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Femmes battues
b
25 novembre 2010 18:32
En France une femme meurt en moyenne tous les deux jours et demi sous les coups de son conjoint, compagnon.
Selon les statistiques, il faudrait multiplier par 10 le nombre de plaintes déposées pour violences pour parvenir à une estimation
réaliste. Car hélas beaucoup trop de femmes se taisent.
Un certain nombre de ces femmes s'en sortent mais,
quand on s'est fait grignoter au fil du temps les quelques rares liens sociaux que l'on entretenait, que l'on s'est vu fermer la petite lucarne ouverte sur la vie du dehors, enfin quand on se retrouve confinée dans le "plus beau rôle qui puisse
échouer à une femme" (argument fallacieux et machiste) celle d'épouse et mère modèle la partie n'est pas gagnée quand on
est confrontée à cette forme-là de violence.
Car vers quoi se tourner, quand on a été financièrement dépendante toute sa vie d'un homme?
Le mari violent le sait que cette soumission liée à la dépendance fait partie de sa force.

Il faut que la femme persiste dans son évolution. C'est aux mères de famille, mamans d'adolescentes, de jeunes filles de leur dire
que l'objectif d'un mariage ne doit en rien occulter l'impératif d'apprendre un métier, de faire des études, de s'épanouir par rapport
à un acquis personnel. C'est sans doute une bataille pas toujours facile à engager quand on considère que des pères pensent
que savoir lire et compter est amplement suffisant pour une femme. Et je crois malheureusement que dans le monde musulman,
il y a actuellement une bien triste régression dans ce domaine.

Bien entendu que bien des femmes de milieux sociaux favorisés sont des victimes de la violence conjugale.
Mais quand on ne possède aucune arme pour se défendre, le futur parait bien noir.
f
25 novembre 2010 18:41
Aujourd'hui "la journée de la jupe" en France était aussi un symbole de liberté !
z
25 novembre 2010 19:33
perplexe

Les femmes issues des milieux favorisées sont victimes de violence conjugale comme le dit la conclusion.
Mais ce que le texte ne dit pas que la violence conjugale touche absolument toutes les catégories socio professionnelles, tous les milieux de manière égale, et cela n'a strictement rien à voir avec le mot "musulman" que j'ai pu lire entre les lignes, ni d'une quelconque dépendance financière.

Pour qu'un combat soit efficace, il faut déjà viser juste.

Si c'est pour promouvoir le savoir pour les femmes, l'utilité d'un diplôme ou des études pas besoin d'agiter le spectre de la femme battue.
On a tous été poussé à au moins chercher à savoir mais j'ai jamais eu comme argument "c'est au cas où ton futur mari voudrait te mettre sur la tronche...".
N
25 novembre 2010 19:57
Savoir lire et compter, c'est ce qu'on demandait aux hommes, en France, il y a encore seulement 30 ans. 30 ans. C'est peu, très peu à l'échelle du temps. Savoir lire et écrire c'est louable. Savoir éduquer ses enfants, préserver son foyer, et donc la société, ça n'a pas de prix. Ca ne vaut même pas le salaire de Bill Gates.

Aller mesdames....Faites des études, construisez des ponts, confiez vos enfants à des nounous, oh pardon, à des poupous, car forcément, les nounous doivent faire des études pour ne pas dépendre finacièrement de leur mari, pardon, de leur conjoint, oh, pardon, de leur compagnion, oh pardon, de leur copain, enfin je sais plus...

Les femmes de la haute bourgeoisie anglaise américaine et française font des études supérieures et s'occupent ensuite de leurs enfants (et de leurs maris) à plein temps. De quoi faire des jalouses... Hé oui, s'éduquer pour savoir éduquer, pas s'éduquer pour savoir éclater.

