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experience de la vie !!!
h
29 juillet 2009 01:17
Un jour, un vieux professeur de l'École nationale "experience de la vie" fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière".

Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience".

De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot de verre qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux a peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda :

"Est-ce que ce pot est plein ?".

Tous répondirent : "Oui".

Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment?".

Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot.

Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège.

L'un d'eux répondît : "Probablement pas !".

"Bien !" répondît le vieux prof.

Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table un récipient de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein ?".

Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent :

"Non !".

"Bien !" répondît le vieux prof.

Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'a ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda : "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ? "

Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondît : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire".

"Non" répondît le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante: si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite". Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos.

Le vieux prof leur dit alors :
"Quels sont les gros cailloux dans votre vie ?"
"Votre santé ?"
"Votre famille ?"
"Vos ami(e)s ?"
"Réaliser vos rêves ?"
"Faire ce que vous aimez ?"
"Apprendre ?"
"Défendre une cause ?"
"Relaxer ?"
"Prendre le temps... ?"
"Ou... toute autre chose ?"

"Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses gros cailloux en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir... sa vie. Si on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie.

Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question : "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ?" Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot. D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle.

Auteur inconnu
assalam o alykoum
S
29 juillet 2009 10:36
Attention à ne pas tout lire d'un coup.....risque de claquage
h
29 juillet 2009 14:25
Question : Pourquoi le poulet a-t-il traversé la route ?

UN PROFESSEUR
:
Pour aller de l'autre coté.

PLATON :
Pour son bien.

ARISTOTE :
C'est dans la nature du poulet de traverser les routes.

KARL MARX :
C'était historiquement inévitable.

MARC BLONDEL :
Parce que c'est le seul trajet que son entreprise lui accordait de prendre.

SADDAM HUSSEIN :
Ceci était un acte de rébellion qui justifie pleinement que nous ayons laissé tomber 50 tonnes de gaz dessus.

RONALD REAGAN :
J'ai oublié.

CAPITAINE JAMES T. KIRK :
Pour aller là ou aucun autre poulet n'était allé avant.

HIPPOCRATE :
A cause d'un excès de sécrétion de son pancréas.

ANDERSEN CONSULTING :
Deregulation of the chicken's side of the road was threatening its dominant market position. The chicken was faced with significant challenges to create and develop the competencies required for the newly competitive market. Andersen Consulting, in a partnering relationship with the client, helped the chicken by rethinking its physical distribution strategy and implementation processes. Using the Poultry Integration Model (PIM), Andersen helped the chicken use its skills, methodologies, knowledge, capital and experiences to align the chicken's people, processes and technology in support of its overall strategy within a Program Management framework. Andersen Consulting convened a diverse cross-spectrum of road analysts and best chickens along with Anderson consultants with deep skills in the transportation industry to engage in a two-day itinerary of meetings in order to leverage their personal knowledge capital, both tacit and explicit, and to enable them to synergize with each other in order to achieve the implicit goals of delivering and successfully architecting and implementing an enterprise-wide value framework across the continuum of poultry cross-median processes. The meeting was held in a park-like setting, enabling and creating an impactful environment which was strategically based, industry-focused, and built upon a consistent, clear, and unified market message and aligned with the chicken's mission, vision, and core values. This was conducive towards the creation of a total business integration solution. Andersen Consulting helped the chicken change to become more successful.

MARTIN LUTHER KING, JR. :
J'ai la vision d'un monde ou tous les poulets seraient libres de traverser la route sans avoir à justifier leur acte.



RICHARD M. NIXON
:
Le poulet n'a pas traversé la route, je répète, le poulet n'a PAS traversé la route.

MACHIAVEL :
L'élement important c'est que le poulet a traversé la route. Qui se fiche de savoir pourquoi à la fin en soi de traverser la route justifie tout motif qu'il soit.

FREUD :
Le fait que vous vous préoccupiez tous du fait que le poulet a traversé la route révèle votre sentiment d'insécurite sexuelle latente.

BILL GATES :
Je viens juste de mettre au point le nouveau Poulet Office 2000, qui ne se contentera pas seulement de traverser les routes, mais couvera aussi des oeufs, classera vos dossiers importants,et...

OLIVER STONE :
La question n'est pas : pourquoi le poulet a-t-il traversé la route mais plutôt qui a traversé en même temps que le poulet ? qui avons nous oublié dans notre hâte ? et qui a pu observer le poulet ?

DARWIN :
Les poulets, au travers de longues périodes, ont été naturellement sélectionnés de telle sorte qu'ils soient genétiquement enclins à traverser les routes.

EINSTEIN :
Le fait que le poulet traverse la route ou que la route se meuve sous le poulet dépend de votre référentiel.

BOUDDHA :
Poser cette question renie votre propre nature de poulet.

ERNEST HEMINGWAY
:
Pour mourir. Sous la pluie.

RAMBO
:
J'en ai raté un ?
assalam o alykoum
h
29 juillet 2009 14:31

j'ao un problebe !!!!



