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Devant a écrit:
Elle commence à faire mauvaise impression cette compagnie, il va falloir corriger rapidement les erreurs. Grèves, problèmes technique, non respect des horaires etc.., les gens mettent leur vie entre les mains de ces employés lorsqu'ils achetent un billet RAM. Il faut un peu de sérieux. Le parisien vient de sortir un papier sur la RAM, les francais ne rattent aucune occasion pour informer leur compatriotes lorsqu'il s'agit de problèmes concernant leur sécurité, si sa continue elle va perdre beaucoup de clients et de facon irréversible.
Le Parisien
bjr il ne faut pas oublier que air france ne recrute que des nationaux commandant de bort
é au maroc on laisse toujours nous compatriote de cote pour recrute des etranger il on raisont de faire greve
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elmatwi a écrit:
Je viens de lire les commentaires sur le site de parisien, c'est catastrophique pour l'image de la RAM surtout ce manque de communication flagrant.
si la RAM perds son contrat d'exclusivité avec Club Med et autres, c'est le début de la fin.
sinon les pilotes marocains ont raison de faire savoir leurs mecontentements et ce n'est pas en loyant des avions etrangers que la RAM va ameliorer son image auprés des passagers.
assez de magouille, il est temps de répondre aux revendications légitimes de corps pilotes marocains car ils mértient largement d'être des commandants de bord à la RAM avec le nombre suffisant d'heures de vol et leurs experiences, ils meritent cette place à la RAM et non pas au low cost ' atlas blue' qui entrainera la baisse de leurs salaires et avantages...assez de complexe d'inferiorité envers l'etranger, il faut servir les nationaux d'abord.
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river a écrit:
très bpn post que j ai jugé utile de copier sur le forum publique des pilotes de ligne [www.ampl.ma]
L’ère « si Driss »
Il fut un temps ou un seul bonhomme tenait d’une main de fer tout le pays avec ce que cela impliquait en termes d’atteinte aux droits de l’homme et à l’image du royaume chérifien.
Ce fut l’époque Driss BASRI (que dieu ait son âme) ; caractérisée par la pensée unique et la volonté d’étouffer toutes les forces vives du pays. Il en découla une dégradation totale du niveau de développement du pays. Ainsi, toutes les opportunités de hisser le MAROC au rang de nation développée étaient tout simplement et systématiquement anéanties.
Heureusement avec l’avènement de la nouvelle ère, la donne a changé et le royaume a fait un saut géant vers la restauration de la loi et la démocratisation du pays malgré les réticences des forces réfractaires et les entraves des mafias et autres groupes d’intérêt ou lobbys.
Tout le monde continue de croire que le changement est possible et qu’il faut « lutter » et persévérer pour y arriver sauf peut être les lobbys dont les intérêts sont touts autres !
Il est légitime dans le cas du conflit qui perdure depuis plus de 5 années à Royal Air Maroc de faire le constat d’un déphasage total entre les « managements » qui se sont succédé à sa tête et les orientations de la nouvelle ère et les changements qui s’opèrent dans le pays.
Ce déphasage est encore plus marqué par l’obstination et l’entêtement qui caractérisent la méthode de « gouvernance » d’un autre « si Driss » dont le CV est connu de tous. Un Driss en cache un autre.
Certes, l’homme est à priori intègre et droit mais les résultats de sa gestion au moins au groupe RAM laissent plus que perplexe !
ATLAS BLUE, AIR SENEGAL, l’ECOLE NATIONALE DE PILOTES DE LIGNE, les affrètements injustifiés oh combien couteux pour le contribuable marocain, la mauvaise décision du « fuel hedging » (Payer 80$ le carburant au lieu de 40$ sur une longue durée), les licenciements abusifs de plus d’une centaine de techniciens d’avion au moment ou le groupe RAM en a tellement besoin…. sont autant de dossiers chauds et accablants qu’il est inadmissible que ces hémorragies continuent sans que les pouvoirs publiques et les représentants de la nation n’interviennent.
C’est un constat d’échec que d’arriver à une série de grèves fatales pour les finances de la compagnie et sa notoriété ; d’autant plus que les revendications de ces hauts cadres que sont les commandants de bord et les officiers pilotes sont légitimes et n’impacteraient pas sa trésorerie.
Bien au contraire, le groupe RAM gagnerait beaucoup à marocaniser ces postes étant donné que les statistiques en possession d’ATLAS BLUS démontrent sans équivoque que les équipages marocains sont de loin très opérationnels et plus « économes » en terme de carburants et de temps de vol que leurs homologues étrangers.
Les pilotes marocains ont usé de tous les moyens légaux et civilisés pour attirer l’attention du « management » sur les dangers et les dérives de ce conflit maintenu et orchestré par l’entourage de « si Driss » depuis plus de 5 ans. Il y’a longtemps que la décision de faire la grève a été adoptée à l’unanimité et pourtant la sagesse des pilotes de ligne marocains et de leurs représentants a fait que l’affrontement a été évité à maintes reprises malgré les provocations multiples et diverses (sanctions abusives, ponctions salariales, déni d’acquis, insultes dans les mass-médias, etc.).
Contraints de passer à l’acte, conscients de l’impact négatif d’un tel mouvement, et tristes de quitter leur poste de pilotage, ces derniers usent de ce droit constitutionnel dans un ultime recours pour défendre leur périmètre d’emploi.
Le bon sens et la raison ont cédé la place à l’entêtement et la fuite en avant sans se soucier des sacrifices des femmes et des hommes qui ont fait RAM.
Les quelques directeurs et « conseillers » de la direction précipitent le PDG par leur incompétence et leur fuite en avant dans le marécage, sachant que eux gardent, malgré tout, leurs avantages et leurs postes même s’ils sont à l’origine de beaucoup de malaises actuels et qui durent depuis longtemps.