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Qui était Wael Zuaiter, la première victime dans le film "Munich"...
s
15 février 2006 12:05
Qui était Wael Zuaiter, la première victime dans le film "Munich" de Spielberg

MUNICH : Un scénario pour Wael. Et pour Janet. Un homme cultivé, doux, laïc : le meilleur de la Palestine. Janet Venn Brown parle de son compagnon Wael Zuaiter, la première victime des représailles israéliennes montrées dans le film de Spielberg

de TOMMASO DI FRANCESCO traduit de l’italien par karl&rosa

"Ils étaient cachés là, dans cet hôtel, ceux qui ensuite l’ont tué. De là, ils contrôlaient tous nos mouvements et voyaient les mouvements de Wael. Nous l’avons appris d’après les actes du procès". Du balcon de sa maison, Janet indique deux étages surélevés, absolument en violation de la loi d’urbanisme, de l’hôtel Atlante, devant sa petite mais extraordinaire maison derrière Castel Sant’Angelo. Cette monstruosité limite à peine la vue du Cupolone ; mais à droite l’observatoire de Monte Mario se découpe.

C’est la lumière de Rome qui rend justice et actualité à l’histoire du Palestinien Wael Zuaiter, bien avant les mots de la femme petite, menue, désormais âgée mais douce et très forte qui nous parle. C’est Janet Venn Brown, une artiste peintre australienne qui de la baie de Sydney a préféré depuis nombre de décennies vivre en Italie. Ici, elle a connu Wael Zuaiter, l’intellectuel qui représentait Al Fatah, aucune direction unifiée de l’Olp n’existait encore et encore moins l’Anp.

La question palestinienne était vagabonde, exactement comme Wael qui de Nablus, pour ses études et son travail d’abord et ensuite à cause de l’occupation de la Cisjordanie par l’armée israélienne dans la guerre des six jours de 1967, avait vécu dans toutes les capitales arabes, d’Amman à Bagdad en passant par Kuwait City. Jusqu’à arriver en Allemagne et à jeter l’ancre en Italie, à Pérouse d’abord et ensuite à Rome. Où, le soir du 16 octobre 1972, il fut assassiné par des agents israéliens dans une opération secrète du Mossad coordonnée directement par le premier ministre de l’époque Golda Meir, comme représailles ciblées pour punir les responsables présumés de l’enlèvement et du massacre de Munich de septembre 72. Wael Zuaiter fut la première victime de cette séquence de mort qui vit tomber sept autres représentants palestiniens en Europe et au Moyen Orient.

"L’ennemi vit en lui un géant... et il ne peut pas être mort, on ne peut pas arracher les racines des oliviers et des chênes. Il est vivant dans la mémoire de son peuple..." : c’est ce qu’écrivait de lui Yasser Arafat. Par les temps qui courent, en Palestine on aurait envie de dire que pour lui la tombe érigée dans le cimetière des martyrs palestiniens de Damas ne peut pas suffire, on aurait envie de savoir vraiment s’il est rappelé dans sa terre, si quelqu’un a fait trésor de sa laïcité et de sa culture, de sa particulière modernité. Quoi qu’il en soit, avec autant de gens qui l’ont connu et apprécié, il y a une personne qui aime encore vraiment Wael comme s’il était vivant et comme s’il était resté avec elle dans cette pièce petite mais lumineuse. Et qui nous y accueille avec affection : "Assieds- toi dans ce petit fauteuil marron, Wael disait que c’était un endroit sereine".

Place Annibaliano

"Par un signalement du 17 octobre 1972, le Bureau Politique de la Préfecture de Police de Rome informait la Procure de la République que vers 22h20 du soir précédent dans la cour d’un bâtiment de via Annibaliano N°4 avait été trouvé le corps sans vie d’un homme, identifié tout de suite comme celui du citoyen jordanien Zuaiter Wael Adel, traducteur auprès de l’ambassade de Libye en Italie. Près du cadavre, à proximité de l’ascenseur, les agents de la Police Scientifique avaient répertorié douze douilles de cartouches de pistolet calibre 22. Dans un rapport du 19.10.72, la PJ présisait que le jeune homme - représentant du mouvement de résistance palestinien ’al-Fatah’ - avait été atteint par des coups d’arme à feu à la tête et aux épaules" (Des actes du procès, Cour d’Assises de Rome, 29 décembre 1980).

Le corps, renversé sur le côté dans une flaque de sang qui s’élargit à partir de la tête, montre le profil de Wael, il semble dormir.

