Citation
euh c juste moi a écrit:
Dis moi, tu es au chomage en ce moment?
Je n'ai jamais vu un homme qui passe autant de temps à pondre des sujets bidons.
Tu as du courage.
dis doc toi tu ferais pas allusion a mon poste sur mon poulet legerement plus roti que d ' hab??? lolCitation
BEJAADI DE PARIS a écrit:
Salam,
Je voulais évoquer par le présent post, un phénomène récurrent contemporain chez bon nombre de femmes célibataires: leur aptitudes à cuisiner.
J'ai constaté la redondance de ce type de carence culinaire, notamment chez les femmes occupant des pseudos posts à responsabilités (de responsabilité on ne retiendra que le nom), que ce type de femmes à la foi revendiquant le fait de fonder un foyer (mari, enfants,..) mais ayant cette grave lacune. Je rappelle que cuisiner se relève une des composantes fondamentale à la tenue de son foyer voir de sa cohésion.
Beaucoup d'entre elles, assument ce manque de compétence au niveau du fourneau et le pire il est a constater que même mariées elles se dédouaneront de cette tache , qu'elles assimilent à un labeur ou fardeau.
Les conséquences de cette incapacité seraient fâcheuses, car ce serait à l'homme (au mari) de se soumettre à cette tache si bien que les rôles dans un couple s'en trouveraient bouleversés, car ce n'est pas au mari de s'acquitter de cette tache. Tout comme ce n'est à l’épouse de réparer la voiture ou bricoler.
Ex: Si la mère du mari est en visite pour quelques jour au sein du foyer conjugal, je n'ose même pas augurer de sa réaction que son fils puisse passer son temps durant les fourneaux alors que sa belle fille est au salon à attendre.
Autre exemple: Le soir la femme ne sachant pas cuisiner, il faut constamment se faire livrer à domicile des plats insipides onéreux, si bien que la cuisine n'aurait plus de nom que le local. Ce serait une hérésie.
Poussons un peu plus l'analyse; la majeure partie des femmes ayant cette carence culinaire, avaient en leur mère de véritables cordons bleus avec des doigts d'or: talent lui même hérité de leur mère.
Mais que s'est il passé donc? quelles raisons pourraient-on leur imputer sur le fait qu'elles ne sachent pas cuisiner? ce n'est pas l'opportunité d'apprendre ne n’étant pas présentée.
- Ces filles voyaient elles en la cuisine un moyen de soumission de la femme?
- Perçoivent elles en la cuisine une régression de la femme?
- Assimilent elles en la cuisine un moyen d'enfermement, et que de ce fait la femme puisse être privée d'activités connexes, et de liberté? une motivation féministe.
Je ne dis pas que le monopole culinaire au sein d'un foyer soit intrinsèque à la femme mais que l'homme doit impérativement y manier les fondamentaux afin en cas d'absence de sa femme pour diverses contingences, pallier aux besoins de son foyer: ex: donner à manger aux enfants et ne pas attendre que sa femme puisse entrer tard pour s'acquitter de cette tache.
Je ne comprends d'ailleurs pas que de la plupart de ces femmes, ne trouve aucun plaisir à cuisiner, puisque la cuisine revêt un caractère magique de part l'alchimie des saveurs, des couleurs, manier et respecter certaines denrées, les agrémenter et les relever par des saveurs et des epices, ect, ect.
Nous pouvons voir d'ailleurs en la cuisine, un présent d'amour quotidien, une attention, une sollicitude de la femme vis à vis de son foyer.
Si son altesse 118 218 pouvait me donner son humble avis.
Citation
euh c juste moi a écrit:
Je crois en l'homme
mais
pas au guignol.
Citation
euh c juste moi a écrit:
Dis moi, tu es au chomage en ce moment?
Je n'ai jamais vu un homme qui passe autant de temps à pondre des sujets bidons.
Tu as du courage.
Citation
ainvittel a écrit:
tous tes posts à toi et à ton cher 118218 tournent autour de la cadre maghrébine qui en prend pour son grade, le sexe, la cuisine et l'argent et tout celà sur fond de haine ,
pathétique vraiment
Citation
BEJAADI DE PARIS a écrit:
Salam,
Je voulais évoquer par le présent post, un phénomène récurrent contemporain chez bon nombre de femmes célibataires: leur aptitudes à cuisiner.
J'ai constaté la redondance de ce type de carence culinaire, notamment chez les femmes occupant des pseudos posts à responsabilités (de responsabilité on ne retiendra que le nom), que ce type de femmes à la foi revendiquant le fait de fonder un foyer (mari, enfants,..) mais ayant cette grave lacune. Je rappelle que cuisiner se relève une des composantes fondamentale à la tenue de son foyer voir de sa cohésion.
Beaucoup d'entre elles, assument ce manque de compétence au niveau du fourneau et le pire il est a constater que même mariées elles se dédouaneront de cette tache , qu'elles assimilent à un labeur ou fardeau.
Les conséquences de cette incapacité seraient fâcheuses, car ce serait à l'homme (au mari) de se soumettre à cette tache si bien que les rôles dans un couple s'en trouveraient bouleversés, car ce n'est pas au mari de s'acquitter de cette tache. Tout comme ce n'est à l’épouse de réparer la voiture ou bricoler.
Ex: Si la mère du mari est en visite pour quelques jour au sein du foyer conjugal, je n'ose même pas augurer de sa réaction que son fils puisse passer son temps durant les fourneaux alors que sa belle fille est au salon à attendre.
Autre exemple: Le soir la femme ne sachant pas cuisiner, il faut constamment se faire livrer à domicile des plats insipides onéreux, si bien que la cuisine n'aurait plus de nom que le local. Ce serait une hérésie.
Poussons un peu plus l'analyse; la majeure partie des femmes ayant cette carence culinaire, avaient en leur mère de véritables cordons bleus avec des doigts d'or: talent lui même hérité de leur mère.
Mais que s'est il passé donc? quelles raisons pourraient-on leur imputer sur le fait qu'elles ne sachent pas cuisiner? ce n'est pas l'opportunité d'apprendre ne n’étant pas présentée.
- Ces filles voyaient elles en la cuisine un moyen de soumission de la femme?
- Perçoivent elles en la cuisine une régression de la femme?
- Assimilent elles en la cuisine un moyen d'enfermement, et que de ce fait la femme puisse être privée d'activités connexes, et de liberté? une motivation féministe.
Je ne dis pas que le monopole culinaire au sein d'un foyer soit intrinsèque à la femme mais que l'homme doit impérativement y manier les fondamentaux afin en cas d'absence de sa femme pour diverses contingences, pallier aux besoins de son foyer: ex: donner à manger aux enfants et ne pas attendre que sa femme puisse entrer tard pour s'acquitter de cette tache.
Je ne comprends d'ailleurs pas que de la plupart de ces femmes, ne trouve aucun plaisir à cuisiner, puisque la cuisine revêt un caractère magique de part l'alchimie des saveurs, des couleurs, manier et respecter certaines denrées, les agrémenter et les relever par des saveurs et des epices, ect, ect.
Nous pouvons voir d'ailleurs en la cuisine, un présent d'amour quotidien, une attention, une sollicitude de la femme vis à vis de son foyer.
Si son altesse 118 218 pouvait me donner son humble avis.