Franchement, il y a des vampires qui feraient mieux de bien tenir leur rôle : ne sortir que la nuit.
b
25 novembre 2010 20:09
Oh amir-al-bahr, parler de vampire est-ce bien raisonnable?
Tiens, vous me donnez l'occasion de me souvenir d'un film où Dracula incarné par un acteur terriblement séduisant
sévissait dans ce rôle bien connu de buveur de sang. Le charisme de l'acteur était tel que j'en étais tombée amoureuse.
Oh j'étais si jeune, seize ans environ. J'aurais bien proposé mon sang pour sentir sa bouche sur ma gorge fraîche.
Hum.....j'en ai des frissons rien que d'y penser...
Le charme envoûtant du vampire.....re-hum....
Bon revenons à nos moutons. La violence conjugale touche toutes les échelons de la société, c'est un fait.
Mais je voulais rappeler aux mamans qu'il faut encourager leurs filles à poursuivre leur évolution.
On peut faire des études, apprendre un métier, avoir un acquis qui peut servir le jour où les enfants n'ont plus besoin
du giron maternel. Enfin, quand ils peuvent commencer à se débrouiller un peu seuls.
C'était ce simple message que je voulais faire passer.
Mais j'en reviens tout de même à cette tendance masculine, aïe parfois féminine(actuelle et rétrograde) à penser que les filles sont faites pour tenir une maison et élever leurs progénitures et rien de plus.Excusez-moi si ce rôle restrictif destiné aux femmes (par les hommes) me gêne aux entournures.
Voyez Monsieur l'amiral Barre, il n'y a pas de quoi fouetter un chat, ni faire appel aux vampires...
Ah mais qu'il était donc séduisant cet acteur. Je ne me souviens plus de son nom.
Tiens, je vais faire une recherche sur google. Ensuite j'irai mettre les enfants au lit....
C
25 novembre 2010 20:54
Citation
gemia a écrit:
Aujourd'hui "la journée de la jupe" en France était aussi un symbole de liberté !

Je refuse d'être représenté par les deux sorcières...
☠ chti'sem ☠
B
25 novembre 2010 21:14
Mal nommer les choses c'est ajouter au malheur du monde: De la jupe? Mais c'est plutôt un pagne !

(edit:face de citron intrus!)



Modifié 1 fois. Dernière modification le 25/11/10 21:16 par Bedoon essm.
[i]Rose des Sables,Rose des Vents[/i].
b
25 novembre 2010 21:51
mais qu'ont-ils dont contre la jupe ces charmants frustrés?
C'est joli une jupette, plissée, plis soleil, plis plats, droite, froncée, à volants, mini, courte, longue...
Non? bon... cachez alors Mesdemoiselles cette jupette que l'on ne saurait voir...


Au fait qui sont donc les deux sorcières?

"Deux sorcières en jupette, panier d'osier à la main, cueillaient des fleurettes à clochettes. Les coquettes arboraient fièrement une jupette des plus croquignolettes. Au détour d'un chemin, elles croisèrent un vampire au regard flamboyant. Les prunelles injectées
de sang, la bave écarlate au coin des babines, elles le trouvèrent follement attirant. "Ciel un vampire" clamèrent-elles en choeur, en s'efforçant de paraître apeurées; "N'ayez crainte mes toutes belles, leur lança l'ogre suceur de sang, je ne suis qu'un
inoffensif amiral égaré!".. "Mon oeil, nous n'en croyons rien, répondirent les coquines, vos incisives sont bien trop longues, vos canines trop coupantes. Et d'ailleurs où sont donc vos étoiles sur votre joli burnous?".


Je vous livrerai la suite plus tard, maintenant il faut que je retourne tenir mon rôle de femme parfaite.
N
26 novembre 2010 00:04
Citation
blafith a écrit:
mais qu'ont-ils dont contre la jupe ces charmants frustrés?
C'est joli une jupette, plissée, plis soleil, plis plats, droite, froncée, à volants, mini, courte, longue...
Non? bon... cachez alors Mesdemoiselles cette jupette que l'on ne saurait voir...


Au fait qui sont donc les deux sorcières?

"Deux sorcières en jupette, panier d'osier à la main, cueillaient des fleurettes à clochettes. Les coquettes arboraient fièrement une jupette des plus croquignolettes. Au détour d'un chemin, elles croisèrent un vampire au regard flamboyant. Les prunelles injectées
de sang, la bave écarlate au coin des babines, elles le trouvèrent follement attirant. "Ciel un vampire" clamèrent-elles en choeur, en s'efforçant de paraître apeurées; "N'ayez crainte mes toutes belles, leur lança l'ogre suceur de sang, je ne suis qu'un
inoffensif amiral égaré!".. "Mon oeil, nous n'en croyons rien, répondirent les coquines, vos incisives sont bien trop longues, vos canines trop coupantes. Et d'ailleurs où sont donc vos étoiles sur votre joli burnous?".


