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Débat. "Politique et religion sont-elles compatibles ?"
h
9 janvier 2005 00:42
Débat. "Politique et religion sont-elles compatibles ?"

(DR)
A l’invitation du Club Politique*, 3 jeunes représentants de formations politiques ont croisé le fer. Extraits.


Mohamed el Aïdi (1) Al Badil al Hadari
Selon la grille de lecture occidentale, politique et religion sont incompatibles. Mais cette grille est le produit d’une histoire politique et religieuse propre à l’Occident. Elle ne peut pas s’appliquer au monde musulman dans lequel, historiquement, religion et politique ont toujours été liées. Cela dit, un projet politique fondé sur l’islam ne peut se permettre d’exclure
d’autres projets. Le propre d’un projet politique est d’accepter des compromis, notamment par l’alliance avec d’autres projets, qui n’ont pas le même fondement. Al Adl Wal Ihssane, par exemple, n’a pas compris cela – d’où sa difficulté à se transformer en force politique en bonne et due forme.
Mais un projet politique fondé sur l’islam ne peut être porté uniquement par des politiciens. Il faut aussi que les théologiens (ouléma) s’y impliquent. Pourquoi un alem, n’aurait-il pas le droit de se présenter aux élections ? Il peut être dépositaire du fiqh, tout en briguant les suffrages des électeurs sur la base d’un programme distinct de sa fonction religieuse.
Politique et religion, au Maroc, sont confondues dans la personne du roi, amir al mouminine. Mais ce n’est pas une raison pour que sa parole soit sacralisée. Celle du prophète lui-même était discutée et débattue de son vivant. Pourquoi, dans ces conditions, ne pourrait-on pas remettre en question la parole du roi ?


Hassan Tarik (2) Jeunesse de l’USFP
Un projet politique est toujours relatif. L’action politique est humaine, historique. Elle exprime des prises de positions, des intérêts particuliers, propres à leur contexte et à leur époque. Par conséquent, l’espace politique ne peut être borné par le sacré. Un opposant, par exemple, ne devrait pas pouvoir être taxé de mécréant. Mais les islamistes sont-ils prêts à abandonner cet argument, dont ils usent abondamment ?
Sous le règne de Hassan II, la notion d’imarat al Mouminine a été utilisée comme un argument pour légitimer la répression politique. A partir des années 80, elle a aussi été utilisée pour contrer l’opposition politique qui se manifestait encore à l’égard de la monarchie. Aujourd’hui, il faut clarifier, et bien définir les contours de l’autorité religieuse du roi. Est-elle constitutionnelle, pré-constitutionnelle, ou supra-constitutionnelle ?
Le débat sur la laïcité est effectivement récent dans le monde musulman. Je pense que la laïcité est l’horizon indépassable du débat qui doit nécessairement traverser une société démocratique. On ne peut pas, de nos jours, éviter de soulever cette question. Pour l’instant, la revendication laïque est encore cantonnée à l’élite. Il faut que le peuple s’en saisisse. A terme, nous devrons remettre clairement en question la formule "Maroc, état islamique".


Abdelali Hamieddine (3) Jeunesse du PJD
L'action politique est relative, humaine, circonstanciée. Il n’y a pas de sacralité en politique. Le texte coranique lui-même n’est pas sacré. Ses interprétations évoluent avec le temps. Le débat sur la place de la religion dans la politique n’est pas propre au monde musulman. En ce moment, il est au cœur de l’élaboration de la constitution européenne. Les références à la religion traversent toutes les cultures. La vraie question est de cerner les limites de l’utilisation de la religion en politique. Il ne saurait exister de monopole de la religion, tout comme il n’y a pas de monopole de l’idée démocratique ou de l’idée nationale.
Dans l’histoire du monde musulman, la pluralité a toujours existé. Dès le début, il y a eu des divergences entre les compagnons du prophète, et même des divergences entre le prophète et ses compagnons. Il faut relire attentivement la notion de choura. La démocratie en islam a une histoire vieille de quatorze siècles.