Ba bécane a chopé un lhube

Marti. Ça m'aurait étonné. Près te teux ans sans la mointre panne, et voilà qu'aujourt'hui, au moment où j'attaque ma chronique, mon ortinateur commence à merter. Je tape un T, c'est un T qui apparaît. Temain, je le porte à réviser, le venteur va m'ententre !

Bercreti
.
Eh, berte ! On est le 14 juillet, tout est ferbé ! Je suis obligé te continuer à bosser sur ce Bac pourrit. En plus, ce batin, il téconne de plus en plus. Voilà qu'il b'ibpribe un B quand je tape un B !

Jeuti. Y toit y avoil un vilus qui s'est intlotuit tans le tisque tur... Cette nuit, j'ai essayé te le lépalel tout seul, j'ai tout tébonté, je clois que je suis flanchebent nul en électlonique ! Je peux plus faile la plebièle lettle te bon plénob. Vous voyez laquelle...

Ventleti. Bon lépélateul fait le pont. Il ne louvle que lunti. Vu cobbent ça ebpile, je clois pas que j'allivelai jusque-là...

Sabeti. Etat stationnaile. Tans un sens j'ai quand bête tu bol, tant qu'il be fout pas la berte tans les voyelles...

Tobanche. J'aulaos boeux faot te felbel ba gueule...

Lunti. Bon lépalateur a faot faollote. Ol palaot qu'ol est palto avec la caosse. L'enfoolé ! Si je le choppe y va goûtel à ba botte ! (Chelchez pas, vous avez boen lu ! J'ao éclot « botte », pas « bote »...)






T = D
O = I
B = M
L = R
assalam o alykoum
h
29 juillet 2009 14:33
Extrait d'un journal trouvé près d'une poubelle au pavillon Ignace-Bourget. L'auteur est hélas inconnu.

12 octobre Les collègues du département ne cessent de se moquer de moi parce que je prépare mes examens au stylo et que je les fais dactylographier au secrétariat. Ils tournent en ridicule les documents que je remets aux élèves car les graphiques faits à la main sont toujours flous. Et je sens que la préparation des bulletins ne sera pas rose, moi qui ne me sers que du calcul mental et d'une petite calculette.

5 novembre La pression est trop forte. C'est décidé. Je m'achète un ordinateur. On n'arrête pas de me dire combien cela va m'économiser de travail. Reste à savoir si ce sera un Mac ou un PC. Tout ce que je sais, c'est l'argent que je peux y consacrer: 4000$.

13 novembre Ça y est. J'ai pris le virage technologique. Si tout va bien, la vie facile commence.

14 novembre J'ai réussi à allumer le tout, et à taper un petit texte. Mais l'imprimante n'a imprimé que des hiéroglyphes. Le beau-frère de mon voisin qui, paraît-il, s'y connaît, doit venir demain.

15 novembre Le beau-frère est venu. C'était un problème de police (?). Rien compris à ce qu'il a dit. Je peux imprimer, mais le souligné ne fonctionne pas. Je téléphone au vendeur. Je vais préparer mon examen à la main après tout. Ça semble plus sûr.

16 novembre Il paraît que l'ordinateur n'a pas assez de mémoire, et que je dois dépenser un autre 500$. Je n'ai pas le choix. J'ai sorti ma vieille Remington du placard.

21 novembre J'ai repris possession de « la bête ». Il n'y a qu'un petit problème avec certains accents, mais tout va bien.

23 novembre Un collègue m'a donné une copie d'un logiciel de dessin. Il paraît que ça coûte 800$ et que ça dessine quasiment tout seul. J'ai réussi à faire un cercle (pas tout à fait rond) et à le remplir de bleu. Ai terminé le test sur la Remington, après avoir perdu cinq heures.

24 novembre Ai passé la soirée à essayer de placer une image dans le texte. C'est toujours trop à gauche ou trop à droite, et le fond est foncé alors que je le veux pâle. Il paraît que cette version ne permet pas ça, mais qu'une mise à jour s'en vient. J'ai fini le travail avec des ciseaux et de la colle.

26 novembre Ai préparé l'examen final sur l'ordinateur, mais il y a eu un problème à la sauvegarde et j'ai tout perdu. Un collègue m'a dit que c'était fréquent. Il m'a donné un logiciel pour faire des copies de sauvegarde. J'ai dû formater 13 disquettes. Je pense que je vais préparer l'examen sur la Remington.

30 novembre
Je passe tout mon temps à mon ordinateur, ce qui fait que je néglige mon journal. Je téléphone sans cesse à mon collègue-qui-connaît-ça. Ma plus grande victoire est que je ne déplace plus la souris jusqu'au bord de mon bureau. (La « boule » est sortie de la souris lorsque je l'ai échappée hier.) J'écris en fait beaucoup moins qu'avant, car je passe le plus clair de mon temps à essayer de faire marcher la patente.

12 décembre Ai installé une nouvelle version du traitement de textes. Les quelques documents que j'avais réussi à sauvegarder sont disparus. Paraît que ça arrive parfois lors de mises à niveau de logiciels. Mon collègue-qui-connaît-ça m'a dit de ne pas m'en faire. Lui aussi a souvent perdu des documents (il ne me l'avait jamais dit, évidemment). La Remington trône à côté de l'ordinateur. Je tape tout sur la machine à écrire.