Je vous livrerai la suite plus tard, maintenant il faut que je retourne tenir mon rôle de femme parfaite.



Difficile de m'arriver à la cheville avec une jupette...à moins d'être tirée vers le bas. J'ai vu mieux dans la prose. Mais enfin, les grands-mères aussi ont le droit de rêver...on ne peut que compatir.
26 novembre 2010 00:22
dommage que vous vous soyez égaré en chemin car le sujet est grave une femme qui meurt sous les coups de son mari c'est horrible et encore plus de nos jours ou l'on se dit vivre dans une société civilisé
Et ceci touche toutes les couches social celà n'a rien à voir avec le faite d'etre indépendante ou non des femmes médecins avocates le sont c'est un fléaux qu'il faudrait éradiqué
Et moi aussi j'ai été choqué qu'un tels sujet est été représenté par un symbole aussi léger qu'une jupe je ne vois vraiment pas le rapport c'est faussé le sujet et le rends plutot comme une revendication féministe alors que le problème est totalement ailleurs
enfin que dieu nous épargne de telles souffrances et viennent en aide à celles qui les subissent et ceux qui la font subir
f
26 novembre 2010 00:40
Oui une jupe c'est bien connu fait tourner le coeur et la tête!
z
26 novembre 2010 01:16
Salam,

Moi je comprend plus rien dans les années 60 la femme pour se libérer à opter pour le pantalon , aujourd'hui la femme opte pour la jupe pour se libérer.
b
26 novembre 2010 02:12
Un peu de culture française ....
Janneton prends sa faucille la ri lère la ri lère
Janneton prends sa faucille pour aller
pour aller couper les joncs
pour aller couper les joncs
En chemin elle rencontre la ri lére la rit lére,
En chemin elle rencontre trois jeunes et beaux garçons...
Ce que firent la ri lére la ri lére
Ce que firent les méchants garçons
N'est pas dit dans cette chanson
N'est pas dit dans cette chanson
La morale de cette histoire
La morale de cette histoire c'est que les hommes sont des cochons
c'est que les hommes sont des cochons.
La morale de cette morale
La morale de cette morale c'est que les femmes aiment les cochons ...
C'est explicite, on y retrouve le respect de la femme enseigné dés la tendre enfance espiègle et innocente, comme le rapport entre femmes et hommes, le tout sur l'air entrainant et jovial d'une chanson.
Je me souviens d'une affolante mini-jupe en classe de terminale qui attirait les regards plus que toutes les démonstrations écrites au tableau. Les élèves étaient plus sensibles au froissement de cette dernière qu'à tous les discours à tel point que le jour du bac certains furent réduits à dessiner des minis-jupes sur leur copies.
b
26 novembre 2010 08:26
Bien entendu sheera que ce sujet est dramatique. Et encore une fois oui, l'indépendance financière des femmes n'est pas un
élément qui les met hors de danger mais, il n'en reste pas moins vrai que plus une femme est dépendante et plus elle aura
du mal à sortir de cet enfer. Cela me paraît une évidence. Plus une femme sera confinée dans son intérieur et moins elle osera
ne serait-ce que se faire connaître de la police pour dénoncer la violence subie.
Pour les pauvres malheureux qui voient le mal dans le port de la jupe ou son symbole, je leur conseillerai d'aller vite consulter.
Si aucune solution ne leur sera apportée, au vu de cette affection délirante qui les frappe (?!), on pourra au moins les enfermer dans une cage grillagée et cadenassée à l'écart de ce monde féminin dépravé.
Pour ma prose, soyez compatissant cher amiral Barre, une humble petite mémé portant jupette ne peut rivaliser avec un
niveau cinq étoiles polies et lustrées, astiquées avec soin chaque jour de leur existence. Crachez-vous dessus régulièrement
pour les faire briller plus encore?
Bon je vais de ce pas enfiler ma jupette et aller assurer une longue journée de labeur.
Laquelle vais-je choisir? je ne sais vraiment pas. Rasta venez donc m'aider, en remerciement je vous donnerai ensuite l'autorisation
de me battre. Si je passe une mini cela vous donnera une belle occasion de vous en donner à coeur joie.
Bonne journée..
z
26 novembre 2010 09:20
C'est quoi le sujet:
la jupe? les femmes battues? ou l'importance de l'enseignement ?