Maison de Janet

"Il était beau, pas vrai..? Il était mince et ses yeux... oh, ses yeux. Ils étaient la surprise de tout le monde, je veux dire des hommes et des femmes - dit Janet presque chuchotant et comme si son visage était allumé - il y avait en-dessous une voisine qui à peine eut-elle appris le meurtre monta en pleurant me consoler en me disant : mais comment ont-ils pu assassiner un homme qui avait les yeux si doux et qui était si gentil. Et penser que ce soir- là il était parti parce qu’il devait rentrer via Annibaliano, mais il était de bonne humeur. Nous avions plaisanté, j’avait été absente plus d’un mois parce que j’avais été en Australie pour mon activité d’artiste peintre. Justement ce soir-là Wael riait de bon cœur, il était content parce que le médecin qu’il avait été voir lui avait dit qu’il se portait très bien et qu’il vivrait plus de cent ans. Et en revanche, une heure après ils l’ont tué.

Il était parti depuis peu. Et on a sonné. Qu’as-tu oublié, Wael? Mais non, c’était la police. ’Venez tout de suite...habillez-vous...il y a eu un accident’. Mais déjà dans l’ascenseur je demandais aux agent si on l’avait tué. Il répondirent oui.

Il était beau, Wael. J’ai vu le film de Spielberg. C’est un film important qui dit des choses nouvelles. Mais il ne dit pas que la pratique des représailles ne commence pas comme réponse à l’enlèvement de Munich et au massacre. Mais ils arrive aux mêmes conclusions auxquelles je suis arrivée, à mes questions de l’époque. Quel sens cela pouvait-il avoir sinon celui de nourrir de nouvelles haines et représailles, le fait d’avoir assassiné un homme cultivé et bon, qui parlait de paix, qui vivait immergé dans les livres dont il se nourrissait presque et qui respectait les Juifs? Et qui n’avait rien à voir avec l’action de Septembre noir?

Wael avait vu les massacres d’Amman de septembre 1970, il avait esquivé les projectiles des fusiliers de l’armée jordanienne du roi Hussein, il avait vu ce ’septembre noir’ mais il n’avait jamais porté d’arme. Ils se baladaient tous armés durant ces journées de sang, il y eut deux mille Palestiniens tués.

Lui non. Il travaillait jour et nuit sur un autre front précieux à cette époque, comme en témoigna le dirigeant communiste Romano Ledda : il organisait le ravitaillement en pain des quartiers palestiniens bombardés, en risquant sa vie chaque jour. Voila qui était Wael. Quand il y eut Munich en septembre 1972, nous étions dans cette pièce et il me dit tout de suite : ’Nous ne somme pas cela, ne sommes pas cela’. Quand tout arriva, je pensais à ce que Wael avait fait les derniers temps. Il ne me parlait pas beaucoup de son travail, mais un jour il me dit : ’tu vas voir, on me tuera, cela me semble incroyable à moi aussi, mais ils le feront’. Je ne comprenais pas, je n’arrivais pas à comprendre, aussi parce qu’il m’expliqua que c’était justement la raison pour laquelle il avait décidé de rester à Rome et de ne plus partir au Moyen Orient, où il aurait dû se rendre pour son travail. Il s’était préparé, pour cela il avait voulu détruire tous les poèmes qu’il avait écrits, il ne voulait pas qu’ils soient publiés après sa mort.

Je ne croyais pas que cela pouvait arriver. Maintenant je sais que la stratégie de meurtres que le film de Steven Spielberg attribue à la préparation d’une liste [la liste "Golda" du nom du premier israélien Golda Meir, ndr] n’avait aucune référence spécifique aux responsables de l’enlèvement de Munich et du massacre qui s’en ensuivit, dont la responsabilité n’est certainement pas palestinienne. Non, l’initiative des exécutions ciblées, comme le démontrèrent peu de temps après nombre d’autres meurtres de représentants d’Al-Fatah et d’intellectuels palestiniens en Europe et au Moyen Orient, profita de Munich pour frapper et éliminer tout Palestinien pouvant représenter la possibilité d’un enracinement culturel et politique du mouvement de résistance, pour couper ainsi tous les laborieux liens et fils tissés avec les réalités politiques et culturelles occidentales et isoler encore plus ce peuple. Mais je veux dire une chose. Dans le film de Steven Spielberg Wael est un homme gras et lourd qui dégage des choses sordides, au sourire idiot, goulu et plein de choses à manger. C’est moi qui lui avais donné les sandwichs qu’il avait dans son éternel sac en plastique qu’ils retrouvèrent à côté de son corps sans vie avec la radiographie du 16 octobre avec laquelle le médecin certifiait sa santé. Et il était maigre et beau".