20 décembre
Je suis passé à un cheveu de m'acheter un « scanner » pour Noël. « C'est magique », m'a dit le collègue-qui..., avec la voix de Jojo Savard. « Tu prends un texte, tu le passes dans la machine (?), et ça devient un fichier que tu récupères dans ton traitement de textes ». Jusqu'à maintenant, la seule magie informatique que j'ai vue faisait plutôt disparaître qu'apparaître du texte. J'ai décidé de m'acheter un lecteur CD-ROM plutôt. Un modèle « plug'n'play », car je ne veux pas avoir de problèmes d'installation. J'ai hâte au 25!

25 décembre Ai passé la journée à essayer de faire fonctionner le CD-ROM. Comme le collègue-qui... et le beau-frère du voisin fêtent en famille, je me suis retrouvé seul à pleurer au milieu du salon.

27 décembre
Ai calculé les notes de mes élèves. Voyant qu'ils échouaient tous, je me suis douté de quelque chose... Mes formules étaient inexactes. Mon collègue-qui... est venu m'aider. Je commence à me méfier sérieusement. Ai tout vérifié avec ma calculette, au cas où...

8 janvier Mon ordinateur n'accepte pas que je tape PIEA. Si ces quatre lettres se suivent dans un texte, tout s'arrête. Je me méfie de plus en plus, et commence à en avoir ras-le-bol!
assalam o alykoum
h
29 juillet 2009 14:34
24 janvier Ai vendu mon ordinateur il y a quatre jours, la moitié du prix payé. Mon collègue-qui... m'a dit que c'était normal de perdre de l'argent à la vente. Un processeur plus puissant est sorti, ce qui rendait le mien « obsolète » (?). Me suis acheté la plume Mont-Blanc qui me tente depuis 12 ans. Je m'aperçois que j'ai maintenant le temps d'écrire et que ce que j'écris ne disparaît plus de la surface du globe.




auteur inconnu
assalam o alykoum
h
29 juillet 2009 14:48
Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant bien haut un billet de 20 euros.

Il demande aux gens : Qui aimerait avoir ce billet ?
Les mains commencent à se lever alors il dit : Je vais donner ce billet de 20 euros à quelqu'un d'entre vous mais avant laissez moi faire quelque chose avec.

Il chiffonne alors le billet avec force et il demande :
Est-ce que vous voulez toujours de ce billet ?
Les mains continuent à se lever.

Bon, d'accord, mais que se passera-t-il si je fais cela. Il jette le billet froissé par terre et saute à pied joints dessus, l'écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du plancher.
Ensuite il demande : Qui veut encore avoir ce billet ?
Évidemment, les mains continuent de se lever !

Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon...
Peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur n'a pas changé, il vaut toujours 20 euros.

Plusieurs fois dans votre vie vous serez froissés, rejetés, souillés par les gens ou par les événements. Vous aurez l'impression que vous ne valez plus rien mais en réalité votre valeur n'aura pas changé aux yeux des gens qui vous aiment !

La valeur d'une personne ne tient pas à ce que l'on a fait ou pas, vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs car votre valeur intrinsèque est toujours intacte.
assalam o alykoum
h
29 juillet 2009 14:51
Chaque semaine compte deux jours pour lesquels nous ne devrions pas nous faire de souci, deux jours où il ne nous faudrait connaître ni crainte, ni appréhension.

Le premier jour, c'est hier, qui porte le fardeau de ses soucis, de ses erreurs, de ses fautes, de ses bévues, de ses souffrances et de ses chagrins. Hier nous a échappé à tout jamais. Tout l'or du monde ne pourrait le faire renaître. Nous ne pouvons défaire les actes accomplis, les paroles prononcées. Hier est un jour révolu.

L'autre jour qu'il convient de mettre à l'abri des soucis, c'est demain, plein de grandes promesses, de piètres résultats, de malheurs possibles et de fardeaux. Demain échappe à notre emprise. Le soleil se lèvera inexorablement dans la splendeur ou derrière un voile de nuages. Jusqu'à son lever, nous ne pouvons miser sur rien, puisque demain n'a pas vu le jour.

Il ne nous reste donc qu'aujourd'hui. Tous nous pouvons livrer bataille pendant une petite journée. Nous ne faiblissons et ne chavirons que si le poids d'hier et de demain - ces deux terribles éternités - s'ajoutent aux inquiétudes d'aujourd'hui.

Ce ne sont pas les expériences d'aujourd'hui qui nous désespèrent, c'est l'amertume du remords de la veille et la crainte de demain.

À CHAQUE JOUR SUFFIT SA PEINE !

Anonyme
assalam o alykoum
h
2 août 2009 16:44
A
2 août 2009 17:22
habiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiibbbbbbbbbbbbbbbbbbbbbbb!!calme toi!


Are you crazy
h
2 août 2009 17:25
Citation
Aaliyah69 a écrit:
habiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiibbbbbbbbbbbbbbbbbbbbbbb!!calme toi!


Are you crazy

je suis tres calme, ...

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