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Sabrina_marooc a écrit:
C’est ce que conseille régulièrement Citronnus.
Composer avec sa personnalité et surtout ne pas se comparer.
Aucune personnalité n’est meilleure qu’une autre. Le tout est de savoir se dompter !
En tout cas tu as eu de super conseils des filles !! Maintenant il faut qu’on applique lol
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Pensée sauvage a écrit:
Exact.
D'ailleurs j'aime beaucoup lire les conseils de Citronnus et ses partages d'expérience.
Je me rend compte que j'ai beaucoup nié ma personnalité pour essayer de correspondre à un idéal que je me suis fixé, pour rentrer dans le moule.
Il faut que je réapprenne à me connaitre, que j'apprenne à m'accepter et à m'aimer comme je suis, à optimiser mes capacités, bref, il faut que je me développe en me respectant.
C'est fou, je pensais que tout ça était acquis, mais je me leurrais.
J'ai commencé un nouveau carnet qui est tournée là dessus d'ailleurs.
Ça sera une sorte de journal intime avec des pensées et réflexions, des citations qui me parlent, mes listes d'objectifs, programmes, etc.
Je pense que mettre sur papier pourra m'aider à intégrer les choses mieux que si c'était seulement des pensées furtives. Et l'écrit permet une certaine analyse que l'oral ou la pensée furtive ne permet pas.
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Pensée sauvage a écrit:
C'est trop ça lol.
Et si tu as le malheur de fermer à clé le petit s'acharne sur la poignée jusqu'à ce que tu sortes...
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chrisado a écrit:
Il faut te faire aider..la dépression peut s'ensuivre après une longue déprime.
Recentre toi sur toi... aime toi.
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Pensée sauvage a écrit:
Je n'ai pas besoin d'aide, juste de faire les choses à mon rythme et d'être tranquille.
À ton avis de devrais forcer et outrepasser mes limites physiques ?
J'ai l'impression d'être faible et nulle, contrairement aux autres qui forcent malgré les douleurs et la fatigue.
Mais je sais que si je force trop, l'épuisement physique et moral suivra, et la dépression avec, comme il m'est arrivé il y a quelques années.
J'essaie.
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T$&# a écrit:
Salam pensée
Ne forces pas ne vas pas au delà de tes limites physiques.
Tu continuerais à te Nier, nier tes besoins.
Ne vis plus sous l influence des autres et ce que les autres attendent de toi.
Tu dois t écouter.
J'ai l'impression d'être faible et nulle, contrairement aux autres qui forcent malgré les douleurs et la fatigue.
Tu te compares aux autres mais tu crois que ces personnes ne sont pas dans le reniement et qu'ils ne sont pas envahis de doutes, de mal être, de frustrations ou un jour ils vont finir par éclater.
Elles ne sont pas des exemples à suivre.
En se reniant elles évitent les conséquences dont elles ne sont pas prêtes à assumer mais à quel prix ?
Au prix de leur santé,
Se Forcer à faire quelque chose que nous n avons pas envie de faire ou que nous nous forcons pour être appréciée en retour c'est se nier soi-même.
Nos actions doivent être posées par l amour et non pas
notre image notre culpabilité notre peur d'être jugé etc.
Donne toi tout l'amour que tu as besoin et de la bienveillance car tu es la seule personne à pouvoir le faire.
Se renier c'est etre confrontée à des souffrances tôt ou tard.
C'est trahir qui on est vraiment.
Il nous arrive d être déçu du résultat et ne pas comprendre que c'est ce résultat qui est bénéfique pour nous.
Lâcher prise c'est accepter un changement que la vie nous impose à travers l acceptation.
Tant que tu resteras dans le shemas d aller à l encontre des besoins de ton âme tu resteras dans LES SOUFFRANCES intérieurs.
Pour être prédisposée à s'occuper des autres il faut être en accord avec soi même.
Comment pourrait-on s occuper des autres si nous mêmes nous sommes pas bien ?
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Pensée sauvage a écrit:
Je ne sais pas de quoi j'ai besoin.
Je suis fatiguee, je ne sais pas si ma fatigue et mes douleurs sont d'origine physique ou psychologique.
Gérer une famille de six personnes c'est usant.
J'ai raté un truc, on est jamais serein à la maison, il y a toujours des tensions et des disputes, les enfants se disputent trop et ont des comportements qui dépassent les limites acceptables ( se disent des méchancetés, se crient dessus, ont des gestes violents.
Je n'arrive pas à cadrer tout ça.
Et le bazar qui nous envahit incessamment, malgré l'énergie que je déploie depuis des années pour que chacun se gère, en vain.