Escalier d’un palais romain

Quelques jeunes Italiens et Arabes transportent des caisses. Il portent le poids attentivement. Ali décide de se servir de l’ascenseur, Wasim fait deux étages, un gros carton à la main, puis il renonce et continue à charger l’ascenseur. Ils doivent arriver au cinquième étage. Ils sont en train d’aider Wael Zuaiter à aménager le centre de culture moyen-oriental. "Oui, entre les appartements et les habitations civiles - raconte Janet - vous avez bien compris. Wael, de retour du Kuwait où il avait travaillé plusieurs mois en faisant n’importe quel travail, du traducteur au coursier, en gagnant bien sa vie parce qu’à l’époque le Kuwait était le pays le plus riche du Moyen Orient, il avait pensé dépenser en livres tout ce qu’il avait gagné. Les armes de Wael étaient les livres. Tous les livres du monde. Et il les avait amenés en Italie par un transport qui à l’époque était très coûteux. De Dante et Goethe en arabe à Jean Genet et aux derniers récits de Ghassan Kanafani, jusqu’aux raffinés volumes reliés en cuir des Milles et une Nuits - que Wael commença à traduire et qu’il n’arrêtait pas de lire chaque jour, et où il trouvait chaque jour quelque chose de nouveau qui le faisait rire parce que, disait-il, ’C’est mon monde, je découvre toujours une nouveauté dans le langage et dans les faits que je n’avait pas compris auparavant’ ; quand ils l’ont tué il était en train de rentrer chez lui pour écrire un essai justement sur les Mille et une Nuits, pour démontrer que dans la culture arabe il n’y a jamais eu de haine anti-juive qui, au contraire, est un contenu négatif précisément de l’Occident. Il voulait le publier, cet essai, aussi parce qu’il était en colère : il avait écrit un texte que L’Espresso lui avait demandé pour expliquer les raisons de la lutte palestinienne contre l’occupation israélienne et l’article ne sortait jamais à cause d’évidents problèmes politiques. Il sortit, par contre, comme un scoop les jours suivant l’assassinat de Wael avec le titre ’Testament d’un Palestinien’.

Mais parlons encore de la bibliothèque-centre culturel pour laquelle nous dépensâmes beaucoup d’argent, pour les étagères aussi. Il y avait des volumes et des volumes sur et de Avicenne et Averroès, des centaines et des centaines de classiques, des penseurs mystiques aux algorithmes, jusqu’à la musique. Voila, Wael avait étudié la musique, je ne sais pas s’il l’avait fait en Allemagne, le premier pays européen où il était arrivé du Moyen Orient, mais sûrement à Pérouse. Je suis certaine qu’il parlait pendant des heures de musique avec Bruno Cagli, qui dirige maintenant Santa Cecilia, et avec Luigi Pestalozza. Ils parlaient des symphonies de Gustav Mahler, Wael était complètement captivé par ces airs.

Quand je l’ai connu, en 1962, il me fut présenté comme interprète d’anglais alors que je préparais ma première exposition en Italie, Via Margutta. C’était mon traducteur et ensuite il m’aida à démonter tous les tableaux. Le soir tard nous allâmes nous promener au Corso et Wael courait dans toutes les directions en chantant à tue-tête en anglais des sonnets et des chansons de Shakespeare".

Via dei Frentani

Automne 1969. Dans l’entrée de la Fédération romaine du Pci sont en train d’arriver les premiers paquets du bulletin magazine Palestine. Il s’appelait auparavant Rivoluzione palestinese. Au-dessus un grand écriteau : "Les camarades des sections doivent le retirer et le diffuser". Pour le magazine, dirigé par Pietro Petrucci, pour le Comitato Palestina, composé d’abord des seuls communistes, puis des socialistes et des démocrates-chrétiens de gauche, le rôle de Wael Zuaiter fut décisif. Ce fut lui qui prépara l’édition italienne de l’hebdomadaire d’Al-Fatah qui sortit mensuellement. Ce fut lui qui décida de parler avec tous les partis, sauf les fascistes. Rome avait découvert Wael Zuaiter un soir dans une section enfumée du Pci du centre.

