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Figuig : La FGD appelle l’Etat à «protéger la souveraineté nationale»
21 mars 2021 13:02
Ce qui est étonnant dans tout cela, c'est de voir un pays, qui n'a jamais existé dans l'histoire, s'approprier des territoires qui ne lui ont jamais appartenu à travers l'histoire, pendant qu'il conteste la souveraineté du Maroc sur des territoires (Sahara Oriental et Sahara Marocain) qui faisaient déjà partie du territoire marocain à travers l'histoire avant même l'existence de ce pays.

Autrement dit, que l'Algérie s'approprie le Sahara Oriental Marocain et le Grand Sahara qui ne lui ont jamais appartenu, c'est normal; par contre, que le Maroc récupère son Sahara Oriental et son Sahara Occidental qui lui ont déjà appartenu à travers l'histoire, c'est anormal.

Drôle de raisonnement qui défend le principe des frontières héritées de l'époque coloniale, un raisonnement qui arrange les affaires de ceux qui n'ont jamais eu d'histoire !!!
R
21 mars 2021 13:11
Quand deux pays signent des accords entre eux c’est qu’ils se reconnaissent mutuellement.
21 mars 2021 13:49
L'engagement des accords va dans les deux sens, sinon, il est caduque.

Quand un des deux signataires n'honore pas son engagement, l'autre signataire a le droit de se retirer de cet accord.

Le traité de 1972 stipulait aussi que l'Algérie soutienne le Maroc contre l'Espagne pour que le Maroc récupère son Sahara. Juste après la signature et l'adoption de ce traité par l'Algérie en 1972, l'Algérie a créé le polisario et les thèses polisariennes en 1973 pour déposséder le Maroc de son Sahara, c'est-à-dire, que l'Algérie n'a pas honoré son engagement comme stipule le traité de 1972.

Pire, pour convaincre le Maroc d'adopter le traité de 1972, la junte militaire algérienne s'est servie, en 1992, du président Boudiaf. Hassan II avait confiance en Boudiaf, c'est pour cela que le Maroc a accepté, en 1992, d'adopter le traité de 1972 et, en contrepartie, Boudiaf s'était engagé de régler le conflit du Sahara Marocain, sauf que la junte militaire algérienne a assassiné Boudiaf une semaine après l'adoption du Maroc du traité de 1972 pour l'empêcher de régler le conflit du Sahara Marocain.

Donc, puisque l'Algérie n'a pas honoré son engagement dans ce traité, le Maroc a le droit de le contester et revendiquer son Sahara Oriental, mais, chaque chose en son temps, surtout que dans les archives françaises, il y a des documents qui appuie la thèse de la Marocanité du Sahara Oriental.
Citation
Ra_chid a écrit:
Quand deux pays signent des accords entre eux c’est qu’ils se reconnaissent mutuellement.
21 mars 2021 15:11
Ton raisonnement est clair. La signature de 1992 était un piège dans lequel est tombé le Maroc et Boudiaf par la même occasion. La non réaction du Maroc dans l'actuelle crise, malgré la pression populaire indique qu'il a un plan et qu'une réaction irait dans le sens de ce que veut la junte, donc elle n'aura pas ce plaisir et deuxièmement cela risquerait d'aller à l'encontre d'un plan préparé, lequel ? On le saura. C'est comme le jeu des dames. Tu donnes un pion et tu en récupères plusieurs voire même tu en finis avec ton adversaire.
Citation
Newhorizon20 a écrit:
L'engagement des accords va dans les deux sens, sinon, il est caduque.

Quand un des deux signataires n'honore pas son engagement, l'autre signataire a le droit de se retirer de cet accord.

Le traité de 1972 stipulait aussi que l'Algérie soutienne le Maroc contre l'Espagne pour que le Maroc récupère son Sahara. Juste après la signature et l'adoption de ce traité par l'Algérie en 1972, l'Algérie a créé le polisario et les thèses polisariennes en 1973 pour déposséder le Maroc de son Sahara, c'est-à-dire, que l'Algérie n'a pas honoré son engagement comme stipule le traité de 1972.

