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GMTplus8 a écrit:
Tu as quel age?
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Mr.Casablanca13 a écrit:
Salam le prophète muhammad sws se faisait humilier et on lui jetais des pierres lorsqu'il se rendait dans des villages car il était le messager d'ALLAH swt. Il n'a jamais riposté et préférait demander à ALLAH swt de guider ces personnes la, donc commence par demander à ALLAH swt de les guider inchallah kheir.
Tu peut utiliser la violence mais uniquement pour te défendre, jamais pour attaquer.
Ca me rappelle quand on étais jeune il y avait toujours des personne qui se faisaient frapper humilier etc.. mais après ça part toujours vers 16-17 ans quand on entre à l'âge de la maturité.
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AbderahmanIskandar a écrit:
Salam aleykoum
déménagé en urgence t'es dans un environnement très toxique
demande à Allah le Très Haut de te faciliter cela
le mauvais oeil est une réalité aussi
et reconstruit toi aussi en pratiquant un sport de combat comme le jiu jiutsu brésilien y a pas de coups donc pour débuter c'est bien ensuite passe à la boxe
regarde côté psy car aussi dans le cas ou t'as été désigné comme la tête de turc du quartier
c'est qu'au niveau psy t'as des trucs à bosser sur l'estime de soi confiance en soi
mais vraiment casse toi de ce nid de vipères d'ailleurs les quartiers c'est vraiment pas un lieu pour s'épanouir!
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abdel331 a écrit:
J'ai 16 ans
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MERETA a écrit:
Et j'imagine ceux qui te font cette misère sont des rebeus et des blacks réputés être musulmans.
Porter plainte ne donnera rien.
2 solutions ou tu dépannages ou tu deviens le plus fort pour être respecté c'est à dire tu leur fou une bonne correction.
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abdel331 a écrit:
Salam c'est difficile de déménager vu que j'ai pas mes propres source d'argent , j'essayerai les sport mais je pense que sa changera pas grand chose car je suis pas du genre à frapper les gens
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C.C. a écrit:
Salut Abdel,
Moi aussi, j'ai été une ado harcelée, humiliée, raquettée, battue, on mettait des bananes pourries dans mon cartable, on me volait mes clés et on les mettait dans les bouches d'égouts, j'ai été fouettée en public dans un bus, je me sentais lâche et faible, je n'avais pas d'ami, j'ai vécu un calvaire entre 13 et 16 ans.
Elevée dans la non-violence, je ne voulais pas décevoir en rendant les coups, je me contentais de tendre l'autre joue et d'écouter ma mère qui me disait : "l'ignorance est la meilleure façon de te défendre".
Mes parents ne soupçonnait pas la violence du monde des ados, ils n'imaginaient pas leur cruauté et me traitaient même de menteuse quand je leur racontait mes aventures. Vu que je ne voulais pas dénoncer mes camarades, de peur des représailles, ils pensaient que je jouais la victime.
Ce que mes parents ignoreront toujours, ce sont mes pensées suicidaires quasi permanentes, je passais mon temps à échafauder un plan pour disparaître à jamais, je voulais remonter le temps pour n'être jamais née. J'ai fait aussi 2 tentatives de fugue, mes parents ne le sauront jamais.
Un jour, on m'a provoqué en duel, la fille était sûre que je me défilerait mais je ne me suis pas défilée. J'avais pris conseil auprès de ma petite soeur, une vraie rebelle, qui m'avait dit : dans les bastions, on commence toujours par se pousser d'abord. Quand elle te poussera, tu ne la pousseras pas, tu lui mettra une grosse tarte dans sa gueule. Si tu donnes des coups, attends-toi à en recevoir, mais tu t'en fous, encaisses. L'important c'est d'en donner.
C'est ce que j'ai fait. 3 fois de suite.
Sur le chemin pour l'arrêt de bus, j'ai pleuré, pleuré, mais c'étaient les larmes de la victoire. J'avais mal à la main. Elle devait avoir mal à la joue.
Ensuite, les gens m'ont respecté.
Puis, changement d'établissement, tous mes bourreaux étaient partis dans une filière courte, je me suis retrouvée sans eux en général, nouvelle vie, nouveaux amis.
Aujourd'hui, je suis une battante. Plus personne ne se confronte à moi car je sais ce que je veux, je sais ce que je vaux. Je n'utilise jamais la violence, même si elle m'a un jour sauvé la vie. J'ai appris à avoir de la répartie, du répondant. J'assume pleinement mes défauts mais je ne laisse personne ne me manquer de respect. Si qqn me cherche, j'utilise mon intelligence, mon verbe et mon infinie confiance en moi.
Travaille ta répartie, apprends à rire de toi et de tes erreurs, deviens drôle, fais rire les gens. C'est un pouvoir énorme.
Aujourd'hui, ce que je te dis te semble sûrement impensable, mais je te jure qu'un jour, la vie te vengera de tous ces cons. Toi, tu seras le vilain petit canard devenu cygne, tu deviendras beau, tu trouveras une belle épouse qui t'aimeras pour ce que tu es, tu auras un travail reconnu, pendant qu'eux croupiront dans une prison, réelle ou virtuelle, à rêver de télé-réalité.
La bave des crapauds n'atteint pas la blanche colombe.
Chie-leur sur la tête, prends ton envol et éloigne-toi de ce marécage miteux.
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DanburyyDon a écrit:
Elevée dans la non-violence, je ne voulais pas décevoir en rendant les coups, je me contentais de tendre l'autre joue et d'écouter ma mère qui me disait : "l'ignorance est la meilleure façon de te défendre".
Mon Dieu la grosse erreur de la maman
Le meilleur moyen de se faire bouffer
Sinon sympa l'histoire, t'as réussi à te relever. Beaucoup d'anciennes "victimes" (entre guillemets, je dis pas ça méchamment) ne réussissent jamais à se relever
Heureusement que t'as eu ta petite soeur avec un discours plus cohérent avec la réalité des choses