"A l’époque j’habitais presque dans le Ghetto - raconte Janet - il y avait eu la guerre des Six jours, c’était 1967. Alors commença vraiment le travail politique de Wael, qui était dans tous ses états, défait. Il me dit qu’il devait aller à une initiative dans le ghetto, il y avait dans les rues les affiches qui annonçaient Piero Della Seta - qui allait devenir ensuite un de ses grands amis, comme Luciana Castellina - engagé à parler du rôle de la paix et d’Israël en Moyen Orient après la guerre. La guerre dans laquelle Naplouse, la ville où Wael était né en 1934, et toute la Cisjordanie avaient été occupées par l’armée israélienne. Après toutes les interventions et les polémiques internes, il leva la main du fond de la salle et commença à expliquer et à répondre avec clarté aux lieux communs de nombre d’intervenants. Et je me souviens qu’à la question sèche et vexée de la table de la présidence : mais, excusez-moi, comment savez-vous ces choses-là, Wael répondit serein et illuminé : ’Je les sais parce que je suis Palestinien’. En somme, le peuple qui ’n’existait pas’ et dont la terre serait vide et prête à être occupée, prenait soudain corps à l’intèrieur de cette salle. Et je me souviens qu’alors Piero Della Seta l’invita tout de suite à la table de la présidence, mais Wael refusa. Il aimait faire valoir ses idées, il n’aimait pas être présent à tout prix ou être protagoniste.

A propos de protagoniste, Wael dans son parcours vagabond de travail en travail - il avait commencé des études d’ingénieur en Jordanie mais avait quitté l’université - avait tenté la carrière cinématographique parmi de nombreux figurants. Dans un film, il aurait même dû dire deux répliques. ’Moteur, on tourne, racontait Wael et lui resta muet ; ’on la refait’, le rassurait le réalisateur dont je ne me souviens plus qui c’était ; ’moteur, on tourne’, rien ; troisième clap, silence. Une carrière d’acteur brûlée. Et nous nous mettions à rire".

[ilmanifesto.it]...
siryne
D
15 février 2006 12:37
Salam,


J'ai vu ce film, qui à l'air realiste, mais contrairment à ce que dit spielberg, ce film est quand meme orienté, et à chaque fois où le telepectateurs commence à eprouver de la compassion, on à une scenne qui rappelle le meurtre des atlhetes, mais il est bien fait faut l'avouer.
[hr] [b][center]Si perçante soit la vue, on ne se voit jamais de dos[/center][/b][b]Boycottez pour la paix !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! [color=#FF0000]Boycottez!!!!!!!!![/color][color=#FFFFFF]!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!![/color] [color=#009900]Boycottez pour les enfants de Gaza!!!!!![/color][/b]
I
15 février 2006 13:00
Ce film a aussi pour but de montrer que le mossad aussi éprouve des sentiments alors que c est faux,ses



agents sont tous des tétes brulées sans pitié et sans foi ni loi.
m
15 février 2006 13:11
Citation
Donatello a écrit:
Salam,


J'ai vu ce film, qui à l'air realiste, mais contrairment à ce que dit spielberg, ce film est quand meme orienté, et à chaque fois où le telepectateurs commence à eprouver de la compassion, on à une scenne qui rappelle le meurtre des atlhetes, mais il est bien fait faut l'avouer.

Je ne comprends pas que l'on puisse donner plus de 8 euros à un propagandiste sioniste.
Il y a d'autres moyens pour voir ce film si vous voulez rééllement le voir.
Personnellement ce film ne m'intéresse pas, je connais déjà la chanson.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 15/02/06 13:14 par massouach.
w
15 février 2006 13:20
ces 8euros qui serviront pour la réalisation d un prochain film sur la shoa ou sur les pauvre victimes israelienne qui meurent dans les bus. par contre ne vous faites aucun souci jamais un film sur sabra et shatila
D
15 février 2006 18:26
Citation
massouach a écrit:
Citation
Donatello a écrit:
Salam,


J'ai vu ce film, qui à l'air realiste, mais contrairment à ce que dit spielberg, ce film est quand meme orienté, et à chaque fois où le telepectateurs commence à eprouver de la compassion, on à une scenne qui rappelle le meurtre des atlhetes, mais il est bien fait faut l'avouer.

Je ne comprends pas que l'on puisse donner plus de 8 euros à un propagandiste sioniste.
Il y a d'autres moyens pour voir ce film si vous voulez rééllement le voir.
Personnellement ce film ne m'intéresse pas, je connais déjà la chanson.


