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Enquête sur un viol présumé : treize pompiers en garde à vue
h
10 mai 2012 13:11
reize pompiers de la brigade de sapeurs-pompiers de Paris (BSPP) ont été placés en garde à vue mercredi 9 mai dans l'enquête sur un viol présumé, selon des sources judiciaires. Un jeune homme avait déposé plainte dimanche à Paris pour viol, accusant un de ses collègues de la BSPP de l'avoir violé après une séance de bizutage qui aurait mal tourné, au vu et au su d'autres pompiers qui se trouvaient dans le bus.

Les faits se seraient déroulés dans un car qui ramenait de Colmar une équipe sportive de sapeurs-pompiers de Paris. Selon Le Parisien, le jeune plaignant a affirmé aux enquêteurs avoir été dans un premier temps "sévèrement bizuté" par plusieurs autres jeunes militaires, qui l'auraient "pincé puis mordu au niveau du postérieur". Le jeune homme ayant protesté, il se serait retrouvé plaqué au sol par plusieurs de ses collègues, dont un l'aurait violé à plusieurs reprises, sous le regard d'un officier qui ne serait pas intervenu. "Si ces faits étaient avérés, ils sont totalement inacceptables et contraires aux valeurs des sapeurs-pompiers de Paris, qui sont la générosité, le dévouement et l'altruisme", a encore déclaré le porte-parole de la BSPP. "Tous ceux qui auraient pu porter atteinte à ces valeurs, à notre déontologie et à notre code d'honneur devront en répondre", a-t-il conclu.

Les personnes placées en garde à vue sont des militaires de la BSPP, entendus par des gendarmes de la section de recherches de Paris saisie par le parquet de Paris. Une vingtaine d'autres personnes, n'ayant pas participé à la scène, étaient présentes dans le bus, selon une source proche du dossier.
assalam o alykoum
U
11 mai 2012 08:46
On ne voit pas comment tous ces présumés faits pourraient avoir eu lieu entre des dossiers avec appuie-tête.
Une seule personne a déjà de la peine à se faufiler pour gagner son siège.
Je ne vois pas comment TREIZE personnes de large gabarit auraient pu faire ce qui est décrit dans l'article.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
h
11 mai 2012 15:58
pourquoi pas?? ils ont un pois chiche dans leur cervelle ces gens la, ils se permettent tout, et au dessus de tout ,

surtout cette brigade de paris , qui se croit prestigieuse ....

y a pas que chez les pompiers qu'on voit ce genre de derapage sous l'appellation du "bizutage"
assalam o alykoum
U
11 mai 2012 16:27
Citation
habiiib a écrit:
pourquoi pas??

La question n'est pas "pourquoi ? "

La question est "comment ? "

Matériellement, il n'y a pas la place pour que ce soit fait comme c'est écrit.
Dans un bus, une seule personne n'a pas la place pour tourner. Alors, TREIZE ..

Pour l'instant, il ne s'agit que d'une nouvelle croustillante qui ne concerne qu'une plainte.

Jusqu'à preuve du contraire, ils sont présumé innocents.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
h
11 mai 2012 16:55
ils sont pas presumés innocents, mais presumés coupables ....

ils sont impliqués dans un truc pervers ... chacun avec son degré d'implication ..

2 violeurs, d'autres violents, agressifs, gamins etc ... on appelle ça comme on veut

"presumés machin" est cité quand ça arrange,



Modifié 1 fois. Dernière modification le 11/05/12 21:02 par habiiib.
assalam o alykoum
c
11 mai 2012 20:53
ben oui. selon toutes vraisemblances, il s'agit d'un viol c'est à dire pénétration, à l'aide d'un objet.
un bouteille semblerait il.
pour qui connait l'ambiance militaire, ça ne surprend qu'à moitié.
perso, j'avais échappé au "cirage" de justesse. avec un couteau pour menacer mes assaillants. angry smiley
U
11 mai 2012 21:57
Citation
habiiib a écrit:
ils sont pas presumés innocents, mais presumés coupables ...

ils sont impliqués dans un truc pervers ... chacun avec son degré d'implication ..

2 violeurs, d'autres violents, agressifs, gamins etc ... on appelle ça comme on veut

"presumés machin" est cité quand ça arrange,

Ben non: Ils ne sont qu'inculpés (en vocabulaire franco-français: "mis en examen" ), pas encore accusés.

N'importe qui peut être "mis en examen" s'il y a des risques que des témoins discutent entre eux. Ce n'est que lorsque tous les témoignages ont été enregistrée, que ceux qui sont soupçonnés peuvent sortie de l' "emprisonnement pour les besoins de l'Instruction".

