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La femme marocaine analphabète ??
a
25 juin 2009 16:01
Elle n’a jamais été à l’école et pourtant elle est si célèbre.

Elle a même composé des poèmes.
Les connaisseurs s’arrachent son chef d’œuvre, Spielberg lui-même est un fan.
Elle a son franc parlé, elle est autonome, elle refuse l’autorité.
Elle a crée un style, son propre style celui de la luminosité Marocaine.

Elle c’est CHAIBIA, une femme Marocaine, fière, pétrie de talents et connue mondialement.
Sa peinture, est si extraordinaire que beaucoup pensaient qu’elle était influencée par les plus grands.
Or, elle, n’a pas connue point de plus grand, seule son inspiration l’a aidée.
Chaîbia Tallal a occupé, peut-être sans le vouloir, les devants de la scène artistique. Naïves, certes, ses toiles sont parmi les plus vendues dans le monde.

Voilà ce que dit d’elle le journal Hebdo :

Cette fille de la campagne, comme elle aimait à le rappeler, est née à Chtouka. Sa terre natale lui a appris à apprécier la nature et à en marquer son œuvre. Les champs verdoyants, les rivières d’un bleu éclatant, les fleurs multicolores ; autant d’éléments omniprésents dans ses toiles. À l’âge de sept ans, elle quitte sa maison parentale pour venir habiter chez son oncle à Casablanca. À 13 ans, elle s’est mariée avec un homme très âgé originaire de la ville d’Ouarzazate et qui est le père de son unique fils, Houssine, un peintre au talent incontestable
Après deux ans, elle se retrouve veuve. Seule au monde, sans ressources, avec un enfant à sa charge. Mais Chaîbia ne perd pas espoir. De nature gaie et optimiste, elle croit à sa destinée. Afin de subvenir aux besoins de son garçon, elle travaille en tant que femme de ménage tout en rêvant d’un avenir meilleur. Un soir, à l’âge de 25 ans, elle fait un rêve prémonitoire.
Dans son songe, elle voit des personnes étrangères lui donnant du papier et des crayons. Le lendemain, elle répond à cet appel nocturne en achetant de la peinture bleue et commence à faire des tâches et des empreintes. Par la suite, elle se procure de la gouache et des toiles. Une autre vie se présente à elle. Le jour, Chaïbia travaille, et le soir, elle peint.
Un jour, Houssine, son fils, déjà peintre, reçoit la visite du critique Pierre Gaudibert et des peintres Cherkaoui et André El Baz.
Autour d’un bon thé, Chaîbia leur annonce qu’elle s’est mise à peindre. Dans un élan de spontanéité, elle leur montre ses toiles. Immédiatement, ils ont été frappés par la vivacité et l’équilibre de son œuvre. Et son aventure picturale démarre. Depuis, ses œuvres figurent dans de prestigieuses collections.
En effet, Chaïbia promène les couleurs des personnages et des prés verdoyants des Chtouka aux quatre coins de la planète.
Un voyage ininterrompu, depuis déjà près de quarante ans. Elle a
monté sa première exposition en 1966 à Casablanca. Aidée par Pierre Gaudibert, elle a conquis la ville des lumières, Paris. Au Japon, aux Etats-Unis, dans les pays scandinaves, en Angleterre, en France, en Italie, l’artiste intrigue, suscite d’abord la curiosité,
puis un intérêt atténué, enfin un enchantement et une exaltation réfléchis. Elle a organisé plusieurs expositions au Maroc et à l’étranger et ses tableaux ornent de nombreux ensembles publics dans les établissements et des musées, dont l’institution nationale des arts modernes, à Paris, et le musée d’art brut en Suisse. Ses œuvres d’art sont exposées dans des ensembles privés nationaux et internationaux.
Cet artiste-peintre a été récompensé en mai 2003 par la médaille

Chaïbia peint de manière irréaliste, avec un sens humoristique inné. Devenue figure de proue de la modernité et porte-flambeau de la femme au Maroc, elle demeure inclassable
Chaïbia a été connue grâce à ses toiles mais aussi à la faveur de ses expressions populaires, son regard perçant et sa féminité naturelle, a-t-il relevé. Ainsi, son personnage est sa propre source d'inspiration.
Son enfance, presque volée, l’artiste a cherché à rester éternellement enfant dans la peinture. La naïveté jaillit de son festival de couleurs, comme un cri d'innocence qui prend le visiteur à témoin, l'interpelle, le fascine, le charme.
Pour défendre une femme , il faut commencer par la respecter Etre tolérant , c'est faire un TOLLE A L'ERRANCE
m
25 juin 2009 16:16
Bonjour,

Merci de rendre hommage à nos femmes. Nous savons tous que ceux qui tentent de porter atteinte à la femme marocaine le font par jalousie. Ce qu'ils visent est sous le tamis.

Mais nous leur disons qu'il n' y a pas mieux que la famme marocaine. Lallait Laayalat, Bent Al Assal Oual Mafssal.

mag3
a
25 juin 2009 17:11
Quelques toiles de cette femme peintre :

[images.google.fr]
Pour défendre une femme , il faut commencer par la respecter Etre tolérant , c'est faire un TOLLE A L'ERRANCE
t
26 juin 2009 09:27
Citation
mag3 a écrit:
Bonjour,

Merci de rendre hommage à nos femmes. Nous savons tous que ceux qui tentent de porter atteinte à la femme marocaine le font par jalousie. Ce qu'ils visent est sous le tamis.

Mais nous leur disons qu'il n' y a pas mieux que la famme marocaine. Lallait Laayalat, Bent Al Assal Oual Mafssal.

mag3

Bien dis mag3.
P
26 juin 2009 09:37
Salam,

Elle vie toujours à chtouka? (chtouka = tnin chtouka??? entre casa et jadida?)

Elle les vend à combien ses toiles? Ill c'est accessible?


désolé Heu

Elle a un quelque chose de picasso smiling smiley, trop la classe cette femme.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 26/06/09 09:39 par Pti'Sem.
Et le pire des ignorants est celui qui ignore qu'il est ignorant.
L
26 juin 2009 10:54
j'ai vu un reportage sur elle il y a qqs années.

joli.

l'art et la culture ne résident pas que dans l'écrit.
l
26 juin 2009 10:56
I'm Dr Bean..grinning smiley

[www.youtube.com]



Jalousie quand tu tiens..grinning smiley

Ps :c'est pas un HS. merci.
c
29 janvier 2013 13:00
ça fait plaisir j'aime les femmes toujours forte Danse
 
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