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Explications biens illicites svp
8 novembre 2021 14:48
Salam

J'aurai aimé comprendre pourquoi Allah a mentionné dans le Coran que seul ceux qui en mangent (qui touchent l'argent) de cette Riba sont dénoncés et non pas ceux qui la paient. Je ne pense pas qu'Allah ait oublié de mentionner ceux qui paient la Riba.

Déjà Allah n'a pas spécifié l'emprunteur ou le donneur, ça c'est ton interprétation.
Ensuite même si on prend ton interprétation, il n'y a pas de donneur sans emprunteur.

Pas péché alors qu'ils sont complice ?

Dans le Coran il n'y a aucune sentence dans cette vie concernant le prêteur et aucune mention concernant l'emprunteur. Le hadith le inclus. Le Messager était censé suivre le Coran et son contenu. Or, dans le Coran il n'y a rien concernant l'emprunteur.

Ce que tu vois n'est pas ce que le Prophète صلى الله عليه وسلم voit.
Surtout si tu ne sais pas lire l'arabe. Le Prophète صلى الله عليه وسلم n'avait pas le Coran en français.

Citation
*TIGELLIUS* a écrit:
Salam

J'aurai aimé comprendre pourquoi Allah a mentionné dans le Coran que seul ceux qui en mangent (qui touchent l'argent) de cette Riba sont dénoncés et non pas ceux qui la paient. Je ne pense pas qu'Allah ait oublié de mentionner ceux qui paient la Riba.

Il a également dit,

« Le jour de la résurrection, on dira à ceux qui mangent du riba : «prenez les armes pour la guerre
».

Cela ne veut rien dire à moins que tu apportes une explication.

Abu Juhaifa رضي الله عنه nous rapporte qu'il avait acheté un esclave dont la profession était la ventouse. Le Prophète (ﷺ) a interdit de prendre le prix du sang et le prix d'un chien et les gains d'une prostituée, et a maudit celui qui prenait ou donnait (Riba') l'usure, et la dame qui tatouait les autres ou se faisait tatouer, et le faiseur d'images.
(Sahih al-Bukhari 5962)


Dans le Coran il n'y a aucune sentence dans cette vie concernant le prêteur et aucune mention concernant l'emprunteur. Le hadith le inclus. Le Messager était censé suivre le Coran et son contenu. Or, dans le Coran il n'y a rien concernant l'emprunteur.

Le prix du chien : Il ne faut pas les acheter ? Il ne faut pas les vendre ? Les tatoueurs altèrent la Création d'Allah au même titre que les circonciseurs.


Et ça c'est interdit :

X
8 novembre 2021 14:56
Ensuite même si on prend ton interprétation, il n'y a pas de donneur sans emprunteur.

la différence est que celui qui a absolument besoin d'argent n'a pas le choix. il doit emprunter.
tandis celui qui prête maîtrise les conditions du prêt. c'est lui qui porte la responsabilité.
L'athéisme n'est rien d'autre que l'agacement des gens sensés face à des croyances iniques sans fondement. (Dan Brown)
8 novembre 2021 14:58
Cite moi une seule situation où il est nécessaire d'emprunter.
Pour quelque chose d'indispensable.
Citation
Xavier33* a écrit:
Ensuite même si on prend ton interprétation, il n'y a pas de donneur sans emprunteur.

la différence est que celui qui a absolument besoin d'argent n'a pas le choix. il doit emprunter.
tandis celui qui prête maîtrise les conditions du prêt. c'est lui qui porte la responsabilité.
8 novembre 2021 14:58
Salam

C'est haram car on te donne une somme et tu dois rembourser plus.

C'est du riba est c'est totalement interdit pour l'emprunteur et celui qui donne.


Si tu connais le contexte du prêt avant la révélation tu comprendras alors qu'à l'origine le prêt était dépourvu d'intérêt et que l'emprunteur se devait de rembourser au bout de deux mois et s'il ne le faisait pas pour différentes raisons, alors le prêteur il lui donnait un délai supplémentaire (un mois) mais payant, ce qui était dans un sens logique et que ce qui était payé par l'emprunteur n'était que le délai supplémentaire qui lui était accordé. Par conséquent il ne payait que la durée supplémentaire, ou la prolongation.

