"La découverte a été reprise par le journal Le Parisien qui en a réalisé une courte vidéo publiée sur leur compte Dailymotion. C’est clairement un temple maçonnique puisqu’on reconnaît les 2 colonnes de Jakin et Boaz ainsi qu’un nombre incalculable de symboles.
Les deux personnes ayant réalisé cette découverte ont immédiatement appelé la gendarmerie afin de signaler les ossements humains. Faut-il rappeler à nos lecteurs qu’il est totalement interdit de posséder des ossements humains en France, il est même interdit d’effectuer des fouilles dans ce sens ! Il faut rappeler à nos lecteurs que lors de l’initiation maçonnique, l’inconscient entre dans une chambre de réflexion dans laquelle se trouve un crâne humain ! Encore une fois, il serait intéressant de vérifier si ces crânes sont de vrais ossements humains, ce qui serait totalement illégal.
Un des participants était chirurgien, il faut donc clairement en conclure que même les personnes les plus instruites, les plus lettrées et les plus diplômées peuvent sombrer dans l’occultisme le plus barbare et dans le satanisme. Certains idiots pensent le contraire et pourtant la réalité prouve l’inverse.
Selon Adrien, le château appartenait à un chirurgien réanimateur amateur d’alchimie et d’occultisme décédé il y a quelques mois. Dans la version de la vidéo plus longue il montre des morceaux de peau qu’il estime être humaine. Il découvre l’existence d’au moins 3 mandibules différentes !
Ensuite, la vidéo nous montre une immense crypte avec une hauteur sous plafond de 10 m dans laquelle on retrouve un autel sacrificiel avec les 2 fameuses colonnes caractéristiques du culte maçonnique, des chandelles…
Il faut rappeler qu’il ne s’agit pas ici d’une secte sataniste mais bien de franc-maçonnerie régulière appartenant aux rites écossais ancien et accepté comme démontré par les documents trouvés sur place"
"La piste criminelle écartée Interpellé par la viralité des vidéos publiées, le parquet de Tarbes se charge de faire toute la lumière sur cette affaire. Un avis médical a notamment été demandé par les services judiciaires.
Dans un communiqué publié ce jour et repris par nos confrères de La Dépêche, il indique que les “ossements découverts pourraient correspondre à un squelette anatomique qui servait d’objet d’étude en médecine.” Toute piste criminelle serait donc écartée, “sous réserve des vérifications restant à réaliser”, précise la justice. Une hypothèse d'autant plus crédible que l'ancien propriétaire des lieux, aujourd'hui décédé était médecin."