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m
9 janvier 2005 02:49
Il est claire que de nos jour la separation de la religion du politique devient une necessité pour tout fonctionnement d'un etat democratique, une chose doit etre faite c'est de faire en sorte que cette conception doit etre debatue a la base et non plus un theme entre les cercles intellectuelle.
Bien a vous.
9 janvier 2005 03:39
l'islam en plus d'etre religion il est aussi constitution.

mohamed le messager de dieu n'etait-il pas aussi un homme politique?

n'a-t-il pas utilisé la deplomatie?

rappelez-vous lorsqu'il a envoyé ses premiers compagnons se refugier chez le roi chretien d'abessynie.
:o
m
9 janvier 2005 03:40
Amir, aa tu deja connue un system de gestion Islamique?
9 janvier 2005 03:59
de quelle gestion tu parles?

l'islam gére tout:

l'économique,le social,le politique et meme l'érotique.

et d'abord, tu connais l'islam pour vouloir le changer par un systeme qui appartient aux autres?

une simple question:

est-tu musulman?
:o
m
9 janvier 2005 04:12
Bon, je ne suis pas ici pour mesurer mon degré d'islamité, puis je crois je n'ai jamais lu de ma vie un system economique qui s'appel systeme economique islamique, et puis je te defis de me le nommé par son appelation.

Bien a vous.
9 janvier 2005 04:51
la banque islamique qui a su fait les affaires avec les autres banques non- islamiques.

tu sais que dans le systeme bancaire islamique tu peux faire du "biznisse" sans pour autant utiliser l'interet sur les prets?
:o
m
9 janvier 2005 05:09
Les Banques Islamiques ne sont pas les moteurs du dynamisme de l'economie des pays musulmans c'est dans un cadre tres restrint quelles emmergent et quelles travaillent, elle ne touchent pas aux ineteret mais elle prennent leur benifice t'en fait pas et ne partage pas le risque avec leur clients, et elles se gerent dans la confusion le plus total. L'interet comme tu vois est pratiqué sous une autre forme, maintenant que tu l'appel hadj Moussa, Moussa hadj c'est la meme chose.
Ne confond pas les banques islamique des pays du Golf qui injectent des milliards de dollars qui genere un circuit statique ou cyclique et qui ne couvre que des domaines
tres limités comme la construction ou le tourisme a des banques vraiment peu significative qui existe dans le maghreb.
Bien a vous.
A
9 janvier 2005 15:50
Asalamo 3alaikom Amir,

Je suis tout a fait d'accord avec toi a savoir:

"l'islam en plus d'etre religion il est aussi constitution."
"mohamed le messager de dieu n'etait-il pas aussi un homme politique?"

Par contre je suis pas d'accord avec tangd10

>>>"elles se gerent dans la confusion le plus total"

J'aimerais bien avoir des preuves sur ce que tu es entrain de nous raconter.

Les banques islamiques connaisent un grand succes dans les pays ou ils ont ete autorise a operer la preuve c'est l'ouverture de la premiere banque islamique en europre
Islamic back of britain
[www.islamic-bank.com]

il faut plutot voir les banques aux pays magrebins ils ne sont quasiment que des agences de depos, ils souffrent d'une surliquidite tres importante et les entreprisent hesitent a les utiliser.
Ces banques ne contribuent nullement a l'investissement,si elles etaient vraiment comme tu le dis "moteurs du dynamisme de l'economie" Le Maroc ne serait pas dans la misere.

>>>"c'est la meme chose"
Avant de dire du n'importe quoi li le texte ci-dessous:

Les banques islamique utilisent La murâbaha ce qui est tres different de l'interet (riba).