De nos jours, les entreprises sans les prêts à intérêts féraient faillite car elles ne pourraient pas s'agrandir et faire face à la concurrence, et en face à une grande demande elles ne pourraient pas l'honorer sans un apport bancaire leur permettant d'acheter de nouvelles machines et autre. De nos jours personne ne prête sans intérêt et les fameuses banques islamiques ne sont pas repandues.







Citation
PellYm785 a écrit:
Wa aleykoum salam wa rahmatullahi wa barakatuh

C'est haram car on te donne une somme et tu dois rembourser plus.

C'est du riba est c'est totalement interdit pour l'emprunteur et celui qui donne.


Al-Baqarah 2:275

ٱلَّذِينَ يَأْكُلُونَ ٱلرِّبَوٰا۟ لَا يَقُومُونَ إِلَّا كَمَا يَقُومُ ٱلَّذِى يَتَخَبَّطُهُ ٱلشَّيْطَٰنُ مِنَ ٱلْمَسِّۚ ذَٰلِكَ بِأَنَّهُمْ قَالُوٓا۟ إِنَّمَا ٱلْبَيْعُ مِثْلُ ٱلرِّبَوٰا۟ۗ وَأَحَلَّ ٱللَّهُ ٱلْبَيْعَ وَحَرَّمَ ٱلرِّبَوٰا۟ۚ فَمَن جَآءَهُۥ مَوْعِظَةٌ مِّن رَّبِّهِۦ فَٱنتَهَىٰ فَلَهُۥ مَا سَلَفَ وَأَمْرُهُۥٓ إِلَى ٱللَّهِۖ وَمَنْ عَادَ فَأُو۟لَٰٓئِكَ أَصْحَٰبُ ٱلنَّارِۖ هُمْ فِيهَا خَٰلِدُونَ

Ceux qui mangent [pratiquent] de l'intérêt usuraire ne se tiennent (au jour du Jugement dernier) que comme se tient celui que le toucher de Satan a bouleversé. Cela, parce qu'ils disent: «Le commerce est tout à fait comme l'intérêt». Alors qu'Allah a rendu licite le commerce, et illicite l'intérêt. Celui, donc, qui cesse dès que lui est venue une exhortation de son Seigneur, peut conserver ce qu'il a acquis auparavant; et son affaire dépend d'Allah. Mais quiconque récidive... alors les voilà, les gens du Feu! Ils y demeureront éternellement.

Al-Baqarah 2:279

فَإِن لَّمْ تَفْعَلُوا۟ فَأْذَنُوا۟ بِحَرْبٍ مِّنَ ٱللَّهِ وَرَسُولِهِۦۖ وَإِن تُبْتُمْ فَلَكُمْ رُءُوسُ أَمْوَٰلِكُمْ لَا تَظْلِمُونَ وَلَا تُظْلَمُونَ

Et si vous ne le faites pas, alors recevez l'annonce d'une guerre de la part d'Allah et de Son messager. Et si vous vous repentez, vous aurez vos capitaux. Vous ne léserez personne, et vous ne serez point lésés.


Ibn Jurayj a dit qu'Ibn Abbas a dit que,
اْ بِحَرْبٍ
(Recevez l'annonce d'une guerre de la part d'Allah et Son Messager) signifie,

"Soyez sûr d'une guerre de la part d'Allah et de Son Messager."

Il a également dit,

« Le jour de la résurrection, on dira à ceux qui mangent du riba : «prenez les armes pour la guerre».

Abu Juhaifa رضي الله عنه nous rapporte qu'il avait acheté un esclave dont la profession était la ventouse. Le Prophète (ﷺ) a interdit de prendre le prix du sang et le prix d'un chien et les gains d'une prostituée, et a maudit celui qui prenait ou donnait (Riba') l'usure, et la dame qui tatouait les autres ou se faisait tatouer, et le faiseur d'images.

(Sahih al-Bukhari 5962)
8 novembre 2021 15:15
En consultant l’intégralité des textes coraniques ayant trait à la question de l’usure, nous avons constaté que l’islam n’a pas interdit brusquement le ribâ. C’est plutôt l’approche progressive que le texte sacré a privilégié. Le but étant d’instaurer graduellement un certain rejet de l’usure par convictions éthiques avant de procéder à son institutionnalisation par le biais des règles juridiques.

