Jeune loup. Appellation domestiquée dans la toile politico-financiaro-médiatique fait froid dans le dos, symptomatique des logiques de prédation érigées en réussite. L'horreur la plus absolue.
La financiarisation a montré ses limites ces dernières années. Crises bancaires, immobilières, de la dette. Le Brexit, et l’élection de Trump démontrent que les premiers vendeurs de l’idéologie du libre-échange et de la financiarisation l’abandonnent pour revenir aux vieilles recettes, état fort, protectionnisme, économie réelle et industrielle…. Comme en politique dans les états Européens moins les partis nationaux ont de pouvoirs, plus ils s’ouvrent aux femmes, aux minorités ethniques, etc…
Pour la finance, c'est pareil, maintenant que les réels puissants s'en détournent, en ne laissant derrière eux que dettes désillusions et réglementations plus fortes, c’est à ce moment, que le domaine s’ouvre aux enfants des pays en développement pour qu'ils viennent apporter leur motivation et la croyance naïve pour défendre un moyen qui ne peut plus l’être de devenir riche....