La murâbaha : alternative au prêt à intérêt destiné à la consommation. Dans le cas classique où l'organisme de crédit accorde un prêt à intérêt à son client pour que celui-ci achète une voiture, le client prend possession de la somme prêtée et la dépense pour acheter ce dont il a besoin. Puis il rembourse au fur et à mesure la somme qu'il a empruntée plus les intérêts. Si la voiture coûte 10 000 € et que le client a pu bénéficier d'un prêt de ce montant, il remboursera par exemple 15 000 € sur cinq ans.
Dans le cas de la murâbaha, le client adresse une demande à l'organisme de crédit concernant la voiture qu'il désire acheter. Si l'organisme accepte sa demande, il considère celle-ci comme étant une promesse d'achat de la part de son client, il achète la voiture en son nom propre puis la revend au client avec un bénéfice, le tout étant payable par échéances. On pourrait dire : "Le résultat est le même : ici aussi, pour une voiture que l'organisme achètera au prix de 10 000 €, le client la paiera 15 000 € sur cinq ans." Mais en fait non, il y a des différences. 1) Dans le cas de la murâbaha, si la marchandise livrée ne correspond pas aux caractéristiques énoncées, alors ce sera l'organisme de crédit qui fera les démarches pour que le fournisseur reprenne son bien. 2) De même, si la marchandise connaît des problèmes d'acheminement, ce sera cet organisme qui se chargera de relancer le fournisseur ou le transporteur. 3) Et si cet organisme a déjà pris possession de cette marchandise et que celle-ci a été détruite par un incendie avant qu'elle le remette à son client, la destruction se fera aux dépens de l'organisme. 4) Enfin, en cas de retard dans le paiement du prix convenu par son client, cet organisme ne pourra pas majorer ses échéances d'indemnités. Quatres points qui font la différence entre le recours à la murâbaha et le recours au prêt à intérêt ; quatre points qui découlent tous de la même différence de forme juridique entre les deux transactions : dans la murâbaha, c'est l'organisme de crédit qui achète la marchandise en son nom, et toutes les règles concernant l'acheteur s'appliquent à lui. Aussi, entre le moment où l'organisme a acheté puis a réceptionné la marchandise et le moment où le client en prend possession après l'avoir achetée, l'organisme est entièrement responsable de cette marchandise. En 1983, un organisme de crédit islamique du Qatar, pratiquant la murâbaha, avait, sur la demande son client (une entreprise qatariote vendant des meubles), acheté un conteneur de meubles en Allemagne. Le navire sur lequel ce conteneur était acheminé appartenait à une compagnie d'armement grecque, et celle-ci fit faillite alors que le navire faisait escale en Egypte. Ce fut l'organisme de crédit – et non le client – qui dut entreprendre toutes les démarches concernant le conteneur. La même entreprise qatariote avait commandé d'autres meubles, qui se trouvaient sur le même navire, mais avait acheté ceux-là en ayant recours à un emprunt à intérêt classique, conclu chez une banque. Eh bien concernant le conteneur où se trouvaient ces meubles, l'entreprise dut se débrouiller elle-même, et la banque ne voulut rien savoir : elle s'en tenait aux échéances prévues pour son remboursement (pour plus de détails, lire Bay' al-murâbaha lil-amr bi-sh-shirâ kamâ tujrîhi-l-masârif al-islâmiyya, Al-Qardhâwî).

La mudhâraba : alternative au prêt à intérêt destiné à l'investissement. Cette solution aussi permet à l'épargnant, détenteur de capitaux, d'investir, et à celui qui veut travailler de bénéficier de capitaux. Mais, contrairement au prêt à intérêt, ici celui qui apporte le capital partage les profits et les risques avec celui qui va travailler ; par exemple : "60% des bénéfices iront au bailleur de fonds, 40% iront au propriétaire de l'entreprise".
Imaginez par exemple que l'épargnant investisse 5000 € dans une société qu'il monte avec le travailleur et qui est destinée à vendre des vêtements en porte à porte. L'accord prévoit que 60% des bénéfices et des pertes seront pour l'épargnant, et 40% pour celui qui fournit le travail. 3700 € sont investis dans une voiture, 800 € dans les vêtements à vendre, et 500 € restent dans la caisse pour les besoins divers. Le travailleur réussit à vendre les vêtements à 1800 €. 800 €, qui correspondent à la somme dépensée pour l'achat des vêtements, sont remis dans le capital initial ; le bénéfice, qui s'élève à 1000 €, est partagé à hauteur de 600 € pour l'épargnant et 400 € pour celui qui a fourni le travail.
Imaginez maintenant que les vêtements achetés (contre la somme de 800 €) ne se vendent pas ; il faut bien en prendre conscience : on a fait une mauvaise affaire. Imaginez alors que ces vêtements soient cédés sur un marché aux fripes pour 400 € et qu'il y ait donc eu une perte de 400 €. Alors, si les bénéfices n'avaient pas encore été partagés, cette perte sera décomptée des bénéfices. Sinon elle sera décomptée du capital. Le risque de perte s'applique donc aussi bien à la force productive du capital qu'à la force productive de l'effort intellectuel et physique de celui qui travaille.