Ce faisant, le sujet du ribâ a fait l’objet de quatre révélations coraniques avant que cette question ne soit définitivement tranchée par le célèbre passage de la sourate n°2, Versets n° 278-279. Rappelons brièvement les quatre révélations coraniques autour desquelles s’est articulé le processus d’interdiction du ribâ et toute pratique usuraire.

Le premier passage qui mentionne le ribâ est celui de la sourate n°30 : « Tout ce que vous donnerez comme ribâ pour augmenter vos biens au dépens des biens d’autrui ne les accroît pas auprès d’Allah »
Pour les jurisconsultes musulmans, ce texte de période mecquoise se contente d’un « ordre passif » sous forme d’avertissement. Il attire de ce fait l’attention sur un phénomène jugé incompatible avec l’esprit de la solidarité que prône l’islam. Ce verset va être ainsi l’amorçage du long processus de l’interdiction du ribâ.

Néanmoins, il semble que jusqu’ici le législateur ne donne pas encore un ordre formel d’interdiction. Après la révélation de ce verset les transactions usuraires continuaient d’être vues comme des pratiques « autorisées » quoiqu’elles étaient considérées socialement et religieusement indésirables.

Le second texte, quant à lui, change de ton et de style verbal. Il met en exergue la pratique de certains, parmi les gens du Livre, qui prélevaient des sommes usuraires en dépit de son interdiction. En outre, il menace d’un châtiment douloureux les personnes s’étant adonnées à ce genre de pratique subiront un châtiment douloureux de la part de leur Dieu: « … et à cause de ce qu’ils prennent des intérêts usuraires – qui leur étaient pourtant interdits – et parce qu’ils mangent illégalement les biens des gens. A ceux d’entre eux qui sont dénégateurs, Nous avons préparé un châtiment douloureux Alors que ceux d’entre eux qui sont bien enracinés dans la science et les vrais fidèles croient en ce qui t’a été révélé et en ce qui a été révélé avant toi ……à ceux-là nous garantissons une énorme récompense » .

Ce verset date de la période médinoise. Certes, on peut facilement remarquer que le message prend ici sensiblement une autre tournure par rapport au texte précédent. Tout porte à croire que le Coran veut préparer les musulmans à une éventuelle interdiction de l’usure. Cela dit, nous pouvons dire que le ribâ n’est pas encore explicitement interdit de façon décisive pour les musulmans.

Suite...
8 novembre 2021 15:18
La suite :

Dans le troisième texte, nous constatons que l’appel à l’abstention devient plus clair et plus direct : « Ô vous qui portez la Foi, Ne pratiquez pas l’usure en multipliant démesurément votre capital. Et craignez Dieu afin que vous réussissiez !… »

En se basant sur ce verset certains juristes égyptiens, notamment Abdelaziz Jawich et Rachid Rida, ont considéré que l’interdiction du ribâ ne concerne que le taux d’intérêt composé conduisant à la multiplication du capital prêté. Mais selon le juriste Sami Hammoud cette opinion a été aussitôt réfutée par la majorité des Ulémas car Car les derniers versets révélés dans le processus de l’interdiction du ribâ (sourate2/278) précisent que le préteur n’a pas le droit d’exiger plus que ce qu’il a donné sinon il doit accepter d’assumer une part de risque pour mériter une part du profit généré.

Ainsi nous pouvons dire que le texte de la sourate n°3 n’apporte pas une restriction de l’interdiction, mais plutôt une description de la réalité intrinsèque du ribâ qui conduit naturellement à la multiplication démesurée des biens quelque soit le volume du taux d’intérêt. C’est tout le système du ribâ qui est remis en cause en non un cas individuel et isolé.

Enfin, la dernière révélation relative au ribâ se trouve dans la sourate n° 2, du verset 275 à 279 : « Ceux qui se nourrissent de l’usure ne se tiennent que comme se tient celui que le toucher du diable le bouleverse. Cela, parce qu’ils disent : « le commerce est tout à fait identique au ribâ ».alors qu’Allah a rendu licite le commerce et illicite le ribâ. Celui, donc, qui cesse dès que lui est venue une exhortation de son seigneur, peut conserver ce qu’il a acquit auparavant ; et son sort dépend d’Allah. Et quiconque récidive…alors les voilà, les gens du Feu. Ils y demeureront éternellement). Dieu anéantira l’usure et fait fructifier les actes de bienfaisance. (L’aumône et la zakat). »

