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Ah les pauvres tricheurs!


Un reportage sur les exilés fiscaux français cloue Genève au pilori. Ennui, mal du pays, racket: certains riches Français ne supporteraient plus de vivre dans la cité de Calvin.

Pauvres exilés fiscaux français! Eux qui fuient des autorités fiscales de plus en plus oppressantes, voilà que Genève, terre promise, se révèle être un véritable enfer. C’est du moins ce que décrit un reportage accablant du magazine français Challenges, qui a investigué en Suisse et en Belgique, deux destinations de choix pour les fortunes exilées. Les déceptions y seraient multiples.

Golf et adultère

On s’ennuie à Genève. A tel point que, «à part le golf et l’adultère, les distractions sont rares», selon le magazine. Une situation qui pousserait ces «SDF» (sans difficultés financières) à s’enfermer dans des «ghettos où l’on ressasse les mêmes frustrations».

«L’intégration dépend de la façon dont on prépare la délocalisation, commente l’expert fiscal suisse Philippe Kenel pour Le Matin. La première phase demeure la plus importante: il s’agit de déterminer si la personne est mentalement prête à couper les liens avec la France. Plus cette étape dure, mieux c'est pour l’intégration.»

Pour le fiscaliste, les conseillers doivent pleinement assumer leur part de responsabilité dans le choix de la destination. Et tenir compte de la dimension humaine. «L'une de mes clientes hésitait entre Bruxelles et Château-d’Oex. Il y avait clairement un problème de choix de mode de vie! Sur dix de mes clients, il y en a en moyenne deux auxquels je conseille de ne pas s’exiler en Suisse.»

Quitter la France: un divorce

Cette délocalisation, il faut la vivre comme un divorce. Sinon, c’est le mal du pays assuré. Selon Challenges, les exilés fiscaux qui restent très attachés à la France supportent mal la loi sur les durées de séjour à laquelle ils sont soumis: rester plus de six mois par an en Suisse.

«Ces propos m’étonnent, poursuit Philippe Kenel. Si les personnes fortunées quittent le pays, c’est en grande partie parce qu’ils en ont marre du fonctionnement de la société française. Chez mes clients, je constate plutôt un sentiment de soulagement. Ce qui ne signifie pas qu’ils n’aiment pas la France, loin de là. »

Tous des escrocs

Le plus rageant selon Challenges? L’escroquerie constante commise par les banquiers et avocats genevois. Ceux-ci «pillent» les fortunes de leurs clients, «partant du principe qu’ils ont fraudé ou volé».

«Quand je suis venu en Suisse, j’y avais des comptes non déclarés, confie l'exilé Jean-Jacques Aumont dans les pages du magazine. Les banques m’ont créé une vraie usine à gaz, avec des dizaines de sociétés-écran, dans le but de toucher des commissions – elles facturent 10'000 francs suisses la création d’une société panaméenne qui leur coûte moins de 2000 – mais surtout de me mettre sous tutelle.»

Ce récit, comme le reportage dans son ensemble, surprend Philippe Kenel: «Il est probable que les frais soient plus élevés qu’ailleurs. Mais les exilés fiscaux savent bien que c’est la contrepartie d’une gestion propre à la Suisse.» (Newsnet)

S'ils se font rouler, c'est bien fait pour eux: Changer de pays ne coute strictement rien, sauf de meubler un appartement.
Il faut aussi être particulièrement doué pour rester coincé à Genève, lorsqu'on est à moins de 30 minute d'un aéroport international, de pratiquement n'importe quel point de la République.

C'est sûr que Chateau d'Œx, ce n'est pas vraiment centré, quoique ... Gstaad est pratiquement juste à côté.

Ils ont simplement mal choisi la République suisse dans laquelle ils désirent vivre. Le principal problème de la République de Genève est la proximité de la France et de ses malfrats. Autrement dit: Les Français sont ceux qui se trouvent le plus en territoire connu.

Quand à "couper les liens avec la France", lorsqu'on est à Genève (ou n'importe où ailleurs en Suisse Romande), c'est vraiment du grand n'importe-quoi: Il faut vraiment le faire exprès pour se trouver à plus d'1 h d'une frontière française.

