dis par amour. Je veux que la politique change, que Bouteflika ou qui que se soit qui va venir après lui comprenne que nous ne voulons pas d’un éternel conflit avec le Maroc. Moi, j’aime ce pays qui m’a ouvert les bras, ma femme est Marocaine, mes enfants sont autant Marocains qu’Algériens. Il faudra peut-être les couper en deux pour que les deux parts de leur identité soient séparées. C’est une politique d’aveugle et une fuite en avant dont on ne voit pas l’issue”. Et l’exemple de la famille d’Ali n’est pas unique. Selon lui, il y a des dizaines, voire plus de cas comme cela qui attendent que les choses rentrent dans l’ordre : “mais à ce train, je ne pense pas qu’il y ait une volonté chez nous, à Alger, de changer de comportement”.

Sauver les meubles

À Oujda, les Marocains vivaient du commerce avec les visiteurs algériens. Mais au cours des années, d’autres formes de négoce se sont installées. On a ouvert des voies de travail pour faire fructifier l’argent, mais les temps sont durs et pour la plupart des négociants de la région : “il faut ouvrir cette foutue porte pour que les marchandises circulent. Cela a favorisé la contrebande et les trafics de tout genre. Et nous, on se morfond sur les pertes”. C’est un autre Algérien, Abderazzak, natif de Tlemçan, qui fustige tout bonnement le Président algérien Abdelaziz Bouteflika : “C’est lui qui doit abdiquer et partir. Vous vous imaginez que le gros de son travail est une sérieuse campagne anti-marocaine. Il vit sur un fonds de commerce qui ne va pas lui servir trop longtemps. On ne lit que des choses négatives sur le Maroc, mais il faut être dupe pour tout croire. Nous avons vécu ici, nous connaissons cette terre, ses mensonges ne prennent pas au moins chez tous ceux qui ont connu les Marocains et qui savent apprécier les richesses dont regorge le Maroc. À bien y réfléchir, c’est ce qui fait mal de l’autre côté, on a tellement vécu dans la frustration que c’est devenu une seconde nature chez nous de détester ceux qui vivent bien”. Il revient avec nous sur de nombreux cas de jeunes Algériens, parfois issus de l’émigration, qui avaient senti le vent souffler dans l’Oriental et sont venus à Berkane ou ailleurs investir de l’argent. Ils ont été tout simplement ruinés : “Oui, ruinés. Ils ont perdu leur argent. Et là, à l’annonce de cette nouvelle mesure prise par le Maroc ils se sont remis à rêver. J’en connais qui sont prêts à revenir travailler ici, faire fructifier leur argent et cela profite à nous tous. Nous avons besoin du Maroc, et tant qu’on n’a pas saisi cela à Alger, on va droit dans le mur”. On nous raconte l’histoire de Serhane, un jeune beur qui a plié bagage et qui s’en est allé à Paris alors qu’il avait presque conclu l’achat d’une maison à Oujda pour y vivre dans l’espoir d’une belle affaire de tissus qu’il avait conclue avec des amis algériens d’Oran. On nous met au courant du sort de la famille d’un certain Kamal qui a vendu tout ce qu’il possédait à Oujda, fermé son hôtel, divorcé parce que sa femme refusait de partir. Et les histoires se comptent apparemment par centaines de gens séparés, de destins brisés, de vie et de rêves volés. Pour Hassan, notre ami du début, il n’y a rien à faire : “il faut attendre le bon vouloir de monsieur Bouteflika”. Il a entendu lui aussi parler d’une ouverture de frontière prévue pour la fin 2004. Il ne veut pas croire en de fausses rumeurs. “Non, il me faut plus que cela pour espérer. Qui me garantit qu’on ne va pas encore changer d’avis ? J’attends de voir de mes propres yeux les choses redevenir normales pour le croire, entre temps, laissons la contrebande nous ronger puisque de toute manière, cela fait les affaires de l’Algérie que les bidons de gasoil transitent par les terres et que l’informel ruine l’économie de la région”.





c bon de dire la vérité
e
30 août 2004 18:00

l'algérie éldorado,laissez-moi rire grinning smiley si j'étais cinéaste la première chose que la lecture de ce torchon m'aurait inspiré serais un sitcom pour le mois de ramadan à diffuser vers le coup de 7h du matin, heure à laquelle tous les posts de tv sont éteints tellement c'est hilarant grinning smiley

lah yen3el li mayehchem wssafi.
S
30 août 2004 19:20
Bonjour Mymo,

Je reprends la première phrase de cet article :"En l’absence d’une véritable volonté des voisins marocains de juguler le phénomène, l’Algérie continuera d’être le réceptacle de tous les clandestins et les sans-papiers refoulés du Maroc. "
Tu remarqueras là une contradiction chez ce journaleux : le Maroc ne fait rien et en même temps refoule les clandestins, il faut savoir ce que l'on veut, soit le Maroc ne fait rien soit il refoule les clandestins.
L'Algérie, perd du temps à nous envier de la sorte, il serait plus que temps de travailler avec notre pays afin d'envisager un avenir en commun et envisager des échanges économiques plus denses qui enrichirait les deux patries.
On perd son temps à nous chercher des poux. C'est misérable.
L'Algérie va nous envouloir davantage, car le polisario va perdre énormément dans les mois à venir. Il sera disrédité et l'Algérie aura perdu son temps à nous chercher des complications dans cette affaire : c'est de la jalousie.
L'Algérie a emprisonné et emprisonne encore nos compatriotes soldats dans des conditions inhumaines à Tindouf. C'est même un acte de casus belli, qui aurait pu conduire le Maroc à entrer en guerre contre ce pays. Mais les dirigeants marocains ont bien fait de ne pas surencherir.

Allah yahdi ma khlaq
---------------------------------------- Israel doit être jugé pour ses crimes, tôt ou tard.
f
31 août 2004 04:44
Mais dites-moi un royaume ne pourra jamais faire bon ménage avec une dictature militaire....alors maintenant j'ai l'impression que même ceux censés donner des lueurs d'espoir pour un rassemblement sur leurs papiers allument des mèches !

Si demain j'écrivais que ces gens au pouvoir là-bas ont tout fait pour mettre le Maroc à genoux, ils seraient pt être pas contents ! bien que ce fut une vérité !
Excusez du peu...à moi l'oeil du cyclone, orphelin d'une pupille !
m
31 août 2004 10:02
merci mes freres feyssal et salaheddine pour vos interventions


la jalousie engendre la haine, la haine engendre la rancoeur, etc...

c ça leur devise msaken


n'hésitez pas exprimer votre désapprobation a ces journalistes formés par le KGB en leur ecrivant a cette adresse:

[email protected]
 
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook