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Emmerder plus pour gagner plus
P
5 septembre 2011 21:01
Vous le sentiez, des chercheurs américains l'ont confirmé : pour être mieux payé, rien ne sert d'être courtois. Dans le domaine, c'est l'inverse qui prime.

Dans le monde du travail, la gentillesse ne paie pas. Tel est le résultat encourageant d'une étude américaine publiée dans le "Journal of Personality and Social Psychology" (1). Pour paraître compétent et être bien payé, il faut être insupportable.

Seules les femmes semblent échapper à la règle : aimables ou pas, elles sont moins payées, point.

[tempsreel.nouvelobs.com]


grinning smiley
De rien pour le conseil!
a
5 septembre 2011 21:06
salam
oui je l'ai lu ça la semaine dernière
ils sont pas courtois et plus hargneux , ils insistent donc arrivent mieux à leurs fins ,
S
5 septembre 2011 21:12
Je sais ce que je vais faire demain evil
P
5 septembre 2011 21:15
Citation
Sofia Simpson a écrit:
Je sais ce que je vais faire demain evil

Toi t'as pas lu la dernière phrase grinning smiley
S
5 septembre 2011 21:21
Citation
PtiSem a écrit:
Citation
Sofia Simpson a écrit:
Je sais ce que je vais faire demain evil

Toi t'as pas lu la dernière phrase grinning smiley

Je ne vais pas appliquer cette méthode pour gagner plus, mais pour avoir l'air de bosser énormément.

C'est toujours ceux qui râlent qu'on prends pour de gros bosseurs.
i
5 septembre 2011 21:26
ze suis d'accord avec vous grinning smiley
D
5 septembre 2011 22:03
Il y a un proverbe que me dit svt ma mère " dire rassek rol ikhafok nass"
A bon entendeur !!!
Je t'aime mon amour !!!
c
5 septembre 2011 23:06
et surtout ne pas etre honnête ou même solidaire. ça dessert plus qu'autre chose. grinning smiley
S
5 septembre 2011 23:28
Que de bonnes résolutions pour cette rentrée grinning smiley
f
6 septembre 2011 02:30
Et dans la vie de couple,ça s'applique aussi?
A
6 septembre 2011 21:35
Salam

Je suis d'accord avec cette étude grinning smiley
Sourate 82
E
7 septembre 2011 10:53
Pour mieux reussir dans sa vie , il faut adapter des methodes agressives et positives et dans n'importes quels domaines et proffessions . L'honnetete , gentillesse et sagesse ne paient plus . Comme sur cet article , meme le mendiant change son attitude , plus sophistique , malin , menteur et inteligent , ne rate aucun moyen pour convaincre . C'est aussi pareil pour les marchands de fenetres, portes ext... qui n'arretent pas d'emmerder les gens meme chez eux et n'importe qu'elles heures nuits ou jours .

Actualité marocaine WebJournaux.maMendicité, mode d'emploi : Les mille et une astuces pour susciter la pitié et soutirer une pièce
Publié le: 06/09/11
Parking de la gare Rabat-Agdal. Discrets, ils se profilent comme des ombres. Ils, ce sont les Subsahariens ; de jeunes hommes dans la force de l’âge, même pas la trentaine. Ils abordent les gens sans harcèlement aucun. La gêne se lit sur leur visage. La plupart sont francophones. Leur arabe est très rudimentaire et approximatif et se limite juste aux mots nécessaires pour quémander.
L’un d’eux, un jeune homme, la vingtaine, plein de pudeur, avoue être arrivé du Ghana pour entreprendre des études qui se sont soldées malheureusement par un échec. Le retour au pays n’est pas envisageable. Il préfère rester au Maroc en attendant que d’autres alternatives lui soient ouvertes.
Plus loin à l’intérieur de la gare, un employé raconte avoir été témoin d’une mendicité assez originale. « Loin des clichés, le mendiant ne répond pas toujours à l’image qu’on se fait de lui, c'est-à-dire celle d’une personne mal habillée inspirant le rejet », assure-t-il. Une jeune femme a attiré son attention par le manège qu’elle a entrepris. Plutôt bien de sa personne, elle accoste les voyageurs et leur demande, en essayant de susciter leur pitié, quelques sous pour soi-disant compléter le prix du billet. «Je suis arrivée ce matin à Rabat pour régler un problème administratif et j’ai été agressée, du coup je ne peux rentrer chez moi », balbutie-t-elle. Ceux qui avalent son histoire n’hésitent pas à mettre la main à la poche. Un voyageur est allé même jusqu’à lui payer le billet en question. Mais non décontenancée pour autant, elle attend dans un coin que son bienfaiteur disparaisse pour proposer d’échanger le fameux billet auprès d’un autre voyageur, préférant des pièces sonnantes et trébuchantes.
Il faut avouer que ce phénomène fait partie désormais de notre quotidien. Partout, il s’offre à nos yeux nous rappelant à tout bout de champ l’une des tares, oh combien nombreuses, de notre société. Le choix est difficile à faire car tous les cas sont parlants.
Arrêt du bus : une jeune femme monte un bébé dans les bras, le visage défait. Elle semble bien rodée car un flot de paroles coulent de ses lèvres avec une facilité déconcertante. Des larmes (sincères ou de crocodile ?) lui entrecoupent la voix. La scène est vraiment pathétique d’autant plus que son histoire de femme battue et abandonnée livrée à elle-même dans une précarité totale est très crédible. «Je prends beaucoup sur ma dignité et ma pudeur pour me présenter devant vous. Je ne souhaite à personne de vivre le même calvaire que le mien. J’en appelle à votre grandeur d’âme; toute bonne action est récompensée par Dieu a fortiori dans ces jours sacrés du Ramadan…… » Son discours semble avoir produit son effet puisque du fond du bus des voix l’interpellent. Elle avance dans le couloir et les pièces tombent de partout. La corde sensible de l’auditoire a été incontestablement touchée. L’une des passagères confie à sa voisine :«Ce genre de cas sociaux me fend le cœur, je me sens en paix avec moi-même chaque fois que je peux leur venir en aide». Ce n’est visiblement pas l’avis de tout le monde puisqu’une passagère apparemment scandalisée par cette mendicité qui envahit tous les espaces intervient dans la conversation : «En tout cas, moi je ne donnerai plus jamais le moindre petit sou. La dernière fois, j’ai été tout bonnement harcelée par un mendiant et pour me débarrasser de lui, je lui ai filé une pièce. Et figurez-vous qu’il s’est empressé de me la jeter à la figure en criant haut et fort que cela ne suffisait même pas pour acheter un pain, mais quel culot ! »
Quant à la fameuse mendiante, elle est descendue avec un bon pécule, plutôt fière de son jeu pour remonter dans un autre bus.
Par un pur hasard, elle a été vue dans un autre coin de la ville, toujours à bord d’un bus, puisque c’est son terrain de prédilection, sans enfant et narrant une histoire encore plus pathétique! Sans commentaire.
La fin justifie les moyens. Mais s’il y a un contexte où cela se vérifie, c’est bien à travers la mendicité. L’appât du gain facile est très tentant. L’ingéniosité dépasse l’entendement. Comme cet adolescent, soi-disant muet qui, pour mendier, distribue aux passagers de l’autocar des feuillets où il raconte ses déboires et l’acharnement du sort contre lui. Là aussi le subterfuge a réussi puisqu’en reprenant ses feuillets la petite boîte dédiée aux pièces a été bien remplie. Seulement à peine descendu du bus, quelqu’un l’a bousculé et lui a arraché la boîte. Sous le coup de la surprise et de la colère, il s’est mis à courir derrière son agresseur et à demander de l’aide oubliant du coup qu’il était muet.
Là où ces professionnels de la manche savent attendrir les âmes charitables, c’est encore à travers une mendicité déguisée. C’est le cas des vendeurs de kleenex ou simplement de ceux qui s’empressent d’essuyer les pare-brise (sans qu’on leur ait rien demandé) au niveau des feux rouges sur les grandes artères. D’aucuns font preuve d’une grande générosité en leur filant un pécule sans pour autant prendre la boîte de mouchoirs. Mais ils tiennent à leur rendre service.
Autre lieu, autre décor. Au mois de Ramadan, la piété augmente en intensité et toutes les occasions sont bonnes pour accomplir des actions charitables afin d’implorer le pardon de Dieu. C’est l’afflux des croyants vers les mosquées et du coup celui des mendiants. Fidèles au rendez-vous donc, ils sont plusieurs hommes et femmes ce soir-là du côté de la mosquée Badr. Apparemment, même ici les territoires sont bien marqués et on n’accepte pas d’intrus. En effet, une mendiante, soit par ignorance soit par défi, a voulu transgresser les règles établies en cherchant à s’introduire parmi eux, mais c’est sans compter avec la vigilance des «titulaires» qui se sont empressés de l’évincer. On ne badine pas avec sa source de revenus.
Certains ont fait de la mendicité un choix. C’est ce que confirme le cas de Fatna rencontrée au centre-ville où elle a pris ses habitudes. «Il y a quelques années, je faisais le ménage chez des familles. Mais d’humiliation en humiliation j’en suis arrivée à ne plus supporter mon sort. Au début, j’ai eu recours à la mendicité comme palliatif. Mais avec le temps, je me suis rendu compte que je pouvais gagner ma vie sans avoir à trimer pour les autres». Néanmoins, elle est restée discrète sur le montant de ses gains.
Progrès technologiques obligent, une autre mendicité fait son chemin : celle introduite par Internet. Nombreux sont les messages qui se surpassent les uns les autres en termes d’ingéniosité voire d’arnaque afin de soutirer l’argent aux « victimes ». Là aussi difficile de faire la différence entre les vrais nécessiteux et les faux.