Il faut aussi ne pas aimer du tout la Culture, l'Art ou les festivals, comme le Festival de Jazz ou Paléo: Le choix est plus vaste qu'à Paris, avec des temps de déplacement nettement plus faibles et pas d'embouteillage (ou rarement).

Indigestion, tu as réponse à tout, mais tu dois lire attentivement l'article, et surtout connaitre les lois suisses.

Un tricheur du fisc, doit passer un MINIMUM DE 6 MOIS en suisse. Voilà le problème qui se pose aux tricheurs.

Citation
Bengi a écrit:
connaitre les lois suisses.
Un tricheur du fisc, doit passer un MINIMUM DE 6 MOIS en suisse. Voilà le problème qui se pose aux tricheurs.

Pauvre homme, il ne sait même pas compter.

Quand tu sauras compter le nombre de Républiques qu'il y a en Suisse et que tu auras appris un minimum au sujet du système d'imposition, tu pourras peut-être venir discuter avec les adultes.

Euh...

Imagine un peu la scéne, on a un gars qui défonce une banque, tue les gardes de sécurité, viole la caissiére et se barre avec 50millions en tirant à la mitrailleuse sur la police...

Et oups... Il perd un sac avec 1million dedans en courant...

Et là, nous on pleure... Oh le pauvre... Il a perdu 1million... Oooh... J'aimerais pas être à sa place...

SDF... Elle est bonne celle là.

Citation
Unesuggestion a écrit:

Citation
Bengi a écrit:
connaitre les lois suisses.
Un tricheur du fisc, doit passer un MINIMUM DE 6 MOIS en suisse. Voilà le problème qui se pose aux tricheurs.

Pauvre homme, il ne sait même pas compter.

Quand tu sauras compter le nombre de Républiques qu'il y a en Suisse et que tu auras appris un minimum au sujet du système d'imposition, tu pourras peut-être venir discuter avec les adultes.

Indigestion, tu deviens vraiment ridicule. Un évadé fiscal DOIT habiter un minimum de 180 jours.

Qui peut bénéficier d'un forfait fiscal?
Vous devez devenir résident suisse et ne pas avoir d'activités économiques en Suisse.

Avoir un passeport d'un pays de l'Union européenne (autres passeports cliquez ici)
Ne pas avoir d'activités professionnelles en Suisse
Avoir un revenu annuel de plus de CHF. 50'000.-
Habiter en Suisse un total d'au moins 180 jours par an



Pour faire passer ta harira:


Depuis quelques temps déjà Yannick Noah a entamé un véritable bras de fer avec le fisc à cause d'un redressement fiscal d'un demi-million d'euros. Le Motif ? : il s'était déclaré résident fiscal suisse en habitant dans son chalet de Montreux, alors qu'il n'y a habité que pendant quelques semaines.

En effet, vers les années 80, le chanteur se rend dans ce pays pour réaliser des projets qui lui tiennent à coeur : commerce de produits diététiques, distribution d'articles de sport et création d'un centre de réhabilitation physique. Mais, il s'avère que l'ancien tennisman n'a pas rempli les conditions du permis B à savoir vivre en Suisse au moins la moitié de l'année et y exercer une activité professionnelle régulière.

on les plaindra quand on aura le temps..............

Citation
Bengi a écrit:

Citation
Unesuggestion a écrit:

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Bengi a écrit:
connaitre les lois suisses.
Un tricheur du fisc, doit passer un MINIMUM DE 6 MOIS en suisse. Voilà le problème qui se pose aux tricheurs.

Pauvre homme, il ne sait même pas compter.

Quand tu sauras compter le nombre de Républiques qu'il y a en Suisse et que tu auras appris un minimum au sujet du système d'imposition, tu pourras peut-être venir discuter avec les adultes.

Indigestion, tu deviens vraiment ridicule. Un évadé fiscal DOIT habiter un minimum de 180 jours.

Qui peut bénéficier d'un forfait fiscal?
Vous devez devenir résident suisse et ne pas avoir d'activités économiques en Suisse.

