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expulsion de journalistes du sahara occidental:BRAVO LA DEMOCRATIE
k
22 février 2007 08:50
Un journaliste suédois, qui avait photographié lundi soir une manifestation indépendantiste à El Ayoun, chef-lieu du lieu du Sahara occidental, a affirmé mercredi avoir été expulsé vers Agadir par la police marocaine.

"Je me rendais chez des amis lundi soir à El Ayoun quand j'ai entendu des cris dans une rue adjacente. J'ai vu une quinzaine d'adolescents avec des petits drapeaux du Front Polisario. J'ai fait quelques photos et je suis parti", a raconté à l'AFP Lars Björk, 40 ans, journaliste et photographe free-lance, travaillant pour l'agence de presse suédoise Tidningamas Telegrambyra.



Selon lui, il a été ensuite interpellé par un policier en civil qui l'a laissé partir. "Comme la manifestation se poursuivait et que l'atmosphère devenait tendue, j'ai pris peur et je suis parti en courant. Des policiers en voiture m'ont contraint à les suivre vers un commissariat", a-t-il dit.

Lars Björk assure avoir été interrogé par la police durant plusieurs heures et il est revenu le lendemain au commissariat où il est resté toute la journée. Il a refusé de signer un procès verbal de la police affirmant qu'il avait incité des jeunes à manifester.

Dans la soirée, la police lui a rendu son passeport mais pas son appareil photo, et l'a contraint à prendre un bus pour Agadir, dans le sud marocain, où il se trouvait mercredi matin.

La préfecture d'El Ayoun a publié un communiqué annonçant qu'une procédure judiciaire a été engagée contre le journaliste suédois.
n
22 février 2007 09:05
Voila, cette phrase explique tout.

Quelques adolescents, excités à la vue d'un blond suédois, deviendront après quelques jours sur internet (la propagande algérisariènne et les déclarations bidons) le "peuple sahraoui" qui demande l'indépendance.

S'il est mal d'expusler des journalistes il faudrait exiger deux choses:

- Dénnoncer ce genre d'incursion dont la fin est de semer la confusion
- Exiger que les camps de Tindouf soit ouverts à tout le monde, à tous les journalistes du monde, dont ceux qui ne caresse pas Alger et le polisario dans le sens du poile.

Vous verrez que silence radio.


Cordialement


Citation
kandar a écrit:
"...J'ai vu une quinzaine d'adolescents avec des petits drapeaux du Front Polisario. J'ai fait quelques photos et je suis parti"
a
22 février 2007 10:49
J'aurais bien aimé que ce suedois soit autorisé aussi à faire en toute indépendance un reportage à Tindouf.
J'aurais souhaité aussi qu'il le fasse quand les plus vieux prisonniers au monde étaient là.
k
22 février 2007 10:57
bien dit.
A
22 février 2007 14:06
Aprés enquête de la Police, l'individu journaliste, a affirmé qu'il est lui-même a l'origine du rassemblement de jeunes mineur en pleine nuit...

Il voulais tout simplement prendre une belle photo.
n
22 février 2007 14:29
C'est louche, très louche.

Pourquoi des marocains ne mettent pas la lumière sur ce cas? Ou sont nos journaliste marocains tjrs occupés a mattraquer M6 et la monarchie?

Pourquoi laisser la retransmission de l'information à la seule AFP, ou la MAP qui ne tardera pas de venir?

Je suis convaincu du rôle malsain de ce journaliste; hors toute éthique journalistique interdit que le journaliste devienne acteur de l'évènement mais exige qu'il doit se limiter au seul témoignage, objectif et hônnète.
a
22 février 2007 16:01
Nomad, c'est monnaie courante aussi en France , nombre de journalistes sans scrupules payaient dans les cités de exités pour bruler des voirures afin de les prendre en photos.

heureusement les consciences se sont un peu éclairées et ce genre de journalistes n'est plus admis dans les cités.
O
22 février 2007 19:01
Citation
azl95 a écrit:
J'aurais bien aimé que ce suedois soit autorisé aussi à faire en toute indépendance un reportage à Tindouf.
J'aurais souhaité aussi qu'il le fasse quand les plus vieux prisonniers au monde étaient là.