Pire, pour convaincre le Maroc d'adopter le traité de 1972, la junte militaire algérienne s'est servie, en 1992, du président Boudiaf. Hassan II avait confiance en Boudiaf, c'est pour cela que le Maroc a accepté, en 1992, d'adopter le traité de 1972 et, en contrepartie, Boudiaf s'était engagé de régler le conflit du Sahara Marocain, sauf que la junte militaire algérienne a assassiné Boudiaf une semaine après l'adoption du Maroc du traité de 1972 pour l'empêcher de régler le conflit du Sahara Marocain.

Donc, puisque l'Algérie n'a pas honoré son engagement dans ce traité, le Maroc a le droit de le contester et revendiquer son Sahara Oriental, mais, chaque chose en son temps, surtout que dans les archives françaises, il y a des documents qui appuie la thèse de la Marocanité du Sahara Oriental.
R
21 mars 2021 15:41
L’assassinat de Boudiaf n’a rien à voir avec le Maroc. On l’a assassiné car il allait assainir la situation et qu’il n’était pas homme à se soumettre à une certaine mafia.
Citation
Newhorizon20 a écrit:
L'engagement des accords va dans les deux sens, sinon, il est caduque.

Quand un des deux signataires n'honore pas son engagement, l'autre signataire a le droit de se retirer de cet accord.

Le traité de 1972 stipulait aussi que l'Algérie soutienne le Maroc contre l'Espagne pour que le Maroc récupère son Sahara. Juste après la signature et l'adoption de ce traité par l'Algérie en 1972, l'Algérie a créé le polisario et les thèses polisariennes en 1973 pour déposséder le Maroc de son Sahara, c'est-à-dire, que l'Algérie n'a pas honoré son engagement comme stipule le traité de 1972.

Pire, pour convaincre le Maroc d'adopter le traité de 1972, la junte militaire algérienne s'est servie, en 1992, du président Boudiaf. Hassan II avait confiance en Boudiaf, c'est pour cela que le Maroc a accepté, en 1992, d'adopter le traité de 1972 et, en contrepartie, Boudiaf s'était engagé de régler le conflit du Sahara Marocain, sauf que la junte militaire algérienne a assassiné Boudiaf une semaine après l'adoption du Maroc du traité de 1972 pour l'empêcher de régler le conflit du Sahara Marocain.

Donc, puisque l'Algérie n'a pas honoré son engagement dans ce traité, le Maroc a le droit de le contester et revendiquer son Sahara Oriental, mais, chaque chose en son temps, surtout que dans les archives françaises, il y a des documents qui appuie la thèse de la Marocanité du Sahara Oriental.
21 mars 2021 16:02
Je pense que la junte a sorti sa dernière carte. Elle est coincée. Je suis certain que les Marocains connaissaient cette carte, le flou de la frontière. Et elle doivent avoir la réponse. Maintenant ont-ils prévu que ça sorte maintenant ? On laa saura.
Citation
Newhorizon20 a écrit:
L'engagement des accords va dans les deux sens, sinon, il est caduque.

Quand un des deux signataires n'honore pas son engagement, l'autre signataire a le droit de se retirer de cet accord.

Le traité de 1972 stipulait aussi que l'Algérie soutienne le Maroc contre l'Espagne pour que le Maroc récupère son Sahara. Juste après la signature et l'adoption de ce traité par l'Algérie en 1972, l'Algérie a créé le polisario et les thèses polisariennes en 1973 pour déposséder le Maroc de son Sahara, c'est-à-dire, que l'Algérie n'a pas honoré son engagement comme stipule le traité de 1972.

Pire, pour convaincre le Maroc d'adopter le traité de 1972, la junte militaire algérienne s'est servie, en 1992, du président Boudiaf. Hassan II avait confiance en Boudiaf, c'est pour cela que le Maroc a accepté, en 1992, d'adopter le traité de 1972 et, en contrepartie, Boudiaf s'était engagé de régler le conflit du Sahara Marocain, sauf que la junte militaire algérienne a assassiné Boudiaf une semaine après l'adoption du Maroc du traité de 1972 pour l'empêcher de régler le conflit du Sahara Marocain.

