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Nail2009 a écrit:
SI quelqu'un aime les effets spéciaux et les histoires un peu space, selon Prophétie de saint Malachie le prochain pape sera le dernier .. bon c'est à prendre avec des pincettes :
110. De labore solis (de l'éclipse solaire, "ou" du labeur du soleil) Jean-Paul II (1978-2005). Certains y ont vu, parmi d'autres interprétations, une corrélation avec une éclipse solaire le jour de sa naissance et le jour de son enterrement. S'il y eut bien une éclipse partielle de soleil le 18 mai 1920, comme cela se produit de deux à cinq fois par an, elle n'était visible qu'en Australie et sur une partie de l'Antarctique et donc pas en Pologne[5]. Autre signification : La durée du pontificat de Jean-Paul II est de 28 ans, c'est également la durée du cycle solaire calendaire utilisé dans le comput ecclésiastique. Certain y voient aussi le fait que Jean-Paul II est le pape qui a le plus voyagé. Son long et éreintant pontificat a participé à l'épuiser par un labeur soutenu.
111. (De) gloria olivae ((de) la gloire de l'olivier/de l'olive[6]). Benoît XVI (2005-2013). Il a été élu peu de temps après le dimanche des rameaux.
112. Petrus Romanus (Pierre le Romain). Cette dernière prophétie apparaît pour la 1re fois dans l'édition princeps d'Arnold de Wyon du Lignum Vitae de 1595. Dans cette édition, elle est rédigée ainsi :
In psecutione. extrema S.R.E. sedebit. / Petrus Romanus, qui pascet oues in multis tribulationibus : / quibus transactis ciuitas septicollis diruetur,/ & Iudex tremendus iudicabit populum suum. Finis. Traduction : « Dans la dernière persécution de la sainte Eglise romaine siégera Pierre le Romain qui fera paître ses brebis à travers de nombreuses tribulations. Celles-ci terminées, la cité aux sept collines sera détruite, et le Juge redoutable jugera son peuple. »
source : wiki
PS : Pas la peine de chercher des montagnes pour se réfugier , ça sert à rien
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a écrit:
Des spéculations, que le Vatican n'a pas confirmées, sont apparues jeudi 21 février dans la presse italienne sur un "lobby gay" qui aurait exercé du chantage sur certains prélats du petit Etat, dans le contexte du scandale de fuites "VatiLeaks" de l'an dernier.
Selon un article publié jeudi en "une" du quotidien italien La Repubblica, la décision de Benoît XVI de renoncer à sa charge pourrait avoir été renforcée par sa vive contrariété après avoir pris connaissance des résultats de l'enquête ultra-secrète menée au sein de la Curie par une commission de trois cardinaux à la retraite. Ceux-ci avaient été nommés l'an dernier par Benoît XVI après l'éclatement de fuites "VatiLeaks".
Le porte-parole, le père Federico Lombardi, a réagi en jugeant fantaisistes ou faux plusieurs points de l'article. Il a annoncé qu'il n'y aurait ni "démentis, ni commentaires, ni confirmations" sur les "affirmations et opinions" diffusées par la presse en cette période, et que les trois cardinaux n'accorderaient pas d'interviews. Le père Lombardi avait indiqué auparavant que la décision historique du pape de renoncer à sa charge n'était due à aucune "dépression", ni à des motifs psychologiques mais à l'affaiblissement de ses forces.
CHANTAGE DE LAÏCS SUR DES PRÉLATS
Dans un article aux accents volontiers sensationnalistes, intitulé "Sexe et carrière, les chantages au Vatican derrière la renonciation de Benoît XVI", La Repubblica établit un lien direct entre le rapport des cardinaux Juliàn Herranz, Jozef Tomko et Salvatore De Giorgi et la décision du pape de renoncer.
Selon le journal, le cardinal espagnol Herranz aurait évoqué le 9 octobre devant lui le dossier "le plus scabreux", à savoir "un réseau transversal uni par l'orientation sexuelle" et, "pour la première fois, le mot homosexualité était prononcé" dans l'appartement pontifical.
D'après La Repubblica, le rapport indiquerait que certains prélats auraient subi "l'influence extérieure" (autrement dit le chantage) de laïcs auxquels ils seraient liés par des liens de "nature mondaine". Deux jours plus tard, le pape, dans un discours improvisé au ton pessimiste, évoquait sous forme de métaphore "les mauvais poissons" qui sont pêchés dans le filet de l'Eglise, le soir même de l'ouverture de l'Année de la foi.
Le rapport final aurait été remis au pape le 17 décembre par les trois hauts prélats : soit deux tomes de 300 pages, contenant noms et détails de l'affaire "VatiLeaks". A l'approche de l'entrée en conclave, les articles à sensation risquent de se multiplier dans la presse italienne, entre rumeurs et intérêts personnels cherchant à peser sur l'élection, selon les experts des questions vaticanes.