Si c'est le fait de promouvoir le savoir pour les filles, faudra songer à changer le titre...

Régression dans les pays musulmans de la scolarisation des enfants? Tu parles du Maroc? Sur quoi tu te bases?
C'est plutôt en net progrès, garçons et filles grâce non pas à des donneurs de leçons mais à toutes les bonnes volontés sur place et des donneurs de dons:


[www.yabiladi.com]
[www.yabiladi.com]
[www.yabiladi.com]
[www.yabiladi.com]
[www.yabiladi.com]
[www.yabiladi.com]
[www.yabiladi.com]
[www.souriredespoir.org]

et j'en ai surement oublié au passage... mais celui qui veut promouvoir l'accès à l'enseignement, il n'a qu'à cliquer et donner.
Si les oliviers connaissaient les mains qui les ont plantés, leur huile deviendrait des larmes. [b][color=#FF0000]@[/color][color=#FF0000]@[/color]@@@@@@ [color=#FF0000]@[/color][color=#FF0000]@[/color][color=#FF0000]@[/color][color=#FFFFFF]@@@@@[/color] [color=#FF0000]@[/color][color=#FF0000]@[/color][color=#009900]@@@@@@[/color][/b]
26 novembre 2010 11:02
Citation
gemia a écrit:
Aujourd'hui "la journée de la jupe" en France était aussi un symbole de liberté !

bientôt elles passeront à la journée du string ..
b
26 novembre 2010 17:11
Blafith, la madonna, ou Dona de Quijote de la Mancha, la Don Quichotte de la Manche (mer occidentale), à la conquête de ces terres méconnues andalouses et musulmanes ... Autre regard, entre mini-jupe, ré-appropriation du corps version occidentale, - le corps ayant toujours son propriétaire, que se dispute les designers, les entreprises de cosmétiques, les habilleurs, les curés, les laïcs etc- une libération de la femme qui sera irrémédiablement toujours soumise à sa féminité et maternité (pas libre). On peut en prenant du recul, aborder le problème sous l'angle du nombre de divorce en croissance et le multiplier par 10 pour les infidélités réciproques, du narcissisme, de l'égoïsme qui vont avec. Une société où le cadre familial explose sans véritable solution en échange si ce n'est que le laisser-aller et le laisser faire. Les valeurs changent : d'une mère qui faisait tout pour ses enfants, pour maintenir la stabilité du couple à celle qui part le cœur léger avec le premier amant de passage ... Tu présentes le coté brillant d'une médaille, que tu affirmes savoir porter et cracher dessus pour la rendre miroitante, vu qu'en experte tu conseilles... Dans toute analyse il faut objectivement faire un bilan : cotés positifs/cotés négatifs. Mais je pense que ta vision hégémonique, superficielle, néo-coloniale, imbibée d'une pseudo-modernité te combles vu que tout ce que nous représentons en terme de culture, d'art de vivre, de principes moraux est bon à mettre à la poubelle de l'histoire. Coté négatifs : délitements des valeurs, des liens familiaux, du respect des personnes âgées, du respect de l'autre, délinquance et la liste n'est pas exhaustive du package qui va avec une inexistante liberté (totale) mal comprise ... La femme se "libère" et les enfants poussent au gré du vent ...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 27/11/10 01:25 par blagheurt.
b
26 novembre 2010 22:28
Citation
blagheurt a écrit:
Blafith, la madonna, ou Dona de Quijote de la Mancha, la Don Quichotte de la Manche (mer occidentale), à la conquête de ses terres méconnues andalouses et musulmanes ... Autre regard, entre mini-jupe, ré-appropriation du corps version occidentale, - le corps ayant toujours son propriétaire, que se dispute les designers, les entreprises de cosmétiques, les habilleurs, les curés, les laïcs etc- une libération de la femme qui sera irrémédiablement toujours soumise à sa féminité et maternité (pas libre). On peut en prenant du recul, aborder le problème sous l'angle du nombre de divorce en croissance et le multiplier par 10 pour les infidélités réciproques, du narcissisme, de l'égoïsme qui vont avec. Une société où le cadre familial explose sans véritable solution en échange si ce n'est que le laisser-aller et le laisser faire. Les valeurs changent : d'une mère qui faisait tout pour ses enfants, pour maintenir la stabilité du couple à celle qui part le cœur léger avec le premier amant de passage ... Tu présentes le coté brillant d'une médaille, que tu affirmes savoir porter et cracher dessus pour la rendre miroitante, vu qu'en experte tu conseilles... Dans toute analyse il faut objectivement faire un bilan : cotés positifs/cotés négatifs. Mais je pense que ta vision hégémonique, superficielle, néo-coloniale, imbibée d'une pseudo-modernité te combles vu que tout ce que nous représentons en terme de culture, d'art de vivre, de principes moraux est bon à mettre à la poubelle de l'histoire. Coté négatifs : délitements des valeurs, des liens familiaux, du respect des personnes âgées, du respect de l'autre, délinquance et la liste n'est pas exhaustive du package qui va avec une inexistante liberté (totale) mal comprise ... La femme se "libère" et les enfants poussent au gré du vent ...

