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Kim Patachian a écrit:
Zut je suis grillee
Nasdrovia
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Staline Girl a écrit:
Kim voyons, ta couverture, mais qu'est-ce qui te prend
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Kim Patachian a écrit:
Tu es folle!!!
Il y aurait aussi des femen infiltrées d'après des bruits de couloirs
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Oud a écrit:
T'ES RUSSE, TOI ?
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Kim Patachian a écrit:
J'avoue j'ai gaffe pourtant j'avais une belle couverture sous pseudo made in US
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Kim Patachian a écrit:
Ne t'en fais pas, aveuglée par ses faux cils, la kimy army n'y voit que du feu
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Staline Girl a écrit:
Camarade tu nous as trahis, les autres agents du KGB qui n'ont pas trahis leur couverture vont venir prochainement te chercher.
Tes faux-cils ne serviront à rien au goulag.
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Kim Patachian a écrit:
Vous goûterez à ma redoutable attaque fond de teint
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Staline Girl a écrit:
Oh non, camarade, pas le fond de teint, même l'arme nucléaire ne serait pas rivalisé
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Kim Patachian a écrit:
... alors mieux vaut pas te parler de l'attaque posterieure sismique... rendez les armes
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Staline Girl a écrit:
Exclusif – L’URSS affirme avoir infiltré des agents du KGB sur le site Yabiladi
C’est l’info de la soirée, l’URSS disposerait de plusieurs agents infiltré au sein du site, c’est le Père des peuple qui l’a affirmé dans un entretien accordé au magazine Le Capital.
Reportage
« Oui, nous avons des agents qui travaillent sur Yabi », c’est par ses simples mots, de manière franche et directe que le chef du Parti Communiste a confirmé la présence d’agent du KGB sur Yabi face aux caméras du magazine Le Capital.
Affirmant qu’il était nécessaire pour tout états de mener une surveillance sur tous les territoires composés essentiellement de musulmans comme Yabi car selon ses termes " après le communisme, l’islamiste est le nouvel ennemis proclamé " et qu'aucun pays ne peut " rester stoïque et à l’écart alors que Yabi est composé d’un grand nombre d’agent du FBI agissant sous couverte, ainsi que d’une bonne partie de partisan d’extrême droite voulant salir l'image de cette communauté ".
Ainsi, nous apprenons que depuis plusieurs années des yabis que rien ne distingue des autres agissent en réalité pour le compte du souverain communiste, nous avons réussi à rencontrer l’un d’entre eux, en exclusivité, le témoignage de M., agent du KGB infiltré.
Journaliste : Bonjour M., qu’est-ce qui vous a poussé à devenir un agent du KGB ?
M. : Oh, vous savez quand on n’a absolument rien à faire de sa vie et que l’on s’ennuie à mourir alors la profession d'espion est idéal elle permet de pourrir celles des autres et c'est un véritable plaisir. On peut croire qu’il serait plus sain de cultiver son propre jardin plutôt que d’aller piétiner et dégrader celui des autres mais que voulez-vous alors que certain cherche la paix intérieur et le chemin difficile et contraignant d’autre préfère se laisser aller à leurs passions les plus vils et sombrer dans la colère et se laisser porter par la haine, après tout pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?
Journaliste : Quelles sont les qualités d’un bon agent infiltré ?
M. : Il faut avant tout avoir de multiples personnalités, vous savez nous sommes envoyé dans différentes missions et il faut donc savoir s’adapter au mieux. A chaque fois, c’est un personnage nouveau qui doit entrer en scène pour le malheur de tous. Nous les infiltrés, nous avons donc une double vie et plusieurs identités, il est impératif de savoir gérer cela sans jamais se faire repérer. J’apprends donc à jongler avec les multi comptes.
Par exemple, actuellement, je suis à la fois une jeune étudiante en lettre issue de la bourgeoisie marocaine venue poursuivre ses études à Paris, mais aussi une jeune mariée vivant au Maroc, un jeune veuf depuis 2 mois, un chef d’entreprise vivant dans le Sud de la France marié avec 3 enfants, une divorcée avec 1 enfant, et un chômeur de longue durée, je songe prochainement à ouvrir un personnage salafiste.
Je suis tellement dans mes personnages qu’il m’arrive parfois de parler à moi-même à travers mes multi comptes. Mais c’est tout de même parfois difficile de bien se souvenir de tous ses personnages sans jamais se trahir, se contredire dans ses propos, ne pas utiliser le féminin à la place du masculin, ou parler de son mari alors que l’on est censé être divorcée, c’est un travail très difficile …
Journaliste : Justement parlez-nous des difficultés de votre métier ?
M. : Il y a plusieurs difficultés dans ce travail, par exemple, ma dernière cible était insomniaque, je devais donc veiller toute la nuit quitte à mettre toutes mes obligations de côté pour la surveiller. Mais j’ai accompli ma mission sans faillir, quitte à être cernée, fatiguée et complètement inefficace dans mon autre travail. Mais pour le plaisir de détruire aucun sacrifice n’est assez grand.
Journaliste : Qui était cette cible ? Un terroriste potentiel ?
M. : Au non, cette cible formatait un projet bien pire qu’une attaque terroriste ou une tentative de reversement de Staline et du mouvement communiste, elle commettait du HS ce qui est comme nous le savons tous le plus grand fléau du 21e siècle.
Journaliste : […]
M. : ?
Journaliste : Sinon, est-il vrai que cela peut devenir addictif ?
M. : Oui, c’est exact, moi-même parfois j’ai du mal à distinguer mes personnages de la réalité, c’est comme une drogue dure, d’ailleurs lorsque ma cible n’est pas là, je n’ai plus de vie, c’est pour ça que je la suis où qu’elle aille.
Journaliste : Euh … Et sinon qu’est-ce qui vous motive dans votre travail ?
M. : La destruction, c’est de savoir que quelqu’un ira croupir au bagne à cause ou plutôt dois-je dire grâce à moi, c’est un plaisir inégalable, je suppose que j’ai un côté sadique.
Journaliste : Certainement …