Salam,

moi aussi je ne le comprend pas sauf que pour moi, je l'ai vu fe dar, c'est tout autre chose
[hr] [b][center]Si perçante soit la vue, on ne se voit jamais de dos[/center][/b][b]Boycottez pour la paix !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! [color=#FF0000]Boycottez!!!!!!!!![/color][color=#FFFFFF]!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!![/color] [color=#009900]Boycottez pour les enfants de Gaza!!!!!![/color][/b]
Z
15 février 2006 18:32
Salam,
Y'a une rhetorique qui me fera toujours rire et elle transparait à merveille dans cette phrase :
"Un homme cultivé, doux, laïc "

C'est sur s'il avait était musulman il serait ignorant et rustre grinning smiley...

C'est moi qui suis parano ou c'est vraiment un dechainement méditique?



Modifié 1 fois. Dernière modification le 15/02/06 18:33 par Zackmtl.
$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$ Le texte que je viens de taper a porté plainte :S $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$
H
15 février 2006 18:33
Dieudo est en train de rammassé des fonds pour réaliser un film sur la traite negriere. Un cinéaste arabe devrait faire la même chose et réaliser un film sur une des phase du drame palestinien...
q
15 février 2006 18:42
Salam

Je suis d'accord avec vous.C'est de la propagande sioniste,comme beaucoup de films US.
Mais je dirai que c'est normal que des sionistes fasse des films sionistes.
Le probleme c'est que les musulmans ont une cinematographie inexistante.Je parle bien sur des films islamiques,sur l'histoire de l'islam.....pas des films comme "Marock" ou ceux de Nabil Ayouch.A part "Le Message" ou "Saladin" de Chahine, ou encore du méconnu "Qadissiya"(je dis cela car je suis tombé dessus par hasard sur la chaine tunisienne il y a quelques années)...ou "La bataille d'ALGER" pour des evenement pour l'epoqque contemporaine....je dois dire que c'est le grand vide.Et comme je l'ai dit les quelques films faits ses derniéres années servent juste à promouvoir la débauche.
h
15 février 2006 19:01
la propagande c'est de refuser de voir la realité
D
15 février 2006 19:01
Salam,


C'est clair que le monde musulmans surtout arabe, question culture est vraiment à la traine, pour munich, c'est de la propagande et comme j'ai dit, il est orienté pour justifier la violence envers les palestiniens, seule quelques paroles essayent de poser des questions sur cette violence, mais bon faut pas s'attendre à une condamnation de la violence des sionistes.
[hr] [b][center]Si perçante soit la vue, on ne se voit jamais de dos[/center][/b][b]Boycottez pour la paix !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! [color=#FF0000]Boycottez!!!!!!!!![/color][color=#FFFFFF]!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!![/color] [color=#009900]Boycottez pour les enfants de Gaza!!!!!![/color][/b]
q
15 février 2006 19:06
Citation
hmidouche a écrit:
la propagande c'est de refuser de voir la realité

Salam

Explique de quelle réalité tu parles pour eviter les malentendus.
V
16 février 2006 00:03
je viens tout juste de voir le film , et j'ai kiffé a donfe Grave

ceux qui oserons dire que c'est de la propagande ne sont à mon avis que des idddiots (ou peut etre qu'il n'ont pas vu le film)

alors laissons des coté les slogans 'je donnerai pas mon pognon au sionistes' et allez voir ce film , ca en vaut la peine
D
16 février 2006 11:41
Citation
Vador a écrit:
je viens tout juste de voir le film , et j'ai kiffé a donfe Grave

ceux qui oserons dire que c'est de la propagande ne sont à mon avis que des idddiots (ou peut etre qu'il n'ont pas vu le film)

alors laissons des coté les slogans 'je donnerai pas mon pognon au sionistes' et allez voir ce film , ca en vaut la peine


Salam,


il est bien fait certes, mais ce que je considere comme de la propagande c'est que lorsqu'il y a une scenne semble montrer l'horreur du mossad, on rappelle comment s'est deroulé la prise d'otage histoire de rappeler pourquoi ils font ce boulot. Sinon on peut ne pas donner son pognon aux sionistes et le ragarder, en plus pour un film qui fait plus de 2h30
[hr] [b][center]Si perçante soit la vue, on ne se voit jamais de dos[/center][/b][b]Boycottez pour la paix !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! [color=#FF0000]Boycottez!!!!!!!!![/color][color=#FFFFFF]!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!![/color] [color=#009900]Boycottez pour les enfants de Gaza!!!!!![/color][/b]
 
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