Ah ben non alors, pour la médaille je ne suis pas d'accord. D'abord ce n'est pas une médaille mais une étoile et elle est la
propriété de l'amiral Barre. Je veux bien accepter d'être aussi corrompue que tu le dis, mais je ne m'approprie pas ce qui ne m'appartient pas. L'amiral Barre ne serait pas content.
b
26 novembre 2010 22:31
Ah j'ai oublié de dire que ce soir, avant de rentrer à la maison j'ai pris le temps de m'acheter une petite merveille de jupe.
Des frous frous à n'en plus finir. Je vais encore faire des jalouses, tant pis il faut avoir le courage d'assumer.
N
27 novembre 2010 02:03
J'ai donc saisi que "mémé" veut dire "grand-mère". Alors mémé, arrêtez votre mixture, car elle ne prend manifestement pas. Vous avez un problème d'appilcation du principe causal : la dictature, c'est les Musulmans ; la regression, c'est les Musulmans ; la (non) liberté de la femme, c'est les Musulmans ; la femme battue, c'est les Musulmans. Et les accidents de la route causés par l'alcool, c'est aussi les Musulmans ? Et les SDF qui dorment dans la rue, c'est aussi les Musulmans ? Et l'échec scolaire, c'est encore et toujours les Musulmans ? Et les agriculteurs en colère, toujours eux ? Et les graffitis qu'on peut lire sur les murs de Liverpool, c'est bien sûr toujours et encore les Musulmans... Well well well... Je n'en dis pas plus.

Quant au glissement de terrain effectué pour arriver sur celui de la mini-juppe, reconnaissez qu'il vous tient à coeur. J'ai comme l'impression que vou avez envie qu'on vous dise que la mini-juppe vous va bien. Désolé mais, tant que je ne vous ai pas vue en mini-juppe, je ne peux rien vous dire. Car sur ce plan, le Musulman aussi sait faire la part des choses. Quand vous parlez de "frustration", on croirait que la mini-juppe est si rare qu'on devient fou rien qu'à en voir une sur un mannequin dans une vitrine. Vous êtes restée au siècle dernier mémé,il faut évoluer un peu. Cela fait bien longtemps que la mini-juppe était le pseudo "symbole de la liberté de la femme". Aujourd'hui, son rôle a changé, il fait, comme vous le dites à demi-mot, tourner les têtes. A l'image de l'ivresse alcoolique, la mini-juppe fait des ravages : multiplication d'agressions et de viols à l'encontre de femmes en mini-juppe et tant de types jetés en prison pour avoir succombé à l'ivresse de la mini. C'est pour toutes ces raisons que la police de Manchester a conseillé récemment aux femmes de ce comté de s'habiller comme les Musulmanes qui, elles, ne subissent aucune agression dans la rue...
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