A la suite de cela, le Coran lance expressément un appel aux croyants afin qu’ils renoncent définitivement au ribâ. L’appel est sans ambages : « Ô vous qui croyez !… » : « Ô ! Vous qui avez cru craignez Allah et renoncez au reliquat du Riba si vous êtes vraiment croyants. et si vous ne le faites pas, alors recevez l’annonce d’une guerre de la part d’Allah et de Son messager, Et si vous vous repentez vous aurez vos capitaux, vous ne léserez personne, et vous ne serez pas lésés. »

S’appuyant sur ce dernier texte coranique, la majorité de juristes musulmans estiment que les frontières à ne pas dépasser ont été balisées, et que le moment est venu pour renoncer définitivement au ribâ. Il est dorénavant un moyen illicite d’acquisition ou d’accumulation de la richesse. Il est intéressant de noter que ces derniers versets marquent d’une part la fin de la législation du ribâ mais de surcroît la fin de la législation musulmane, voire la fin de la révélation. En ayant fait le choix de s’arrêter sur cette interdiction, le Coran met en évidence la gravité de cet interdit et l’inenvisageable possibilité d’une abrogation quelconque.

C’est ainsi que la haute commission chargée de l’interprétation du Coran (qui siège à Médine en Arabie Saoudite) affirme, en se référant à ce texte coranique, que ce n’est pas seulement l’usure qui est interdite, mais le moindre prêt à intérêt. Toute transaction à base d’intérêt usuraire (ex-ante) est défendue. En d’autres termes, tout gain à risque unilatéral. Par exemple, prêter de l’argent à un entrepreneur (commerçant ou industriel) et exiger un intérêt sans participer aux risques et à toutes les pertes éventuelles du débiteur serait du ribâ .

A l’issue de ce bref exposé, nous pouvons remarquer que le Coran condamne de façon explicite que le ribâ dit al-nasî’a. En d’autres termes, tout surplus pécuniaire en contrepartie de l’ajournement ainsi que le taux d’intérêt (ex-ante),. Cependant, la Sounna quant à elle, va mettre l’accent sur un autre type du ribâ. Il s’agit de ribâ al-fadl, qui aura pour vocation d’exiger une certaine équivalence dans les prestations d’échange.
8 novembre 2021 15:36
Salam

Déjà Allah n'a pas spécifié l'emprunteur ou le donneur, ça c'est ton interprétation.
Ensuite même si on prend ton interprétation, il n'y a pas de donneur sans emprunteur.


Il est bien spécifié qu'il s'agit de celui qui prête et qui encaisse le surplus.

Pas péché alors qu'ils sont complice ?

Le prêteur fait payer le surplus pour trois raisons :

1) Il prête l'argent
2) Il donne une durée de temps
3) Il permet de rembourser mensuellement.


L'emprunteur qui a besoin de l'argent qui ne possède pas, pour l'utiliser à bon éscient, il va payer le service de pouvoir rembourser non pas d'un coup, mais progressivement, pour une durée établi par contrat.

En France ce sont les banques non musulmanes qui en règle générale prêtent bien qu'existent des entités à part mais appartenant à des banques. Le musulman qui emprunte paiera le surplus à un non musulman qui n'est pas soumis à la Loi musulmane.

Au Maroc il n'y a que ça, des banques marocaines appliquant le même système que les banques occidentales.


Ce que tu vois n'est pas ce que le Prophète صلى الله عليه وسلم voit.
Surtout si tu ne sais pas lire l'arabe. Le Prophète صلى الله عليه وسلم n'avait pas le Coran en français.


Cette histoire de savoir lire l'arabe ou pas n'est qu'un expédient réchauffé à l'infini pour mettre sur la touche les interlocuteurs. Dis plutôt ce que le Prophète saws aurait pu voir ou ce qu'on lui attribue faussement, surtout quand c'est un seul témoin (le fameux selon tel ou d'après tel) qui le rapporterait.

Si autrefois et au temps du Messager saws des personnes pouvaient prêter sans supplément et cela par solidarité, tout en sachant que c'était possible que l'argent prêté ne sois pas remboursé, de nos jours dans les société où nous vivons cela semble bien ardu de le faire s'il n'y a pas un profit de la part du prêteur. Surtout pour ceux qui ont besoin d'emprunter, comme par exemple des chefs d'entreprise qui ont besoin de se moderniser pour faire face à la concurrence.




