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imtiyaz a écrit:
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Vous racontez tous ici les petites disettes d'arabes au coin du souk hebdomadaire.
Le Maroc a des accords judiciaires avec la France et d'autres pays européens.
S'il y a un Un mandat d'amener international par la justice française. La police marocaine les trouveront comme on dit en arabe "fkarche mmou" dans le ventre de sa mère.
J'ai connu quelqu'un qui s'est barré au Maroc pour échapper de payer le crédit de sa voiture. très longtemps après. Sa famille là bas, a fini par payer au dernier centime compris les frais engagés.
C'est surtout qu'il existe un accord où le Maroc ne permet pas l'extradition de ses ressortissants
perso ils ne nous dérangent pas ces gens et à l'autre qui dit ça donne une mauvaise image de nous , je dis pas du tout !
en vérité , c'est le dernier de notre souci , et qu'il profite
bien des juifs marocains ont pu échapper à la justice internationale ainsi
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PierreBellemare a écrit:
Entre les murs d'une cellule des Baumettes à Marseille (Bouches-du-Rhône) et la piscine d'une résidence de grand standing en bord de mer, il n'y a évidemment pas photo. Condamné par défaut vendredi à 10 ans de prison par le tribunal de Grasse (Alpes-Maritimes) pour le braquage, en 2013, d'une grande bijouterie de luxe sur la Croisette de Cannes, Nabil Ibelati, considéré comme le «cerveau» de cette opération spectaculaire, semble mener une vie de nabab au Maroc. Balade à dos de dromadaire dans le désert, piscine avec vue sur la mer, rigolades entre copains, repas arrosés... le braqueur roule sa caisse sans être inquiété.
Bien au contraire. En cavale, il montre régulièrement ses photos en situation, profitant bien de ses longues vacances, sur son compte Facebook comme le révèle le quotidien Nice-Matin. Evadé après son casse, il coule donc des jours heureux au royaume chérifien, entre le désert et la mer. Le malfrat, qui a évité les geôles françaises, se targue même d'adresser ses cartes postales aux magistrats de Grasse qui l'ont condamné. Evoquant la douceur de vie au Maroc, il affirme qu'il «se régale à fond!», dans les conversations téléphoniques interceptées par la police judiciaire.
Le jeune homme a de quoi mener grand train. La revente des montres volées lui aurait rapporté 350.000 euros (soit 3,8 millions de dirhams). De quoi acheter un garage, un car-wash... et même une plage, rapporte le journal niçois Il s'est volatilisé peu après le casse qui avait eu lieu le 31 juillet 2013. Ce jour-là vers 11 heures, Nabil et son complice, cagoulés et munis d'armes de poing, ont mis la main sur une centaine de montres et bijoux de luxe. Le butin avait été estimé à 1,77 millions d'euros (environ 20 millions de dirhams marocains)...
En attendant que le Maroc réagisse aux demandes des autorités françaises, le braqueur de Cannes fait des allers-retours entre la zone balnéaire de Sousse, en Tunisie, et le sud marocain où il poursuit sa vie de nabab.
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