Source: Libération
A
7 septembre 2011 10:57
Salam

La gentilesse ne paie plus de nos jours donc autant sortir les griffes !
Sourate 82
U
7 septembre 2011 12:39
En Suisse, le coup du sourd-muet est très connu: Un soi-disant ptdr sourd-muet entre dans un établissement public et y distribue sur chaque table un papier qui dit "je suis sourd-muet etc".
Évidement que rien ne correspond à la réalité socioculturelle suisse.

Depuis quelques années, nous subissons une invasion de "Roms", les gitans roumains.
On a la mendicité dans la rue, à la sortie des magasins, sur les parkings etc
Le coup de l'enfant dans les bras est aussi un grand classique.

Toutes ces personnes abusent du sentiment de compassion.


D'autres organisations utilisent aussi le sentiment de compassion: Les ONG.
Il ne se passe pas une semaine sans qu'arrive une demande d'aide dans la boite aux lettres.
Pendant la période de l'Avent (avant Noël), on a même droit à des spots télévisés et 2-3 enveloppes par semaine.
(et toutes sont des organisations sérieuses qui exercent réellement une activité d'utilité publique)

C'est vite vu: Lorsqu'on veut aider, on doit faire un choix.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
k
7 septembre 2011 14:46
Citation
PtiSem a écrit:
Vous le sentiez, des chercheurs américains l'ont confirmé : pour être mieux payé, rien ne sert d'être courtois. Dans le domaine, c'est l'inverse qui prime.

Dans le monde du travail, la gentillesse ne paie pas. Tel est le résultat encourageant d'une étude américaine publiée dans le "Journal of Personality and Social Psychology" (1). Pour paraître compétent et être bien payé, il faut être insupportable.

Seules les femmes semblent échapper à la règle : aimables ou pas, elles sont moins payées, point.

[tempsreel.nouvelobs.com]


grinning smiley
De rien pour le conseil!

c'est partout pareil le respect ne s'obtient qu'avec les coups.
 
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