Citation
PellYm785 a écrit:
Salam

J'aurai aimé comprendre pourquoi Allah a mentionné dans le Coran que seul ceux qui en mangent (qui touchent l'argent) de cette Riba sont dénoncés et non pas ceux qui la paient. Je ne pense pas qu'Allah ait oublié de mentionner ceux qui paient la Riba.

Déjà Allah n'a pas spécifié l'emprunteur ou le donneur, ça c'est ton interprétation.
Ensuite même si on prend ton interprétation, il n'y a pas de donneur sans emprunteur.

Pas péché alors qu'ils sont complice ?

Dans le Coran il n'y a aucune sentence dans cette vie concernant le prêteur et aucune mention concernant l'emprunteur. Le hadith le inclus. Le Messager était censé suivre le Coran et son contenu. Or, dans le Coran il n'y a rien concernant l'emprunteur.

Ce que tu vois n'est pas ce que le Prophète صلى الله عليه وسلم voit.
Surtout si tu ne sais pas lire l'arabe. Le Prophète صلى الله عليه وسلم n'avait pas le Coran en français.
8 novembre 2021 15:41
Il est bien spécifié qu'il s'agit de celui qui prête et qui encaisse le surplus.

Je serais curieux de voir ça perplexe

Le prêteur fait payer le surplus pour trois raisons

Donc le riba devient halal ?

Dis plutôt ce que le Prophète saws aurait pu voir ou ce qu'on lui attribue faussement, surtout quand c'est un seul témoin (le fameux selon tel ou d'après tel) qui le rapporterait.

Ton blabla habituel qui n'a aucun fondement Heu


Citation
*TIGELLIUS* a écrit:
Salam

Déjà Allah n'a pas spécifié l'emprunteur ou le donneur, ça c'est ton interprétation.
Ensuite même si on prend ton interprétation, il n'y a pas de donneur sans emprunteur.


Il est bien spécifié qu'il s'agit de celui qui prête et qui encaisse le surplus.

Pas péché alors qu'ils sont complice ?

Le prêteur fait payer le surplus pour trois raisons :

1) Il prête l'argent
2) Il donne une durée de temps
3) Il permet de rembourser mensuellement.


L'emprunteur qui a besoin de l'argent qui ne possède pas, pour l'utiliser à bon éscient, il va payer le service de pouvoir rembourser non pas d'un coup, mais progressivement, pour une durée établi par contrat.

En France ce sont les banques non musulmanes qui en règle générale prêtent bien qu'existent des entités à part mais appartenant à des banques. Le musulman qui emprunte paiera le surplus à un non musulman qui n'est pas soumis à la Loi musulmane.

Au Maroc il n'y a que ça, des banques marocaines appliquant le même système que les banques occidentales.


Ce que tu vois n'est pas ce que le Prophète صلى الله عليه وسلم voit.
Surtout si tu ne sais pas lire l'arabe. Le Prophète صلى الله عليه وسلم n'avait pas le Coran en français.


Cette histoire de savoir lire l'arabe ou pas n'est qu'un expédient réchauffé à l'infini pour mettre sur la touche les interlocuteurs. Dis plutôt ce que le Prophète saws aurait pu voir ou ce qu'on lui attribue faussement, surtout quand c'est un seul témoin (le fameux selon tel ou d'après tel) qui le rapporterait.

Si autrefois et au temps du Messager saws des personnes pouvaient prêter sans supplément et cela par solidarité, tout en sachant que c'était possible que l'argent prêté ne sois pas remboursé, de nos jours dans les société où nous vivons cela semble bien ardu de le faire s'il n'y a pas un profit de la part du prêteur. Surtout pour ceux qui ont besoin d'emprunter, comme par exemple des chefs d'entreprise qui ont besoin de se moderniser pour faire face à la concurrence.
8 novembre 2021 16:08
Salam

Cite moi une seule situation où il est nécessaire d'emprunter.
Pour quelque chose d'indispensable.