.....................................

Il y va surement pour recevoir ses cheques en petrodinars algeriens pour service rendu à la " cause sahraouie"
22 février 2007 20:40
les marocains ne se laissent pas faire , ils attaquent et contre-attaqueent: que tous ces '' prétendus journalistes '' se réclamant de la liberté de presse, SE RENDENT A TINDOUFs'ils ont des..
z
22 février 2007 21:15
Boussaoula : les sahraouis en colère contre l’Algérie
La condamnation de Messaoud Boussaoula par l'Algérie fait des remous parmi les Sahraouis. Pour Daifallah Yahdih, l'Algérie fait de la sous-traitance pour les séparatistes pour éviter la colère des tribus.

La condamnation de Messaoud Ould Fuedal Boussaoula par un tribunal algérien à quatre ans de prison ferme et une lourde amende fait des remous au sein des tribus sahraouies et notamment celles qui ne sont plus en odeur de sainteté chez le Polisario. «C'est une campagne initiée depuis longtemps contre les tribus du littoral et dont les Izerguyine», affirme Daifallah Yahdih, grand connaisseur des arcanes du pouvoir chez les séparatistes. «Ils persécutent et terrorisent les membres de ces tribus dans le cadre d'une ségrégation mise en place par la direction du Polisario contre toutes les voix discordantes», ajoute celui qu'on surnomme le «philosophe de la révolution».Ce dernier explique que, pour ne pas trop attiser le feu des protestations dans les camps, les mercenaires ont été obligés cette fois de faire appel à la sécurité et à la justice algériennes pour se charger de la sale besogne. «En tant que Sahraouis, nous ne faisons pas de différence entre le terrorisme des séparatistes et celui de l'Algérie. Ils sont les facettes de la même horrible pièce», affirme M. Yahdih, cousin germain de Messaoud Ould Fuedal Boussaoula.
Selon la famille Boussaoula, Messaoud a été arrêté sur instigation du Polisario à son retour de Nouadhibou.
Les séparatistes, déjà sous le choc du ralliement, au Maroc, de ses deux frères, avaient eu vent des contacts établis entre les trois pour que Messaoud rejoigne la mère-patrie. C'est dans ce sens que Daifallah Yahdih se dit étonné de l'accusation qui a valu quatre ans de prison à son cousin. «Si une telle accusation devait mener quelqu'un en prison, cela devait être, en premier lieu, les chefs du Polisario qui se livrent à la contrebande comme principale activité et notamment en revendant, au vu et au su des autorités algériennes, les aides destinées aux populations des camps», précise M. Yahdih.
Ce dernier, au nom de l'Association des tribus sahraouies pour la défense des droits historiques, a déclaré que son ONG s'apprêtait à saisir l'ONU du cas de Messaoud Ould Fuedal Boussaoula, mais pour demander à ce que le Polisario ne soit plus habilité à parler au nom des Sahraouis.
Messaoud Ould Fuedal Boussaoula avait fait des études à Tanger avant de rallier, début des années 1980, le Polisario. Lauréat d'une école de formation de pilotes à Séville, il rejoindra les rangs des séparatistes avant de déchanter pour se convertir au commerce. Messaoud Boussaoula, vivant au camp d'Aousserd, a fait l'objet d’harcèlements depuis que ses deux frères, dont un fondateur du Polisario, ont décidé de rallier le Maroc il y a quelques mois. Les Boussaoula, de la tribu Izerguyine, sont basés au Sahara, mais aussi en Espagne.
o
22 février 2007 21:19
J'aurais bien aimé que ce suedois soit autorisé aussi à faire en toute indépendance un reportage à Tindouf.
J'aurais souhaité aussi qu'il le fasse quand les plus vieux prisonniers au monde étaient là……….
Pourquoi l’algerie cherche toujours la petite bête avec un pays arabe ? C’est dommage
 
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