Avoir un passeport d'un pays de l'Union européenne (autres passeports cliquez ici)
Ne pas avoir d'activités professionnelles en Suisse
Avoir un revenu annuel de plus de CHF. 50'000.-
Habiter en Suisse un total d'au moins 180 jours par an



Pour faire passer ta harira:


Depuis quelques temps déjà Yannick Noah a entamé un véritable bras de fer avec le fisc à cause d'un redressement fiscal d'un demi-million d'euros. Le Motif ? : il s'était déclaré résident fiscal suisse en habitant dans son chalet de Montreux, alors qu'il n'y a habité que pendant quelques semaines.

En effet, vers les années 80, le chanteur se rend dans ce pays pour réaliser des projets qui lui tiennent à coeur : commerce de produits diététiques, distribution d'articles de sport et création d'un centre de réhabilitation physique. Mais, il s'avère que l'ancien tennisman n'a pas rempli les conditions du permis B à savoir vivre en Suisse au moins la moitié de l'année et y exercer une activité professionnelle régulière.

Errare humanum est. Perseverare diabolicum.

Je constate que tu ne encore pas informé sérieusement et qu'il te faut apprendre au moins ce qui suit:

1 >>
La Suisse est un fédération et les Républiques qui la composent lèvent la majeure partie de l'impôt.
Chaque république a ses propres lois fiscales.
Le principal impôt est l'impôt sur le revenu.
Certaines républiques (pas toutes) possèdent le système d'imposition à la dépense, ce qui est souvent nommé "forfait fiscal".
Peuvent bénéficier de l'imposition à la dépense (ce que les Français conçoivent comme "Signes extérieurs de richesse" ), il faut ne pas travailler en Suisse (Tiens donc ? Ici, il n'y a pas d'erreur.)

2 >>
La loi sur le séjour des étrangers est une loi fédérale. (donc: Rien à voir avec le statut fiscal des réfugiés fiscaux)
Le système de permis de travail commençait avec le permis A, le permis de saisonnier. Ce qui était limité, c'est la durée maximale du séjour (moins d'un an). Le bénéficiaire de ce permis A devait quitter la Suisse et retourner chez lui au moins une fois par an.

Le permis B était octroyé au bout de plusieurs années d'octroi du permis A. Le permis B est un permis qui permet de résider pendant toute l'année. (et donc, ne pas devoir interrompre les séjour chaque année).
Ce permis doit être renouvelé chaque année et il n'est renouvelé que moyennant quelques conditions. En principe, il faut aller en personne renouveler ce permis.Comme pour tous ces règlements, il y a le critère de la bonne foi du requérant.

Le permis C est un permis d'établissement.

Une interruption du séjour (il y a plusieurs critères) fait perdre les droits acquis. Pour les ressortissants de l'UE, les règles ont changé et ne sont plus celles de 1980).

Yannick ne pouvait pas, dans le même temps, travailler ET payer des impôts à la dépense réservé à ceux qui ne travaillent pas en Suisse.

3->
La règle des 183 jours.
Pour être considéré hors de France, un payeur d'impôts ne doit pas résider en France pendant plus de 183 jours par an. Il n'est pas indispensable que le séjour soit ininterrompu.
Cette règle avait été réaffirmé pendant le règne de Mitterrand.

L'Inquisition fiscale française ne reconnait, bien évidement, que son critère: Si quelqu'un vit en France pendant plus de 183 jours, ce n'est pas un permis étranger qui va miraculeusement diminuer le nombre de jours passés en France.

Malgré ce que certains pourraient penser, les Inquisiteurs du fisc français ne sont pas forcément des imbéciles: Ils savent additionner jusqu'à 183.

La fiscalité française concerne l'Inquisition fiscale française et seulement l'Inquisition fiscale française.



Modifié 2 fois. Dernière modification le 02/08/12 07:26 par Unesuggestion.

Citation
Unesuggestion a écrit:

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Bengi a écrit:

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Unesuggestion a écrit:

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connaitre les lois suisses.
Un tricheur du fisc, doit passer un MINIMUM DE 6 MOIS en suisse. Voilà le problème qui se pose aux tricheurs.

Pauvre homme, il ne sait même pas compter.

Quand tu sauras compter le nombre de Républiques qu'il y a en Suisse et que tu auras appris un minimum au sujet du système d'imposition, tu pourras peut-être venir discuter avec les adultes.