Redescent sur cette planète et essaie de vivre à notre époque et jete un regard vers ceux qui possèdent des entreprises, voire vers les auto-entrepreneurs qui ont besoin de se développer mais que pour se faire ont besoin d'investissements nécessaires ne possédant pas de capital pour le faire eux mêmes.



Citation
PellYm785 a écrit:
Cite moi une seule situation où il est nécessaire d'emprunter.
Pour quelque chose d'indispensable.
8 novembre 2021 16:10
Tu peux devenir salarié.

Ou les gens peuvent cotiser à plusieurs.
Bref, rendre halal ce qui est haram, pas fou devant Allah.
Citation
*TIGELLIUS* a écrit:
Salam

Cite moi une seule situation où il est nécessaire d'emprunter.
Pour quelque chose d'indispensable.


Redescent sur cette planète et essaie de vivre à notre époque et jete un regard vers ceux qui possèdent des entreprises, voire vers les auto-entrepreneurs qui ont besoin de se développer mais que pour se faire ont besoin d'investissements nécessaires ne possédant pas de capital pour le faire eux mêmes.
8 novembre 2021 16:14
Salam

Soit tu lis ce qu'on te dis soit ne lis pas. Le Coran spécifie bien celui qui prête. Le prêteur commet le péché et l'emprunteur ne le commet pas dans le sens que ce dernier emprunte par nécessité et la nécessité est une contrainte et que sous contrainte il n'y a pas de péché.




Citation
PellYm785 a écrit:
Il est bien spécifié qu'il s'agit de celui qui prête et qui encaisse le surplus.

Je serais curieux de voir ça perplexe

Le prêteur fait payer le surplus pour trois raisons

Donc le riba devient halal ?

Dis plutôt ce que le Prophète saws aurait pu voir ou ce qu'on lui attribue faussement, surtout quand c'est un seul témoin (le fameux selon tel ou d'après tel) qui le rapporterait.

Ton blabla habituel qui n'a aucun fondement Heu
8 novembre 2021 16:20
Salam

Sans les entreprises petites, moyennes ou grandes il n'y a pas de salariés. Soit tu apportes des arguments valables soit abstiens toi de me faire perdre du temps pour expliquer à un sourd.




Citation
PellYm785 a écrit:
Tu peux devenir salarié.

Ou les gens peuvent cotiser à plusieurs.
Bref, rendre halal ce qui est haram, pas fou devant Allah.
8 novembre 2021 16:31
Pourquoi y'aura plus d'entreprises en fait ?

Citation
*TIGELLIUS* a écrit:
Salam

Sans les entreprises petites, moyennes ou grandes il n'y a pas de salariés. Soit tu apportes des arguments valables soit abstiens toi de me faire perdre du temps pour expliquer à un sourd.
X
8 novembre 2021 16:58
Cite moi une seule situation où il est nécessaire d'emprunter.

où as tu vu qu'il est interdit d'emprunter ?


sinon puisque tu veux un exemple voici :
tu habites loin de ton travail
tu n'as pas d'autre moyen de transport que la voiture
ta voiture est fichue
tu n'as pas assez d'économies pour en acheter une autre
Citation
PellYm785 a écrit:
Cite moi une seule situation où il est nécessaire d'emprunter.
Pour quelque chose d'indispensable.
L'athéisme n'est rien d'autre que l'agacement des gens sensés face à des croyances iniques sans fondement. (Dan Brown)
8 novembre 2021 17:07
Exemple intéressant mais pas très pertinent.
Citation
Xavier33* a écrit:
Cite moi une seule situation où il est nécessaire d'emprunter.

où as tu vu qu'il est interdit d'emprunter ?


sinon puisque tu veux un exemple voici :
tu habites loin de ton travail
tu n'as pas d'autre moyen de transport que la voiture
ta voiture est fichue
tu n'as pas assez d'économies pour en acheter une autre
X
8 novembre 2021 17:12
Exemple intéressant mais pas très pertinent.

dis plutôt que tu n'as pas de réponse

et j'attend la preuve qu'il est interdit d'emprunter
Citation
PellYm785 a écrit:
Exemple intéressant mais pas très pertinent.
L'athéisme n'est rien d'autre que l'agacement des gens sensés face à des croyances iniques sans fondement. (Dan Brown)
G
8 novembre 2021 23:39
Lis ça : [islamqa.info] ison
Et ça: [islamqa.info] ressant
G
8 novembre 2021 23:59
Salam.