Donc, puisque l'Algérie n'a pas honoré son engagement dans ce traité, le Maroc a le droit de le contester et revendiquer son Sahara Oriental, mais, chaque chose en son temps, surtout que dans les archives françaises, il y a des documents qui appuie la thèse de la Marocanité du Sahara Oriental.
21 mars 2021 17:11
Feu Mohamed Boudiaf a été assassiné pour deux raisons principales :
1- il était prêt à régler le problème du Sahara marocain en faveur du Maroc. ( ce qui était inacceptable Pour les généraux ).
2- il a dit textuellement : je vais demander des comptes à tout le monde . ( ce qui était aussi inacceptable pour les mafieux )
Donc, son assassinat était à 50% lié au Maroc.
Ses attaches avec le Maroc étaient mal perçues par les généraux algériens de l'époque.

Citation
Ra_chid a écrit:
L’assassinat de Boudiaf n’a rien à voir avec le Maroc. On l’a assassiné car il allait assainir la situation et qu’il n’était pas homme à se soumettre à une certaine mafia.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 21/03/21 17:13 par graffitis.
R
21 mars 2021 17:21
Les donneurs d’ordre avaient des problèmes plus urgents à régler que les relations avec le Maroc.

Citation
graffitis a écrit:
Feu Mohamed Boudiaf a été assassiné pour deux raisons principales :
1- il était prêt à régler le problème du Sahara marocain en faveur du Maroc. ( ce qui était inacceptable Pour les généraux ).
2- il a dit textuellement : je vais demander des comptes à tout le monde . ( ce qui était aussi inacceptable pour les mafieux )
Donc, son assassinat était à 50% lié au Maroc.
Ses attaches avec le Maroc étaient mal perçues par les généraux algériens de l'époque.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 21/03/21 19:26 par Ra_chid.
g
21 mars 2021 19:44
C'est exactement le triste et tragique scénario qui s'est déroulé depuis la pénétration coloniale française en Algérie et au Maroc jusqu'aux indépendances des deux pays. Ajoutez à cela le généreux et inconditionnel soutien apporté par la monarchie et le peuple marocains à la lutte d'indépendance algérienne (un soutien capital et pour lequel il fut malmené par la puissance coloniale de l'époque), et vous aurez un tableau saisissant de ce que peut être la sournoiserie politique et diplomatique poussée à son paroxysme.
Je pense que vu l'évolution catastrophique qui prévaut chez notre voisin, et qui ressemble furieusement à un début de faillite généralisée, il n'y a même pas à réagir ou à chercher quelque confrontation que ce soit avec ce régime militaire prédateur. Il semblerait en effet qu'il connait une déliquescence avancée de l'intérieur et que peut être dans peu on assistera à son écroulement.
Espérons juste que la relève qui pointe son nez saura voir dans le Maroc ce pays frère et ami qui a tant donné pour l'indépendance algérienne et qu'elle comprendra et acceptera enfin que la marocanité du Sahara, pour laquelle le royaume a tant sacrifié, est sacrée et non négociable...
Citation
Newhorizon20 a écrit:
Ce qui est étonnant dans tout cela, c'est de voir un pays, qui n'a jamais existé dans l'histoire, s'approprier des territoires qui ne lui ont jamais appartenu à travers l'histoire, pendant qu'il conteste la souveraineté du Maroc sur des territoires (Sahara Oriental et Sahara Marocain) qui faisaient déjà partie du territoire marocain à travers l'histoire avant même l'existence de ce pays.

Autrement dit, que l'Algérie s'approprie le Sahara Oriental Marocain et le Grand Sahara qui ne lui ont jamais appartenu, c'est normal; par contre, que le Maroc récupère son Sahara Oriental et son Sahara Occidental qui lui ont déjà appartenu à travers l'histoire, c'est anormal.

