desolée pour cette attente inexcusable vraiment mais Allah ghaleb
J'utilise le compte de ma sourette parce que le mien est bloqué j'arrive pas à l'ouvrir
La France La France La France!!!
Les adieux ont été terribles. Des larmes, des cris certaines se frappaient le visage; toutes les femmes du village étaient à la maison le jour de mon depart pour soutenir ma famille et me dire adieu, me souhaiter bonheur et paix. Tout ce qu'elles ont fait c'est nous rendre triste et nous fatiguer. J'ai dut sortir dire au revoir aux vieillles dames qui n'avaient pas la force de sortir, les voisines m'ont accompagné maison par maison, et après avoir eut la bénédiction de toutes ces vieliies dames, j'ai rejoin la maison de mes parents. Ches nous, tu n'es pas juste l'enfant de tes parents, t'es l'enfant de tout le monde, chacun participe à ton éducation quand tu souffres tous souffrent et quand t'es heureux tous sont heureux. Le respect amazigh nous a appris repsect de tous, encore plus des anciens.
Mon père m'a emmené jusque la voiture de Salim et de là nous sommes partis. Je ne savais pas vers ou mais c'était La France!
La route était interminable. Salim me parlait, chantait, me faisait rire. Il semblait heureux mais à l'époque, du haiut de mes 19 ans, je restais timide...
Après 4 jours et demi de route, Salim s'est garé devant une maisonnette tout mignonne: assez petite et grise. Elle ressemblait à toutes les autres. Tout était pareil ici de toute façon. Je restais immobile dans la voiture, je ne savais pas ce que je devais faire.
Salim me demande de descendre, je le suis tranquillement. IL me fait visiter la maison rapidement et va se coucher tellement il est épuisé par la route. Je suis donc resté toute seule entre ses murs froids. Je n'avais pas l'havitude d'être seule, mais je ne ressentais aucun réel malaise. J'avais l'impression d'être ici comme si je l'avais toujours été.
Je finis par m'endormir tranquillement près de Salim. J'appréhendais et me demandais qund est-ce que notre union serait consommé. JE me suis dit que s'il dormait il ne se passerait rien. C'était bien le cas, et ca a été le cas des quelques mois qui ont suivi. Je m'habituais à ma vie: Salim sortais à l'usine et je l'attendais. J'avais mes meubles, ma voisine Ginette qui m'apprenais à ma servir des quelques appreils menagers et à me présenter en français. Mais coté intimité, rien n'avait avancé depuis l'été dernier, depuis le baiser de Salim. JE ne comprenais pas, je m'habituais à cet homme tendre,affectueux et attentionné mais il ne venait pas vers moi. Je n'osais pas lui en parler, je n'avais même pas envisagé de lui en pareler. Comment aurais-je fais???? c'était juste impossible!
J'ai donc pris mon mal en patience, patience qui m'a apporté plus de mal qu'autre chose...
17h, Salim ne rentre toujours pas du travail. D'habitude, il rnetre directement après le travail mais la les heures défilaient et toujours rien. C'est qu'après 23h que j'entend la porte s'ouvrir. Un gros bruit s'en est suivi. J'ai cru comprendre que c'était le vase de l'entrée qui était tombé, je me suis précipitée vers l'entrée et y ait trouvé Salim les yeux completement rouges. Je comprenais rien, j'ai accouru vers lui et il m'a giflé comme jamais personne ne l'avait fait:
Salim: degages! Moi: Salim! Salim: j'ai dit degages! pourquoi tu viens vers moi ce soir? hein? la t'as envie de me toucher espèece de... Moi: Salim! Moi: pourquoi tu me fuis depuis que t'es là? Qu'est ce que je t'ai fait? Je te choyes depuis que t'es ma femme et tu te refuses à moi sans raison? Pour qui tu te prends? Moi: Salim mais t'as bu? Salim: et alors qu'est ce que ca peut te faire? Maintenant tu fais la femme attentionné? Moi: Mais Salim: oui lala moulaty je bois, j'ai but et je continuerais
Salim m'a attrapé le bras et m'a collé contre lui. JE ne comprenais rien, il continuais de répéter sans cesse que je me refusais à lui, que j'avais décidé de le faire souffrir Je sentais l'odeur de l'alcool j'avais envie de vomir.
Je sentais ses mains sur mon corps, sa respiration dans mon cou j'avais envie de le repousser mais il me serrait beaucoup trop fort
Ni une ni deux, je me suis retrouvé allongé, sous sa masse, les jambes écartées à subir ce que lui m'avait imposé. L'acte a été très rapide et Salim s'est endormi juste après.
Pourquoi Salim m'avait fait ça? Pourqyoi croyait-il que je ne voulais pas qu'il me touche alors que j'attendais qu'il vienne vers moi. J4ai pleuré toute la nuit mais me disait que c'était mon mari. Je ne reconnaissais pas Salim, comment a-t-il put passerr de la douceur en personne avec son baiser à la brutalité même en me faisant l'amour de cette manière?
LE lendemain matin, je ne savais pas quel comprtement adopter face à Salim, je ne voulais pas me lever tant qu'il n'était pas debout. J'avais à peine les yeux ouverts que je vis Salim sur le bord du lit a me regarder:
ma voix tremblais et je craignais que ca ne recommence.
salim: le ftor est près, quand tu auras envie de déjeuner dis le moi moi: oui, je me lève
on s'est installé rapidement autour de la table et je restais trèèès distante avec salim
salim: hbiba t'es ma femme maintenant, depuis presque 1 an moi: oui salim: est ce que tu as peur de moi? moi: oui, non enfin non j'ai pas peur salim: pourquoi est-ce que tu as peur de venir vers moi dans ce cas? Tu trouves normal que nous n'ayons rien fait encore? moi: salim: je veux pas te brusquer hbiba, mais je suis un homme, je suis avec toi toute la nuit sans qu'il ne se passe rien depuis un an, je ne peux plus tenir moi: mais... salim: j'espere que tu comprend et que je ne te choque pas. j'aimerais enfin te toucvher pour la premiere fois moi: première fois? salim: ben oui hbiba, pour la première fois, je t'ai embrassé mais ca ne comopte pas ça!
Salim a quitté la table sur ces mots me laissant perplexe. Pourquoi me parlai-il de prmeière fois après cette nuit.L4alcool lui avait-il oté toute mémoire??
je ne compnais plus rien, avait l'impression de vivre avec l'ombre et la nuit et je redoutais la suite. Comment lui dire ce qui s'était pass2?
Slm, je viens de lire ta derniere partie, j'attends la suite....
ptite question: tu dis ke c l'histoire e ta mere, ca veux dire k'e t'as racontée sa premiere fois avec ton pere alors k'il avait bu et k'il l'a prise de force, j'y crois pas trop, c dla fiction nn
pourquoi est-ce que tu as peur de venir vers moi dans ce cas? Tu trouves normal que nous n'ayons rien fait encore? 
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