L'identité féminine, ou le moi féminin, a intégré le système de valeurs inculqué par la société, de tel sorte qu'aujourd'hui encore, la femme pense et agit par apport à ses valeurs. Le schéma de pensée traditionnelle perdure donc et a beaucoup de mal à être abondonné. En effet, la femme tente, peu à peu, de trouver une identité féminine " indépendante ", autonome par apport au modèle traditionnel, ce qui provoque, dans le même temps, une réaction inconsciente d'autodéfense de la part des femmes elles-mêmes, par peur de voir leur " statut " remis en cause par celles qui, aujourd'hui, protestent
.Une femme vivant seule, et célibataire, aura très souvent mauvaise réputation. Dès lors, son souhait de fonder un foyer sera difficile à réaliser, dans la mesure où le mariage reste une affaire de famille, concernant souvent la mère ; laquelle choisira la future épouse en fonction de la réputation de la jeune femme et de sa famille. La mère est, au sein de la famille, un élément déterminant dans la construction de l'identité future des ses enfants, garçon comme fille. Par son éducation, elle va façonner l'un et l'autre à l'image de ce que la société attend de ses membres.
Sud.
Elle compte 15,5 millions de femmes, dont 75 % de Noires, 13 % de Blanches, 9 % de Métisses et 3 % d'origine indienne. Un tiers de la population féminine a moins de 15 ans. Le taux d'analphabétisme chez les femmes est de 50 %. Parmi les femmes noires qui travaillent, 31,1 % exercent leur activité dans le secteur des services domestiques, ce qui laisse entrevoir la nature de l'oppression sociale existant en Afrique du Sud.
Est.
La femme doit se lever très tôt. Aux alentours de 5h30 du matin elle doit avoir fini de chauffer l'eau pour la toilette de son mari et celle de ses enfants. Elle doit aussi avoir terminé de préparer la bouillie qui servira de petit déjeuner pour toute la famille. La plupart, du temps si son mari est l'aîné de sa famille, les parents de celui-ci vivent avec eux. Alors elle s'applique à travers tous les travaux domestiques de la cour. A 8h elle va faire son petit marché, acheter ses légumes et revenir faire la cuisine. Ses enfants, notamment les filles qui ne sont pas scolarisées, font les travaux champêtres ou gardent les animaux. Après avoir fini de préparer, elle attend que son mari arrive, avant de servir le repas de midi. Au environ de 15 heures, toutes les femmes du village se retrouvent chez la première femme du chef du village. Toutes les femmes font leur marché, marchandent ou vont pour vendre leurs marchandises.
Après le dîner, viennent alors les contes, moment favoris des enfants. Quand les parents du père de famille sont chez lui, c'est la mère qui raconte les histoires. Les grand-mère ont un répertoire varié de contes. Elles racontent les histoires à la demande des enfants. La belle fille, elle (en milieu mossi), doit tout faire pour satisfaire sa belle-mère. La femme Africaine est soumise à son mari car elle est jugée inférieure à l'homme. Elle n'a pas appris à se débrouiller toute seule sans son mari, à être autonome. Quand elle veut faire quelque chose elle consulte d'abord son mari avant de se lancer. A cause de ça les hommes les prennent pour des êtres inférieurs ils les maltraitent donc comme des animaux et veulent qu'elles soient soumises. Cette situation est due à la dépendance des femmes envers les hommes. Elles ont appris à demander l'avis de leur mari et ont terminé plus soumises qu'elles ne devraient l'être.
Ouest.
La Déclaration de Zanzibar, adoptée par la Conférence, porte sur le lancement d'un " mouvement panafricain de femmes pour la paix pour mettre fin aux conflits violents et à la guerre " et d'un " appel aux femmes des autres continents pour qu'elles se joignent à nos efforts ". " Nous nous engageons, y est-il écrit, à promouvoir la résolution des conflits par des moyens non violents ainsi que les valeurs africaines pour une culture de la paix ". En matière de participation des femmes à la promotion de la paix, la Déclaration note que " les femmes africaines demandent instamment aux gouvernements, à l'OUA et au système des Nations Unies de prendre d'urgence des mesures efficaces pour faire en sorte que les femmes soient effectivement représentées de manière équitable dans les négociations de paix, la prévention des conflits et leur résolution ".
Plus loin, elle lance - dans le cadre d'une volonté, à terme, de démilitarisation et de désarmement du continent africain - " un appel aux gouvernements et aux parlements africains pour qu'ils réduisent les dépenses militaires et réorientent les ressources ainsi dégagées en faveur du développement des peuples ". Prônant " la mise en place de réseaux reliant mouvements de femmes africaines et mouvements internationaux ", la Déclaration met l'accent sur la nécessité pour les femmes africaines d'avoir " un accès efficace aux outils et à la technologie de la communication appropriés, ainsi que leur utilisation ", afin d'intensifier cette mise en place. La Déclaration souligne également l'importance de la radio pour le continent : " Un programme radiophonique panafricain sur les femmes et les questions relatives à la paix devrait être créé ".
En Amerique la femme entre chez elle à 5heure du matin...elle passe la nuit à sevir les autres dans un barre ou un restaurant de nuit...dans le bruit, la fumée secondaire...
Partout dans le monde la situation de la femme nous fait réfléchir...
oui les femmes sont fortes psychologiquement et assument bien plus q certains hommes et pourtant ont leur attribue tjs le qualificatif faible,, les femmes sont-elles le sexe faible ? je ne pense pas au vue de tt ceci et bien d'autres choses
le modele des femmes marocaine commence à ressembler de plus en plus à celui de ses comparses europeennes en plus essaye la prochaine fois essaye de résumé tes idées
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