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LeMask a écrit:
Pour les mecs, c'est simple...
Nous, on ne peut pas porter ce truc sur nous, car nous n'avons pas d'ongles ou de vernis à ongle...
et notre drogue de la violeuse à nous, elle est acceptée socialement car on est dans une société dominée par les femmes...
Cette drogue porte beaucoup de noms... La biére... Le whisky, le vin... Bref... Tout un tas de cochonneries qui détruisent l'estime pour soi de beaucoup d'hommes... Qui se réveillent parfois, avec un laideron dans leur lit...
Argh, le traumatisme... J'ose pas imaginer.
C'est pour ca que je ne consomme pas d'alcool. Trop dangereux... Je ne pourrais pas survivre à une telle expérience.
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Unesuggestion a écrit:
La drogue du violeur n'a pas de gout et peut être mise dans toute boisson, même sans alcool.
Ben ... et dans le port d'arrivée ?Citation
Irfane7 a écrit:
ça doit être rare quand même qu'on te donne un verre avec de la drogue, dans le but de te violer, à un pot de départ d'un collègue...
[www.lenouvelliste.ch]Citation
a écrit:
Zoug: le président de l'UDC, Markus Hürlimann, accusé d'avoir violé une députée verte
Scandale
Jolanda Spiess-Hegglin ne se souvient plus de la fin de la soirée. Des tests sont en cours pour déterminer si elle a absorbé de la drogue du violeur.
Le président de l'UDC zougoise Markus Hürlimann est accusé d'avoir abusé sexuellement de Jolanda Spiess-Hegglin, députée verte au parlement cantonal, après lui avoir fait ingurgiter de la drogue du violeur. Il a été arrêté mardi, puis relâché mercredi.
Le président de l'UDC zougoise Markus Hürlimann est soupçonné d'avoir eu un rapport sexuel non consenti avec une députée verte au parlement zougois. Le Ministère public a ouvert une enquête pour atteinte à l'intégrité sexuelle.
Arrêté mardi par la police, Markus Hürlimann, âgé de 40 ans, a été relâché mercredi à la mi-journée, a indiqué à l'ats une porte-parole du Ministère public zougois. Elle confirmait une information révélée par plusieurs médias alémaniques.
Enquêteurs alertés par l'hôpital
Les faits se sont produits dans la nuit de samedi à dimanche, suite à la fête honorant l'élection du nouveau président du gouvernement zougois Heinz Tännler (UDC). Dimanche matin, la députée n'avait plus aucun souvenir de la fin de la soirée.
La politicienne âgée de 34 ans s'est alors rendue à l'hôpital pour faire des analyses d'urine et de sang. Suite aux analyses, l'hôpital a alerté le Ministère public. L'autorité a ouvert une enquête, sans plainte de la victime présumée, car les faits soupçonnés constituent un crime poursuivi d'office.
Soirée très arrosée
La fête célébrant l'élection du président du gouvernement a été très arrosée. Mais l'enquête doit encore déterminer le déroulement exact de la soirée et notamment si de la drogue dite "du violeur" a été utilisée. Les interrogatoires sont en cours.
Markus Hürlimann réfute pour sa part catégoriquement ces accusations. Selon son avocat, l'enquête effectuée jusqu'à présent ne prouve en aucune façon qu'une telle drogue ait été utilisée. Au contraire, à ce stade, tous les témoins interrogés affirment qu'il s'agissait de rapports consentis, a assuré l'avocat dans un communiqué.
Retrait provisoire
En raison de l'enquête en cours, Markus Hürlimann a demandé à la direction de son parti de pouvoir remettre ses fonctions de président du parti, a annoncé l'UDC zougoise dans un communiqué. Il est remplacé par le vice-président et conseiller national Thomas Aeschi jusqu'à la prochaine assemblée générale.
[www.lenouvelliste.ch]Citation
a écrit:
Scandale sexuel entre élus à Zoug: pas de drogue du violeur dans le sang de la victime
Enquête
Jolanda Spiess-Hegglin ne se souvient plus de la fin de la soirée. Des tests sont en cours pour déterminer si elle a absorbé de la drogue du violeur.
Les analyses de sang et d'urine de l'élue verte qui aurait été abusée sexuellement par le président de l'UDC zougoise n'ont pas révélé de traces de drogue du violeur. La victime ne se souvient de rien.
Aucune trace de la drogue "du violeur" (GHB ) n'a été trouvée dans le sang de la députée au parlement zougois Jolanda Spiess-Hegglin, a indiqué lundi le Ministère public du canton. Le GHB n'est plus détectable dans le sang après 6 à 8 heures et dans l'urine après 10 à 12 heures.
"Je ne suis pas surprise", a déclaré l'élue dans un communiqué après la publication du résultat des examens de sang et d'urine. Les tests ont été réalisés le dimanche vers 18 h 50, selon le Ministère public, soit près de 20 heures après les faits présumés.
Mais la députée est convaincue qu'une substance doit avoir été utilisée. Elle affirme se souvenir d'avoir été à l'hôpital le dimanche matin à 11 heures déjà. Elle dit avoir dû passer d'un service à un autre avant d'être renvoyée à la maison pour y chercher les habits qu'elle portait le soir précédent.
Pas de certitude absolue
L'absence de trace de GHB dans le sang de la députée ne signifie pas avec une absolue certitude qu'une telle substance n'a pas été utilisée, a précisé à l'ats Marcel Schlatter, porte-parole de la police cantonale. Environ 20 heures se sont écoulées entre le présumé rapport sexuel non consenti et l'analyse de sang et d'urine.
"Nous ne savons toujours pas ce qui s'est passé cette nuit-là", a encore indiqué Marcel Schlatter. L'enquête se poursuit.
Fête très arrosée
La députée verte Jolanda Spiess-Hegglin accuse Markus Hürlimann, 40 ans, député au parlement cantonal et président de la section cantonale de l'UDC, d'avoir abusé d'elle. Les faits se seraient produits après la fête très arrosée célébrant l'élection du président du gouvernement Heinz Tännler (UDC) dans la nuit du 20 au 21 décembre.
Le 21 décembre, la politicienne n'avait plus aucun souvenir de la fin de la soirée. Elle s'est rendue à l'hôpital pour faire des analyses de sang et d'urine. L'hôpital a ensuite alerté le Ministère public. Celui-ci a ouvert une enquête, sans plainte de la victime présumée, car les faits soupçonnés sont poursuivis d'office.
Rapports consentis
Markus Hürlimann réfute catégoriquement les accusations portées contre lui. Selon un communiqué de son avocat, tous les témoins interrogés affirment qu'il s'agissait de rapports consentis.