Drôle de raisonnement qui défend le principe des frontières héritées de l'époque coloniale, un raisonnement qui arrange les affaires de ceux qui n'ont jamais eu d'histoire !!!
21 mars 2021 19:54
Si « la propriété privée » prime sur « la souveraineté étatique », il aurait fallu faire comme ça se fait généralement dans le monde quand une puissance ou un privé étranger(e) s'approprie légalement une parcelle de terre : le bail ne peut excéder 99 ans. Suite à quoi il revient au domaine public.
Ça a été le cas avec Hongkong ; 99 ans britannique puis restitué à la Chine au terme du bail.

Il aurait fallu faire un accord où les héritiers pouvaient jouir de leurs parcelles pendant un délai imparti et sachent à quoi s'en tenir et prendre leurs dispositions.
22 mars 2021 18:27
Je ne pense pas qu'il y est similitude entre Hongkong et El Arja puisqu'aucun bail n'a été signé.

1) En Algérie ne peuvent être propriétaires que les Algériens.

2) Le flou autour de la rivière "sans nom" a été exploité pour grignoter des terres Marocaines, aidé par le traitre Oufkir.

3) Dans une démocratie, on charge les tribunaux de juger une affaire de propriété privée.

4) Même s'il y'a trafic d'armes ou de drogues, ces gens ne sont pas complices. Ils y perdraient beaucoup des deux côtés. Pourquoi les empêcher de continuer à fructifier cette terre.

5) Leur donner à peine un mois pour quitter les lieux, sans possibilité de se défendre, est une pratique sioniste.

6) C aussi une énième provocation, pour noyer le Hirak.

7) Ou sont les Algériens épris de liberté et du droit du citoyen ?

8) Chacun sa bassecour, pas besoin de discours, Fermez les stores.
Citation
piducas a écrit:
Si « la propriété privée » prime sur « la souveraineté étatique », il aurait fallu faire comme ça se fait généralement dans le monde quand une puissance ou un privé étranger(e) s'approprie légalement une parcelle de terre : le bail ne peut excéder 99 ans. Suite à quoi il revient au domaine public.
Ça a été le cas avec Hongkong ; 99 ans britannique puis restitué à la Chine au terme du bail.

Il aurait fallu faire un accord où les héritiers pouvaient jouir de leurs parcelles pendant un délai imparti et sachent à quoi s'en tenir et prendre leurs dispositions.
23 mars 2021 18:06
Mais nous ne sommes pas une démocratie ; quant à la justice même si elle avait été saisie chacun sait qu'elle marche au téléphone ; son indépendance est justement l"une des revendications du Hirak .

Il n'y a pas eut de bail ou autre accord signé pour statuer sur le sort des paysans exploitants, ce qui démontre que le sort de quelques "cul-terreux" importait peu aux yeux des dirigeants de l'époque, à savoir Boumediene et surtout leur suzerain Hassan II qui se devait de les protéger.
De là un flou juridique qui les a laissé à la merci du premier sot d'humeur venu.


Citation
Valda a écrit:
Je ne pense pas qu'il y est similitude entre Hongkong et El Arja puisqu'aucun bail n'a été signé.

1) En Algérie ne peuvent être propriétaires que les Algériens.

2) Le flou autour de la rivière "sans nom" a été exploité pour grignoter des terres Marocaines, aidé par le traitre Oufkir.

3) Dans une démocratie, on charge les tribunaux de juger une affaire de propriété privée.

4) Même s'il y'a trafic d'armes ou de drogues, ces gens ne sont pas complices. Ils y perdraient beaucoup des deux côtés. Pourquoi les empêcher de continuer à fructifier cette terre.

5) Leur donner à peine un mois pour quitter les lieux, sans possibilité de se défendre, est une pratique sioniste.

6) C aussi une énième provocation, pour noyer le Hirak.

7) Ou sont les Algériens épris de liberté et du droit du citoyen ?

8) Chacun sa bassecour, pas besoin de discours, Fermez les stores.
 
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