Certaines administrations marocaines ne prennent plus en considération les difficultés qu'ils causent aux citoyens en leur demandant de fournir certaines pièces pour l'établissement de la carte nationale, du passeport ou autres pièces.
On leur refuse un extrait d'acte de naissance tiré du carnet de l'état civil exigeant un extrait tiré du registre de la déclaration de naissance. Je trouve que cette méthode est illogique car je conçois mal que le préposé de cette administration croit au registre confectionné par un petit fonctionnaire alors que le carnet d'état civil est établi à la suite d'un Dahir. La difficulté c'est quant on envoie quelqu'un dans les montagnes de Tafraout ou le haut Atlas pour chercher cette pièce, il lui faut non seulement une dizaine de jour alors qu'il a un travail provisoire et une important somme d'argent qui fait défaut dans la majorité des cas.
D'autre part on vous demande, dans les cas des enfants un extrait d'acte de naissance accompagné d'un certificat de vie individuel plus un certificat de vie collectif.On vous demande ces pièces chaque fois que l'on refait un passeport ou une carte d'identité alors qu'il fallait se contenter uniquement de l'ancienne carte qui a été confectionnée par ces pièces mêmes accompagnée d'un certificat de résidence et une attestation d'emploi. En réalité ces pièces ne sont exigibles que lors de la première confection d'une pièce administrative.
En ce qui concerne la mention de la profession sur une carte d'identité ou passeport si vous êtes architecte ou docteur et vous ne travaillez pas on vous mentionne "sans «profession ne faisant pas la différence entre la profession et la fonction. On a beau réclamé aux arrondissements urbains et la police mais ils n'ont voulus rien savoir. On a même proposé une solution qui arrange tout le monde c'est de mentionner la profession suivie de "sans emploi" exemple : architecte sans emploi mais ils ont toujours refusé.Actuellement il y a beaucoup de jeunes qui se font attrapés par la police au cours des Raffles qui n’arrivent à justifier de leur identité par une pièce qu’ils n’auront jamais sans présenter ce fameux extrait provenant d’un registre le plus souvent pourri de fautes.
Une autre lacune doit être mise en exergue : le cas d’une erreur sur le registre de la déclaration des naissance, au lieu de l’envoyer à l’officier de l’état civil à l’échelon provincial ou préfectoral, le seul habilité à le rectifier, on ampute cela sur le dos de celui qui fait l’objet de cette erreur en l’obligeant à déposer plainte alors qu’il fallait d’une simple rectification.
Si nous trouvons une solution à ce problème nous allons rendre un grand service à des milliers de pauvres qui souffrent de ce problème qui est vraiment alarmant.
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