On saura très rapidement quelles sont les suites de l'affaire: Non-lieu ou emprisonnement militaire.
(la Justice civile n'est probablement pas compétente)

En tous cas, si une agression perverse a eu lieu, il faut que la Justice applique la Loi dans toute sa rigueur.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
X
12 mai 2012 20:21
Ils ne vont pas prendre cher. Ce genre de comportement est relativement toléré. Décidément, les pompiers de la ville à Delanoe...
c
12 mai 2012 20:47
ces comportements etaient tolérés quand cela restait dans le cadre d'un bizutage "normal", méme violent.
on a changé d"époque.
là, c'est différend. on parle quand méme d'une pénétration avec une bouteille. le ménage va étre fait.
12 mai 2012 21:52
Ah les bizutages... Le bon vieux temps...

Je croyais que c'était interdit?

De mon temps, on faisait cela avec goût. On prennait deux nouveaux, on leur donnait une allumette et on les envoyait mesurer la rue chacun en commençant d'un côté (sans se parler) et s'ils donnaient pas le même numéro à 2 allumettes prés... On les renvoyait recommencer...

Ou alors, la mousse à raser pour les filles, une petite barbe blanche pour la rue...

Un truc ridicule à faire... Des trucs drôles pour tout le monde et qui laissent un bon souvenir. Pour qu'on puisse dire "ah, tu te souviens du bizutage quand machin truc à fait ceci cela?"

Et des fois, tu as de grands directeurs du programme machin chose qui débarquent et qui te posent des questions sur ton bizutage pour savoir ce que tu as fais... Et ils te disent ce qu'ils ont dû faire... Et la distance elle fait "pouf"... Même grande famille...

Des trucs comme ca...

Mais c'était toujours festif et dans la bonne humeur... Un petit mauvais moment à passer pour rentrer dans le groupe et casser la distance... Et généralement, à la soirée, tout est oublié et on fait tous la fête...Et on félicite ceux qui ont bien fait le truc et ceux qui l'ont prit avec beaucoup d'humour... Les gens avec du caractère se font remarquer vite fait.

Mais là, c'est débile, humiliant, dégueulasse, gratuit, malintentionné etc etc... Ca déborde de mauvais goût et je ne vois pas où est la bienveillance du grand frère qui dit "tu dois passer par là pour être un des miens."

Les nouvelles générations sont de plus en plus décevantes...

Et c'est un pompier, un coriace normalement... Moi à sa place, j'aurais récupéré une hache pour leur apprendre les bonnes maniéres.
c
13 mai 2012 04:28
désolé mais dans l'armee, les bizutages n'ont jamais été de très bon gout.
je crois qu'on trouve ça partout. avec peut etre une mention pour les russes qui perdent plus de jeunes victimes de bizutage que dans des opérations.
13 mai 2012 04:40
Euh... L'entrainement des Russes est spécial, il ne faut pas le confondre avec le bizutage...

Perdre des hommes à l'entrainement et perdre des vies en bizutage c'est trés différent.

L'entrainement est toujours dangereux. On se blesse tout le temps... Depuis des siécles même.
c
13 mai 2012 10:38
je parle de suicides, de bizutages qui tournent mal. il y a des associations de méres contre ça en russie tellement le probléme est prégnant.
c
13 mai 2012 10:54
tiens le mask, un article de amnesty:

L’armée russe : nouvelle école de torture ?

Séverine Micheroux

novembre 2002

En Russie, pour échapper au service militaire, tous les moyens sont bons : fuite, corruption de médecins ou de gradés, prise de personnes à charge, inscription aux études, reconnaissance d’un enfant… La défection est telle que des rafles sont organisées pour « recruter » des nouveaux conscrits. Certaines sources font également état d’enlèvements de jeunes dans les écoles, le métro, ou même au bureau de vote.

Selon l’association des Mères de soldats, l’armée russe recense 40.000 désertions par an. Deux à quatre mille appelés meurent chaque année lors de leur service, parce qu’ils ont été poussés au suicide, ou à la suite du « baptême » qui leur est réservé par les anciens [1]. Voir encadré « Kapos » russes

Dans l’armée russe, la torture est aujourd’hui systématisée : la diedovtchina, un bizutage terriblement brutal, y est institutionnalisé. Les jeunes appelés sont régulièrement tabassés, brûlés, violés ou plongés dans des fosses remplies d’eau pendant plusieurs jours. Ils sont en outre rackettés par leurs supérieurs et même parfois vendus à des gradés qui les destinent à la mendicité ou les affectent à la construction de leur villa. Par ailleurs, la faim, la soif et le refus d’accès aux soins sont autant de méthodes de torture psychologique [2]. Voir encadré Combats de Gladiateur

Ceux qui tentent de fuir sont accusés d’espionnage ou de trahison. Ils sont arrêtés et détenus sans décision d’un tribunal et sans accès à un avocat. Ils seront jugés par des cours militaires qui ne dépendent en rien du pouvoir civil et échappent à tout contrôle. Ils sont la plupart du temps renvoyés directement vers leurs garnisons où ils subissent alors les vengeances de leurs supérieurs, ou dirigés, pour les récalcitrants, vers des « bataillons disciplinaires ».