Indigestion, tu deviens vraiment ridicule. Un évadé fiscal DOIT habiter un minimum de 180 jours.

Qui peut bénéficier d'un forfait fiscal?
Vous devez devenir résident suisse et ne pas avoir d'activités économiques en Suisse.

Avoir un passeport d'un pays de l'Union européenne (autres passeports cliquez ici)
Ne pas avoir d'activités professionnelles en Suisse
Avoir un revenu annuel de plus de CHF. 50'000.-
Habiter en Suisse un total d'au moins 180 jours par an



Pour faire passer ta harira:


Depuis quelques temps déjà Yannick Noah a entamé un véritable bras de fer avec le fisc à cause d'un redressement fiscal d'un demi-million d'euros. Le Motif ? : il s'était déclaré résident fiscal suisse en habitant dans son chalet de Montreux, alors qu'il n'y a habité que pendant quelques semaines.

En effet, vers les années 80, le chanteur se rend dans ce pays pour réaliser des projets qui lui tiennent à coeur : commerce de produits diététiques, distribution d'articles de sport et création d'un centre de réhabilitation physique. Mais, il s'avère que l'ancien tennisman n'a pas rempli les conditions du permis B à savoir vivre en Suisse au moins la moitié de l'année et y exercer une activité professionnelle régulière.

Errare humanum est. Perseverare diabolicum.

Je constate que tu ne encore pas informé sérieusement et qu'il te faut apprendre au moins ce qui suit:

1 >>
La Suisse est un fédération et les Républiques qui la composent lèvent la majeure partie de l'impôt.
Chaque république a ses propres lois fiscales.
Le principal impôt est l'impôt sur le revenu.
Certaines républiques (pas toutes) possèdent le système d'imposition à la dépense, ce qui est souvent nommé "forfait fiscal".
Peuvent bénéficier de l'imposition à la dépense (ce que les Français conçoivent comme "Signes extérieurs de richesse" ), il faut ne pas travailler en Suisse (Tiens donc ? Ici, il n'y a pas d'erreur.)

2 >>
La loi sur le séjour des étrangers est une loi fédérale. (donc: Rien à voir avec le statut fiscal des réfugiés fiscaux)
Le système de permis de travail commençait avec le permis A, le permis de saisonnier. Ce qui était limité, c'est la durée maximale du séjour (moins d'un an). Le bénéficiaire de ce permis A devait quitter la Suisse et retourner chez lui au moins une fois par an.

Le permis B était octroyé au bout de plusieurs années d'octroi du permis A. Le permis B est un permis qui permet de résider pendant toute l'année. (et donc, ne pas devoir interrompre les séjour chaque année).
Ce permis doit être renouvelé chaque année et il n'est renouvelé que moyennant quelques conditions. En principe, il faut aller en personne renouveler ce permis.Comme pour tous ces règlements, il y a le critère de la bonne foi du requérant.

Le permis C est un permis d'établissement.

Une interruption du séjour (il y a plusieurs critères) fait perdre les droits acquis. Pour les ressortissants de l'UE, les règles ont changé et ne sont plus celles de 1980).

Yannick ne pouvait pas, dans le même temps, travailler ET payer des impôts à la dépense réservé à ceux qui ne travaillent pas en Suisse.

3->
La règle des 183 jours.
Pour être considéré hors de France, un payeur d'impôts ne doit pas résider en France pendant plus de 183 jours par an. Il n'est pas indispensable que le séjour soit ininterrompu.
Cette règle avait été réaffirmé pendant le règne de Mitterrand.

L'Inquisition fiscale française ne reconnait, bien évidement, que son critère: Si quelqu'un vit en France pendant plus de 183 jours, ce n'est pas un permis étranger qui va miraculeusement diminuer le nombre de jours passés en France.

Malgré ce que certains pourraient penser, les Inquisiteurs du fisc français ne sont pas forcément des imbéciles: Ils savent additionner jusqu'à 183.

La fiscalité française concerne l'Inquisition fiscale française et seulement l'Inquisition fiscale française.

Donc, un tricheur doit résider 6 mois minimum, pour bénéficier du forfait fiscal.

Pour le reste, c'est l'indigestion