Citation
amandeblanche a écrit:
Salem Alaykhoum wa rahmat'Allah wa Barakatouh mes soeurs et frères par Allah
Je viendrais alimenter ce post chaque jour au minimum avec un hadith et je serais ravie que vous participiez avec moi
Hadith et verset d'Allah sont les bienvenue donc si vous avez envie de poster les hadith ou verset qui vous ont le plus touché n'hésitez pas inch'Allah
Je commence :
Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
D'après Mahmoud Ibn Labid (qu'Allah l'agrée), le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) a dit: «Certes ce dont j'ai le plus peur pour vous est le polythéisme mineur». Les compagnons ont dit: «Qu'est ce que le polythéisme mineur?». Le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) a répondu: «C'est l'ostentation, le jour du jugement lorsque Allah va juger les gens, il va dire à celui qui pratique cela: Partez vers ceux pour qui vous faisiez de l'ostentation dans la vie d'ici bas et voyez si vous trouvez une récompense auprès d'eux».
(Rapporté par Ahmed et authentifié par Cheikh Albani dans Silsila Sahiha n°951)
Le mot polythéisme (en arabe شرك) qui est parfois traduit par «association» signifie en langue arabe le fait de rendre égal.
Dans l'Islam, les savants ont défini ce terme comme étant le fait de donner un égal à Allah dans une chose qui est spécifique à Allah (sa seigneurie, son droit à être adoré sans une autre divinité, ses noms et attributs)
Le polythéisme se divise en fonction de sa gravité en deux catégories:
- «majeur», il s'agit de ce qui a été défini plus haut. La personne qui pratique ce polythéisme a annulé l'ensemble de ses bonnes actions, le paradis lui est définitivement interdit et donc rentrera dans le feu et il n'a aucun espoir qu'Allah le pardonne.
- «mineur», il s'agit de ce qui a été nommé polythéisme dans les textes du Coran et de la Sunna sans qu'il atteigne le degré du polythéisme majeur. La personne qui pratique ce second type de polythéisme est tombé dans un très grand péché et ceci est un chemin menant vers le polythéisme majeur.
Enfin le mot ostentation (en arabe رياء) signifie le fait de pratiquer un acte d'adoration pour Allah mais de le faire plus long ou plus parfaitement car on sait que l'on ait regardé par quelqu'un d'autre.
As' salem aleykoum
Citation
mohamed.S a écrit:Citation
amandeblanche a écrit:
Salem Alaykhoum wa rahmat'Allah wa Barakatouh mes soeurs et frères par Allah
Je viendrais alimenter ce post chaque jour au minimum avec un hadith et je serais ravie que vous participiez avec moi
Hadith et verset d'Allah sont les bienvenue donc si vous avez envie de poster les hadith ou verset qui vous ont le plus touché n'hésitez pas inch'Allah
Je commence :
Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
D'après Mahmoud Ibn Labid (qu'Allah l'agrée), le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) a dit: «Certes ce dont j'ai le plus peur pour vous est le polythéisme mineur». Les compagnons ont dit: «Qu'est ce que le polythéisme mineur?». Le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) a répondu: «C'est l'ostentation, le jour du jugement lorsque Allah va juger les gens, il va dire à celui qui pratique cela: Partez vers ceux pour qui vous faisiez de l'ostentation dans la vie d'ici bas et voyez si vous trouvez une récompense auprès d'eux».
(Rapporté par Ahmed et authentifié par Cheikh Albani dans Silsila Sahiha n°951)
Le mot polythéisme (en arabe شرك) qui est parfois traduit par «association» signifie en langue arabe le fait de rendre égal.
Dans l'Islam, les savants ont défini ce terme comme étant le fait de donner un égal à Allah dans une chose qui est spécifique à Allah (sa seigneurie, son droit à être adoré sans une autre divinité, ses noms et attributs)
Le polythéisme se divise en fonction de sa gravité en deux catégories:
- «majeur», il s'agit de ce qui a été défini plus haut. La personne qui pratique ce polythéisme a annulé l'ensemble de ses bonnes actions, le paradis lui est définitivement interdit et donc rentrera dans le feu et il n'a aucun espoir qu'Allah le pardonne.
- «mineur», il s'agit de ce qui a été nommé polythéisme dans les textes du Coran et de la Sunna sans qu'il atteigne le degré du polythéisme majeur. La personne qui pratique ce second type de polythéisme est tombé dans un très grand péché et ceci est un chemin menant vers le polythéisme majeur.
Enfin le mot ostentation (en arabe رياء) signifie le fait de pratiquer un acte d'adoration pour Allah mais de le faire plus long ou plus parfaitement car on sait que l'on ait regardé par quelqu'un d'autre.
As' salem aleykoum
Donnes des exemples,stp.
Citation
islam_rappel a écrit:
Citation
amandeblanche a écrit:
Malahbabik sarah tu peux t'incruster autant que tu veux, tu es la bienvenuE mdrrrrrrrrrrrrr
Barak'Allah oufik pour tes hadiths
Citation
islam_rappel a écrit:Citation
amandeblanche a écrit:
Malahbabik sarah tu peux t'incruster autant que tu veux, tu es la bienvenuE mdrrrrrrrrrrrrr
Barak'Allah oufik pour tes hadiths
tu me met lchouma devant les gens
Citation
btiss13 a écrit:
salam voilà un hadith ke j'ai pa trop compris : faut il ou non la permission du conjoint :
Bismillah Ar-Rahmân Ar-Rahîm
Assalam Alaykum wa Rahmatoulah wa Baarakatouhu
Le Jeûne,la Femme,le Mari ....
Abu Hurayrah Radhi Allah 'Anhou rapporte :
Que selon lui, le Prophète Salla Allahu 'alayhi wa sallam a dit ,dans le cas de Jeûnes volontaires(suuréogatoires), une femme n'est pas autorisée à commencer un jeûne libre sans la permission de son mari quand celui-ci est présent :
"Aucune femme ne peut jeûner quand son mari est présent sans sa permission"
(Les femmes doivent rattraper les jours de jeûne qu'elles ont ratés pendant le Ramadhan, même à l'insu de leurs maris. Il n'est pas nécessaire pour une femme d'avoir la permission de son mari. Si une femme commence un jeûne obligatoire, il ne lui est pas permis de l'interrompre sans une raison légitime. Son mari n'est pas autorisé à lui demander de rompre son jeûne quand il s'agit de rattraper un jour qu'elle a raté. Il ne lui est pas permis d'avoir des rapports intimes avec elle quand elle rattrape un jour de jeûne, et elle n'est pas autorisée à lui obéir dans ce sens.
[Fataawa al-Lajnah al-Daa'imah, 10/353.] )