Bonsoir vous tous et toutes qui êtes intéressé(e)s par de nouvelles découvertes cinématographiques. Un second post ( dans la même nuit "wouawww" ) pour vous faire profiter de ce trés joli film que je viens de voir ce soir.
Adel est employé chez un fleuriste sur l’avenue principale de Tunis. Bon travailleur, il pèche cependant par rêverie et passe ses matinées à observer la galerie des personnages qui défile devant ses yeux : employés et fonctionnaires allant au travail, chômeurs, représentants du monde interlope. Un jour, une jolie femme passe devant lui. Pour Adel, c’est la femme dont il a toujours rêvé et il en tombe amoureux. Le hasard d’une livraison le met en contact avec l’objet de son désir : directrice d’une agence bancaire, elle s’appelle Dounia et lui semble inaccessible. Pour la toucher, il utilise alors un langage qui lui est familier : celui des fleurs. Chaque matin, il livre à Dounia des bouquets de fleurs en prétextant qu’il s’agit d’un expéditeur inconnu. Cet amour impossible va être la cause de problèmes au travail et au sein de sa famille. Certains de ses amis le dissuadent de cette chimère ; d’autres au contraire le poussent à déclarer son amour. Dounia finit par découvrir le pot aux roses et accepte de rencontrer Adel.
je l'ai vu aussi et j'ai beaucoup apprécié. et je me joins à toi pour encourager ce film qui en a besoin pour continuer sinon il risque d'être enlevé des affiches faute de moyens
Tu as raisons sur le fait qu'il faut encourager d'une maniére concréte les films à petit budget. Une des grandes raisons qui pour moi semble justifier la réticence de l'intervention de l'État, est l'insuffisance des financements par suite du peu d'intérêt du système bancaire pour ce secteur, compte tenu du marché étroit, des risques élevés et une rentabilité faible.
Autrement dis, il faut rencontrer quelqu'un qui ait envie de produire ton film mais si tu n'as aucune connexion dans le métier c'est quasi mission impossible. Tu rajoute à la liste le fait que tu soit un Arabe et là nous pouvons considérer tranquillement que les carottes sont cuites.