J'ai juste besoin de calme, de tranquillité, de repos.
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T$&# a écrit:
Gérer une famille de six personnes c'est usant.
Je veux bien te croire. Sauf que tu n'es pas censée gérer ton mari qui est adulte.
Comme il n'est pas très autonome sans toi il dépend lui aussi beaucoup de toi et c'est beaucoup reposé sur toi, tu n'as pas 4 enfants à t occuper mais 5 lol.
Si tu sais ce que tu as besoin
J'ai juste besoin de calme, de tranquillité, de repos.
Il faut apprendre à t affirmer, t imposer.
Pourquoi n imposerais-tu pas une nouvelle règle comme une des yabies t'a donné en exemple.
1h par jour où personne ne vient te faire chier te déranger et où une pièce serait qu'à toi pour te reposer moralement en écoutant de la musique zen et relaxante avec un plateau qui te fait envie.
Ou marcher 1h. Voir ta mère seule. Etc ce qui te conviendra à toi.
Après tout les sacrifices que tu as fait tu mérites bien ce moment à toi.
Les enfants ce n'est pas facile. Les frères et soeurs se chamaillent se disputent c'est comme ça.
Tu ne peux pas tout contrôler pensée et puis laisse ton mari gérer les enfants pendant cette heure .
Accepte que tu ne peux pas tout contrôler et que tout ne se passe pas comme nous l aurions aimé.
malgré l'énergie que je déploie depuis des années pour que chacun se gère, en vain.
Tu as manqué d autorité mais accepte que tu ne le sois pas et passe le relais.
C'est pour ça qu'un papa a aussi un rôle dans l éducation des petits. Il apporte l équilibre.
Après es-ce que tu vas réussir à imposer tes besoins c'est un peu la ou est ton défi.
Si tu es fatiguée. Ne te mets pas de pression sur ton travail sur toi.
Le psyché est lié au corps.
Fatigue morale engendre fatigue physique et sache que le changement de soi n'est pas facile et demande des efforts de l énergie etc.
Je suis moi même une âme qui aime la tranquillité et où trop d interactions est contre mon besoin de solitude.
J'aime certaines interactions. J'aime partager mais avec des limites.
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Pensée sauvage a écrit:
Mon mari se gère de plus en plus.
Mais j'ai toujours cette culpabilité de ne pas le gérer, comme c'était une attente implicite de sa part.
Franchement j'ai besoin de bien plus qu'une heure de tranquillité quotidienne.
J'ai besoin d'être toujours au calme, surtout en ce moment que je suis fatiguée.
Un calme surtout moral, qui m'évite les énervements qui m'usent énormément.
C'est ce qui me permet d'être en forme pour faire ma part de boulot et passer des moments agréables avec les enfants.
S'ils m'usent pendant une heure, mes batteries sont vides et je ne peux plus faire des trucs agréables avec eux par exemple.
J'ai tendance à me renfermer, à m'isoler, à me trouver des refuges (la lecture, dormir plus).
Je crois que le regard de mon mari pèse beaucoup sur moi moralement, malgré toute sa bonne volonté pour me laisser tranquille.
Hors de son regard je suis plus tranquille, moins dans la culpabilisation.
Les enfants sont beaucoup plus souples que les adultes, acceptent nos besoins et s'y adaptent.
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T$&# a écrit:
Je crois que le regard de mon mari pèse beaucoup sur moi moralement, malgré toute sa bonne volonté pour me laisser tranquille.
Alors es-ce que ce besoin de solitude, ne serais pas plutôt une fuite parce qu en ce moment tu te sens incapable , cette situation te renvoie à tes faiblesses /incapacités selon tes interprétations /visions ?
Es-ce pas plutôt un besoin d isolement que de besoin de solitude ?
L isolement est une fuite, une déconnexion.
La solitude est se retrouver avec soi, passer un moment avec soi même en étant heureuse d'être en sa compagnie .
Demande à ta mère si petite tu as toujours eu besoin de plaire à ton papa . Tu ne voulais pas le décevoir. Tu le voyais comme ton héros. Tu cherchais son attention et son amour en lui plaisant. Il fallait que tu vois dans son regard que ce que tu fais lui plaît et ce qu'il voyait de toi lui plaît.
Il y a bien une origine à cette importance du regard de ton mari et son jugement sur toi.
Tu t es imposée un tas de contraintes dans ta relation par obligation sans répondre beaucoup à tes besoins.
Beaucoup parents nous conditionnent petits à nous apprendre à ne pas faire passer nos besoins avant les autres.
Ils l ont reproduit. Nous le reproduisons et nous avons tendance par croyances que c'est de l égoïsme.
Non ça n'en est pas.
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