La torture est bien citée dans la Constitution de 1993 (art. 21) mais n’est pas définie dans le droit russe. Aucun article du code pénal ne prévoit de responsabilité pénale pour l’usage de la torture, qui n’est toujours pas considérée comme un crime. Selon les mères de soldats, aucune condamnation n’a jamais été prononcée pour de tels actes, qui sont renforcés par la situation en Tchétchénie, puisque l’impunité y règne en maître. Théoriquement, seuls les volontaires vont en Tchétchénie, mais il est difficile d’estimer le nombre de jeunes appelés qui y sont transférés.

Le service civil, inscrit dans la Constitution Russe de 1993 (art. 59), n’est reconnu par une loi d’application que depuis le 10 juillet 2002. Bien que ses modalités soient encore critiquées dans la société civile, cette loi représente une avancée remarquable puisque jusqu’alors, les jeunes objecteurs de conscience vivaient en permanence sous la menace d’un procès, voire d’un emprisonnement.

Les mères de soldats, qui luttent quotidiennement pour faire cesser ces exactions, ont recueilli des milliers de témoignages de torture. Elles mènent un combat très difficile : le lobby militaire est puissant et l’impunité règne dans une force qui compte environ deux millions d’hommes. Le débat actuel porte sur la professionnalisation des forces armées, processus qui serait inéluctable pour une future adhésion à l’OTAN. Il reste à espérer que ce processus sera accompagné d’une politique visant à faire respecter les droits humains en son sein. Rien n’est moins sûr car, selon le journaliste Vicken Cheterian, « l’armée n’a jamais manifesté avec autant de force sa présence au sein de la vie politique russe » [3].

À lire : Les Petits Soldats, le combat des mères russes, par Anna Lebedeva et Valentina Melnikova, Bayard, 176p, 2001.
[www.amnestyinternational.be]
A
13 mai 2012 11:02
Bizutage dans l’Armée russe, des femmes en quête de vérité.

Longtemps tabou, le bizutage dans l’armée russe a été révélé au grand public il y a quelques mois par « l’affaire Sytchev » du nom d’un jeune soldat de 19 ans.
La veille du jour de l’an, des officiers de son régiment l’ont ligoté et battu pendant des heures. Andrei a dû être hospitalisé d’urgence. Il a été amputé des deux jambes et de ses parties génitales. Le comité des mères de soldats local a donné l’alerte dans la presse, « l’affaire Sytchev » a éclaté.
Il y a un an, avec le visage d’Andrei Sytchev, la Russie avait brusquement pris conscience de la « diédovchina », le sinistre bizutage de l’armée russe qui fait près de 3000 victimes par an. La mère d’Andrei Sytchev nous a raconté comment elle a du se battre pour faire éclater le vérité.

La presse, en général muselée, a dénoncé : « boucherie dans les casernes », « silence des agneaux », « l’inhumaine armée russe a encore dévoré un homme », « production de sadiques en série »... Mais depuis quelques mois le silence est retombé. Et tous ceux qui veulent dénoncer cette situation sont menacés.
Il y a quelques semaines nous avions rencontré la journaliste russe Anna Politkovskaïa qui a continuellement dénoncé cette violence de l’armée russe, qui s’exprime autant contre l’ennemi tchétchène que contre ses propres soldats qu’elle envoie combattre de force dans ce pays. Selon elle cette violence dans l’armée est aussi un des résultats de près de douze ans de guerre en Tchétchénie. Souvent, ceux qui font la « diédovchina » sont des officiers revenus du front. Là-bas la torture et le meurtre sont une pratique quotidienne. Cette violence a gagné les casernes russes, il n’y a jamais eu autant de morts dans l’armée en temps de paix, et elle est aussi en train de s’infiltrer dans toute la société russe.
Assassinée le samedi 7 octobre 2006 Anna Politkovskaïa était la porte-parole de tous ceux qui résistent à l’ordre établi par le gouvernement de Vladimir Poutine. Comme Anna Politkovskaïa, des russes, souvent des femmes, bravent les menaces de mort et les intimidations et continuent le combat contre l’injustice.

A Saint-Pétersbourg nous avons suivi l’action d’Ella Poliakova, en lutte contre la diédovchina depuis des années. Elle tente d’éveiller la société civile. Les jeunes tentent d’éviter à tout prix le service militaire.
Deux fois par semaine Ella fait des séminaires pour apprendre, aux parents et aux jeunes en âge d’être enrôlés, « comment résister ». Un éveil au droit de citoyen dans un pays où la société civile est encore à l’état embryonnaire. La situation est particulièrement grave. Depuis quelques semaines la police de Saint-Pétersbourg fait des rafles dans les facultés, dans la rue, dans le métro et embarque tout les jeunes en âge de servir.

