Citation
Livia38 a écrit:
Salam à tous,
Je vais essayer de faire court, même si honte, pitié et colère me rongent déjà.
Voici 8 mois que j'ai rencontré un jeune homme sur le net, un site banal où je ne cherchais pas l'amour, mais à apprendre une langue étrangère.
Lui est encore étudiant, vit toujours au pays, à ce moment là ne savait pas que je vivais ailleurs. Plutôt bel homme, drôle.. vous connaissez la chanson.
Moi, jeune professionnelle, pas très épanouis sentimentalement parlant, n'ayant jamais eu de relations amoureuse...à 28 ans ..pour des raisons d'ordre purement physique, consenties par les homme du monde entier parait-il. 3 ans nous séparent (je suis plus vieille, mais je parait plus jeune que lui) nos milieux différents et nos ambitions aussi, lui n'en a aucune, moi j'en ai beaucoup trop..
Et pourtant je suis tombée dans ses filets, solitude accrue et dépression aiguë n’arrangeant pas les choses, je voulais savoir ce que ça faisait de tomber amoureuse et surtout d'être aimée, même bel3ani...
Au fur et à mesure que l'on avançait tous les deux vers je ne sais où, notre relation s'est sexualisée d'une manière assez effrénée, le physique et le sex , lui importaient plus que tout, il disait que je lui plaisait, je voulais y croire, et ça l'arrangeait. Néanmoins, il n'y avait pas que ça, il comblait et comble toujours ce néant social dans lequel mon physique m'a engouffrée. On s'appelle matin midi et soir, de moins en moins, certes, distance et ennui de sa part obligent.On dort ensemble, connectés à nos téléphones, je me réveille sur le son de sa voix, je conduis, je mange, je cuisine, je vis au son de sa voix. 6heures, 12heure... parfois plus. Cela diminue peu à peu, mais le fait de savoir qu'il est toujours là me rassure, malgré les distances qu'il a prises ces derniers temps.
Aujourd'hui je suis contrainte de constater que mes journées sont lui me tueraient, oui ! me dévasteraient et me plongeraient dans une dépression plus accentuée. Séquelles d'une solitude de plusieurs années.
Mes journées avec lui me tuent déjà car lui même ne me voit pas finir mes jours à ses côté (trop bien pour lui dit-il..._je n'aurais jamais cru entendre ça un jour, ma dignité en a pris un coup...mon cœur... plusieurs). Il est de plus en plus froid, ne m'appelle que quand il s'ennuie, quand il bande, quand il veut dormir..ne dis plus qu'il m'aime. Moi je suis là et c'est tout.
Bref, en plus d'être dans le haram et de le rester, cette personne ne m'ajoute rien, à part combler ma solitude et m'affaiblir, moi qui était si forte.
Je voudrais rompre, l'oublier à jamais et reprendre le cours ennuyeux de ma vie.Me repentir aussi...tellement. Mais j'ai tellement peur d'en souffrir, j'en souffre déjà beaucoup trop.
Comment m'y prendre? que faire? Pour ceux qui veulent s'amuser à me juger ...allez-y, si ça peut m'aider.
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Livia38 a écrit:
Salam à tous,
Je vais essayer de faire court, même si honte, pitié et colère me rongent déjà.
Voici 8 mois que j'ai rencontré un jeune homme sur le net, un site banal où je ne cherchais pas l'amour, mais à apprendre une langue étrangère.
Lui est encore étudiant, vit toujours au pays, à ce moment là ne savait pas que je vivais ailleurs. Plutôt bel homme, drôle.. vous connaissez la chanson.
Moi, jeune professionnelle, pas très épanouis sentimentalement parlant, n'ayant jamais eu de relations amoureuse...à 28 ans ..pour des raisons d'ordre purement physique, consenties par les homme du monde entier parait-il. 3 ans nous séparent (je suis plus vieille, mais je parait plus jeune que lui) nos milieux différents et nos ambitions aussi, lui n'en a aucune, moi j'en ai beaucoup trop..
Et pourtant je suis tombée dans ses filets, solitude accrue et dépression aiguë n’arrangeant pas les choses, je voulais savoir ce que ça faisait de tomber amoureuse et surtout d'être aimée, même bel3ani...
Au fur et à mesure que l'on avançait tous les deux vers je ne sais où, notre relation s'est sexualisée d'une manière assez effrénée, le physique et le sex , lui importaient plus que tout, il disait que je lui plaisait, je voulais y croire, et ça l'arrangeait. Néanmoins, il n'y avait pas que ça, il comblait et comble toujours ce néant social dans lequel mon physique m'a engouffrée. On s'appelle matin midi et soir, de moins en moins, certes, distance et ennui de sa part obligent.On dort ensemble, connectés à nos téléphones, je me réveille sur le son de sa voix, je conduis, je mange, je cuisine, je vis au son de sa voix. 6heures, 12heure... parfois plus. Cela diminue peu à peu, mais le fait de savoir qu'il est toujours là me rassure, malgré les distances qu'il a prises ces derniers temps.
Aujourd'hui je suis contrainte de constater que mes journées sont lui me tueraient, oui ! me dévasteraient et me plongeraient dans une dépression plus accentuée. Séquelles d'une solitude de plusieurs années.
Mes journées avec lui me tuent déjà car lui même ne me voit pas finir mes jours à ses côté (trop bien pour lui dit-il..._je n'aurais jamais cru entendre ça un jour, ma dignité en a pris un coup...mon cœur... plusieurs). Il est de plus en plus froid, ne m'appelle que quand il s'ennuie, quand il bande, quand il veut dormir..ne dis plus qu'il m'aime. Moi je suis là et c'est tout.
Bref, en plus d'être dans le haram et de le rester, cette personne ne m'ajoute rien, à part combler ma solitude et m'affaiblir, moi qui était si forte.
Je voudrais rompre, l'oublier à jamais et reprendre le cours ennuyeux de ma vie.Me repentir aussi...tellement. Mais j'ai tellement peur d'en souffrir, j'en souffre déjà beaucoup trop.
Comment m'y prendre? que faire? Pour ceux qui veulent s'amuser à me juger ...allez-y, si ça peut m'aider.