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piducas a écrit:
Selon une étude, aux 20 e siècle, les luttes non violentes réussissaient dans 53% des cas, contre 26% pour les résistances violentes. Entre 2000 et 2006, 70% des résistances non-violentes avaient réussi à concrétiser des transformations politiques majeures, cinq fois plus que les campagnes violentes durant la même période.
Cependant, pour qu’une résistance pacifique réussisse, la masse est cruciale. D’après l’étude, pas un gouvernement a pu tenir après que 3,5% de la population le conteste activement. En effet, aucune campagne de contestation entre 1900 et 2006 n’a échoué avec un engagement soutenu de 3,5% de la population. À signaler que toutes les luttes ayant dépassées le seuil critique de 3,5% ont été non-violente. Les luttes non violentes mobilisent en moyenne quatre fois plus que les luttes violentes.
Pour en savoir plus, un lien qui s'étend plus particulièrement à la Silmiya algérienne.
et une conférence de l'auteur de l'étude
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freeAssange a écrit:
Les campagnes violentes discréditent les enjeux de la contestation, plusieurs fois les gilets jaunes tarés m'ont bloqué et tapaient sur le capot, heureusement y'avait des gens âgés qui étaient cool pcq j'étais au bord d'éclater.
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Neo133 a écrit:
L’histoire nous apprend qu'aucune révolution pacifique n'a changé le monde, seule la force a toujours déterminé l'avenir.
Si vis pacem para bellum
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piducas a écrit:
Pas forcément ; dans les années 90 en Algérie le FIS (Front Islamique du Salut) avait opté pour la violence et le terrorisme, et jusqu’à aujourd'hui c'est sans succès.
Idem pour l'état islamique.
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