[www.arte.tv]
"Pas de guerre entre les races, pas de paix entre les classes" !
13 mai 2012 15:07
J'avais jamais entendu parler de ce "baptême" russe...

Les rites de passages, je connais, mais ca, c'est un délire... On dirait plus l'histoire de psychopathes en uniformes dans l'armée Russes qui sont arrivés à des rangs d'officiers et qui s'amusent avec leurs recrues.

Sinon, l'armée Russe avait la réputation d'avoir des unités d'élites qui avaient des taux de mortalité à l'entrainement qui étaient monstrueuses. Et j'ai tendance à défendre ces méthodes, car ces unités sont censées être des unités de tueurs. Leur présenter la mort en personne est donc une bonne idée.

C'est inhumain, immoral et bla bla bla... Mais c'est l'armée russe. C'est dans la définition.

Sinon, ce dont vous me parlez là, c'est super hardcore comme "bizutage"... J'en vois pas l'intérêt. Trop de cinglés dans ce monde.
c
13 mai 2012 21:18
dans un groupe d'hommes le psychopathe a plus de chance de devenir le meneur que l'intello.
oui, en russie, ils partent du principe que l'entrainement entraine de la casse, que l'on doit tolérer la brutalité, l'alcoolisme du week end etc... que c'est normal.
mais c'est une vision préhistorique. les commandos marine, la légion etc...... ne fonctionnent absolument pas(plus) comme ça et sont pourtant au top.
X
13 mai 2012 22:18
Les GI's/Marines font pire, ils violent leurs consœurs sur les terrains de guerre.

Citation
a écrit:
As the war in Afghanistan passes its ten-year mark, sexual assault runs rampant within the ranks, with an estimated one in three female service members raped during their service, according to at least one peer-reviewed study. This is in a military where women comprise more 11 per cent of active duty service members deployed to Iraq or Afghanistan and more than 15 per cent of the total military, with at least 200,000 active duty women currently serving. This epidemic also affects men: 60 per cent of women serving in the National Guard and Reserve, along with 27 per cent of men, are estimated to have experienced Military Sexual Trauma (MST). Perpetrators rely on a chain of command that appears to offer virtual impunity for sexual assaults committed against lower-ranking service members.

Une soldate sur trois est violée durant son service militaire. 60% des femmes de la Garde Nationale et 27% des hommes subissent des traumatismes liés aux agressions sexuelles.

Et l'article parle de l'impunité couverte par le commandement.

Rien d'étonnant, quand on voir comment ces animaux se sont comportés à Abu-Ghraib.

[www.aljazeera.com]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 13/05/12 22:18 par Rastapopûlos II.
g
15 mai 2012 12:55
Je préfère même pas imaginer ce qui arrive à la population que ces braves soldats empreints d'humanisme, de justice et de démocratisme sont venus mater euhhh "aider".
15 mai 2012 14:32
coldman, tu es mignon avec ta naiveté...

Pour gagner une guerre, il te faut des tueurs. Point à la ligne.

L'objet de la guerre c'est défoncer ceux que tu n'aime pas.

Et je rejoint les barbus quand ils disent que c'est dieu qui donne la victoire car il y a un facteur chance qui intervient.

Et les Commandos de Marine dont tu parles ont une valeur individuelle qui est variable. Mais dans leur valeur systémique, si j'ose dire, dans l'ensemble quoi... ils sont limités par leur discipline et par leur professionalisme.

Les méthodes scientifiques pour faire la guerre c'est trés bien, mais dans l'absolu, c'est modiocre. C'est comme la démocratie.

Pour te donner un exemple, certaines armées ont fait des études pour voir que le fantassin moyen tire sur des cibles entre 50 et 300m essentiellement. Alors, ils font des fusils trés efficaces pour tuer à ces distances là.

Ce qui rend l'ensemble des armées efficaces dans l'ensemble. Mais dans le tas, certains hommes capables de tirer à 600m se retrouvent avec une pétoire conçue pour le trouffion incapable de recharger son arme sans péter un chargeur sur 2...

Les Soviétiques ont adopté des doctrines de ce genre... Ils veulent laisser la chair rencontrer l'acier. Moi je vois les avantages de cette logique.

Et entre nous, tes commandos de Marine, c'est des losers super entraînés et super soutenus... Je les respecterais le jour où ils brilleront contre une armée qui a les mêmes moyens que la leur. En se prenant des pertes lourdes sans broncher...

Car la différence avec les armées Russes, c'est ca...

Tu dois apprendre à faire la différence entre le guerrier et le soldat professionnel. Les risques du métier et "c'est ma vie."... C'est deux philosophies très différentes.
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