Le prêteur fait payer le surplus pour trois raisons : 
1) Il prête l'argent 
2) Il donne une durée de temps
3) Il permet de rembourser mensuellement.


C'est très très grave ce que tu dis.
9 novembre 2021 10:14
Salam aleykoum,

الَّذِينَ يَأْكُلُونَ الرِّبَا لاَ يَقُومُونَ إِلاَّ كَمَا يَقُومُ الَّذِي يَتَخَبَّطُهُ الشَّيْطَانُ مِنَ الْمَسِّ ذَلِكَ بِأَنَّهُمْ قَالُواْ إِنَّمَا الْبَيْعُ مِثْلُ الرِّبَا وَأَحَلَّ اللّهُ الْبَيْعَ وَحَرَّمَ الرِّبَا فَمَن جَاءهُ مَوْعِظَةٌ مِّن رَّبِّهِ فَانتَهَىَ فَلَهُ مَا سَلَفَ وَأَمْرُهُ إِلَى اللّهِ وَمَنْ عَادَ فَأُوْلَئِكَ أَصْحَابُ النَّارِ هُمْ فِيهَا خَالِدُونَ ﴿٢٧٥ {

Ceux qui mangent de l’intérêt usuraire ne se tiennent Jugement que comme se tient celui que le toucher de Satan a bouleversé. Cela, parce qu’ils disent: “Le commerce est tout à fait comme l’intérêt”. Alors qu’Allah a rendu licite le commerce, et illicite l’intérêt. Celui, donc, qui cesse dès que lui est venue un avertissement de son Seigneur, peut conserver ce qu’il a acquis auparavant; et son affaire dépend d’Allah. Mais quiconque récidive (à l'intérêt) alors ils seront les gens du Feu. Et là ils demeureront éternellement.

Le commerce/vente est permise, attention à ne pas tout mélanger.
Citation
JusteCjuste a écrit:
Quel est l’interêt d’un commercent de vendre ces produits au même prix d’achat, sans aucun intérêt, ça vaut dire travailler gratuitement, de quoi il va vivre ???
C’est vraiment ridicule de croire que l’intérêt est Haram.
Dans ce cas l’achat d’une résidence n’est destiné qu’aux riches.
De temps en temps il faut faire usage de son cerveau pour ne pas vivre coincé, juste c’est juste Angel
9 novembre 2021 11:01
De quoi les banques vont vivre et couvrure les frais à charges (payer le personnel, accessoires etc) s’ils devraient travailler sans bénéfice. C’est un commerce comme un autre,
Les banques ce n’est pas une société charitable, c’est une industrie commerciale. Juste c’est juste Angel
Citation
No_One* a écrit:
Salam aleykoum,

الَّذِينَ يَأْكُلُونَ الرِّبَا لاَ يَقُومُونَ إِلاَّ كَمَا يَقُومُ الَّذِي يَتَخَبَّطُهُ الشَّيْطَانُ مِنَ الْمَسِّ ذَلِكَ بِأَنَّهُمْ قَالُواْ إِنَّمَا الْبَيْعُ مِثْلُ الرِّبَا وَأَحَلَّ اللّهُ الْبَيْعَ وَحَرَّمَ الرِّبَا فَمَن جَاءهُ مَوْعِظَةٌ مِّن رَّبِّهِ فَانتَهَىَ فَلَهُ مَا سَلَفَ وَأَمْرُهُ إِلَى اللّهِ وَمَنْ عَادَ فَأُوْلَئِكَ أَصْحَابُ النَّارِ هُمْ فِيهَا خَالِدُونَ ﴿٢٧٥ {

Ceux qui mangent de l’intérêt usuraire ne se tiennent Jugement que comme se tient celui que le toucher de Satan a bouleversé. Cela, parce qu’ils disent: “Le commerce est tout à fait comme l’intérêt”. Alors qu’Allah a rendu licite le commerce, et illicite l’intérêt. Celui, donc, qui cesse dès que lui est venue un avertissement de son Seigneur, peut conserver ce qu’il a acquis auparavant; et son affaire dépend d’Allah. Mais quiconque récidive (à l'intérêt) alors ils seront les gens du Feu. Et là ils demeureront éternellement.

Le commerce/vente est permise, attention à ne pas tout mélanger.
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