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Monicasanta a écrit:
Ya rien à faire, qu'elle que soit la situation, on en revient toujours à l'immigré, celui qui a bon dos et qui est responsable de tous les maux
Heureusement que le ridicule ne tue pas.
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joseph111 a écrit:
Il existe une surdélinquance de jeunes issus de l 'immigration . Ce sont les gens issus d e l' immigration qui voient leur réputation entachée de ce fait. Les Français originaire de nos anciens protectorats et colonies ont intérêt à ce que cette délinquance soit réprimée.
Des questions : qui brûle les voitures le 14 juillet et le premier de l 'an , qui fait du trafic de drogue ?
Dans mon texte je dis :
" Quant aux personnes résidant dans ces banlieues et qui voudraient vivre tranquillement , qu' elles soient françaises issues ou non de l 'immigration , étrangers en situation régulière , dès qu 'elles le peuvent , elles en partent pour pouvoir vivre tranquille. "
Il y a-t- il là de l 'ostracisme ?
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Jdidi2000 a écrit:
Il existe un lien entre vous. Les gens de votre espèce et la famille Le pen
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joseph111 a écrit:
Il existe un lien entre Le Pen et le Sénat ?
Délinquance des mineurs : la République en quête de respect , (rapport du Sénat
D. UNE SURDÉLINQUANCE DES JEUNES ISSUS DE L'IMMIGRATION
[www.senat.fr]
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Kimjongdeux a écrit:
La lecture de quelques ouvrages de sociologie ne nuirait pas à nos chers Sénateurs qui vivent "hors sol" !
La délinquance n'a pas fait une apparition magique avec l'arrivée des immigrés et leur descendance, quels qu'ils soient.
Hormis pour ce qui concerne les délinquants en col blanc, qui eux échappent plus facilement à la justice, la délinquance est depuis tous temps corrélée à la misère et la pauvreté humaine (environ 9 millions de pauvres en France, tout de même), qu'on relègue et agrègue aux confins des grandes villes.
Bien avant les grandes vagues d'immigration, à l'aube du 20ème siècle, n'avait-on pas déjà le phénomène des "apaches", à Ménilmontant et Belleville pour Paris, ou en périphérie d'autres villes d'envergure ?
Ces bandes de délinquants, issus des milieux populaires français, surnommés "apaches" par les journaux de l'époque, étaient ultra violentes, sans foi ni loi, et s'attaquaient à tout ce qui représentait l'ordre et la bourgeoisie.
Les membres, souvent très jeunes, de ces groupes de voyous ont même mené à la création de nombreuses maisons de correction. La première guerre mondiale a permis leur éradication en les envoyant au front, en première ligne.
N'y a-t'il pas eu par la suite, dans les années 50, les blousons noirs, apparus dans la même veine que les "apaches" et vivant également dans la zone, ce territoire regroupant toute la pauvreté cachée des grandes agglomérations.
Par la suite, d'autres mouvements de groupes violents ont fait leur apparition, comme les punks dans les années 80, etc, et ces mouvements n'étaient pas le fait des immigrés d'origine maghrébine.
Les mêmes causes engendrent les mêmes effets, quelle que soit l'ethnie, et il suffit d'examiner le phénomène de la délinquance à différentes époques et dans différents pays pour s'en convaincre (mafieux italiens, délinquants afro-américains, gangs latinos, triades asiatiques aux USA, descendants de félachas en Israël, etc...).
D'ailleurs, aux USA, depuis la crise des subprimes, de nombreux blancs américains ayant à leur tour basculé dans la misère, la couleur de peau dominante dans les prisons américaines n'est plus quasi-exclusivement noire.
D'autres facteurs entrent également en ligne de compte, tels que la pénalisation accrue de délits touchant les populations les plus défavorisées (cf. le documentaire très instructif, en particulier concernant les lois édictées sous Nixon, intitulé "Les Etats-Unis et la drogue : une guerre sans fin".
De toute évidence, les populations immigrantes sont sur-représentées dans les catégories les plus socialement défavorisées de n'importe quel pays.
Pour finir, je vais citer Platon, qui près de 4 siècles avant JC, évoquait déjà la délinquance des jeunes de l'époque :
"Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants,
Lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles,
Lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter,
Lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu'ils ne reconnaissent plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne,
Alors c'est là, en toute beauté et en toute jeunesse, le début de la tyrannie." (La République)
Etonnament contemporain ce texte, non ?...