Asalamo 3ala man itaba3a al hoda
m
9 janvier 2005 16:42
La Modaraba: Elle consiste en l'association d'un capital avec un apport industriel (travail) en vue de partager les bénéfices et les pertes qui peuvent en résulter. Dans ce cas, le client apporte son expertise et la banque apporte le financement nécessaire à la réalisation de l'opération. La gestion incombe uniquement au Modareb (le client qui utilise l'argent dans le travail). En cas de profit, le client est rémunéré par son travail et son expertise, alors que la banque est rémunérée par son apport en capital. En cas de perte, le client perd son travail s'il n'est pas prouvé que la perte est due à une négligence de gestion de sa part et la banque perd ses fonds. S'il y a eu négligence de gestion par le client, la perte est supportée par les deux parties. Ce genre de financement, très délicat, n'a pas été expérimenté en Afrique.
C'est pas trop confus ca, en plus on parle des banques qui soit disant investissent uniquement dans les pays musulmans et encore pas tout les pays musulman, donc c'est tres restreint.

Par ailleurs, il y a lieu d'examiner le statut fiscal des banques islamiques, la situation des banques islamiques ne correspond pas nécessairement à la législation. La banque islamique ne peut ni verser ni recevoir des intérêts; il s'ensuit que, sur le plan fiscal, ni la banque islamique, ni la clientèle ne peuvent être imposées au titre de l'impôt sur les revenus des créances. Il convient donc d'éviter que les banques islamiques soient imposées au titre de certains impôts qui sont contraires, dans leur principe, à ceux en vigueur dans la Charia, d'une part, et que les clients qui traitent avec ces banques dans le cadre des comptes de participation se trouvent désavantagés par une imposition ,donc je te laisse le soin de decortiquer toute un arsenal FISCALE ET PARAFICVALE

Bien a vous
A
9 janvier 2005 16:52
Salam,

mustangd10,

Je sais pas d'ou tu tiens tes infos mais ils me semblent loin de la realite.
Je suis un client d'une banque islamique et je ne me sent pas desaventage ????.

"on parle des banques qui soit disant investissent uniquement dans les pays musulmans et encore pas tout les pays musulman, donc c'est tres restreint"

Je sais pas de quel exemple obscur tu me parle mais a ce que je sache c'est que la banque islamique n'investis pas dans ce qui est (haram) alcohol,pornographie,loterie (maisir) ect.

Est ce que tu peux nous donner de faits (facts) stp.

salam
m
9 janvier 2005 17:10
Arabi, dans les pays Arabo-musulman je crois qu'il n y pas uniquement ces domaines que tu viens de citer, ma question elle est simple, pourquoi le citoyen musulman ne choisis pas les banques islamic pour l'epargne ou pour l'investissement.
sur le plan fiscal, ni la banque islamique, ni la clientèle ne peuvent être imposées au titre de l'impôt sur les revenus des créances, dis moi tu penses pas qu'on rentre dans le circuit informel?
A
9 janvier 2005 18:02
Asalamo 3ala man itaba3a al hoda,

mustangd10,

>>>"ma question elle est simple, pourquoi le citoyen musulman ne choisis pas les banques islamic pour l'epargne ou pour l'investissement"

C'est pour une raison tres simple, les banques islamiques sont interdites aux pays du maghrebs donc s'ils ne le font pas c'est plutot qu'ils n'y ont pas access.

Le jours ou les banques islamiques ouvrirons leur portes aux pays du maghreb les banques actuels aurons beaucoup a creindre.

Les gens aux Maroc et au pays musulmans commancent petit a petit a redecouvrir leur religion et crois-moi malgre tout les obstacles poses par les "laicards" (krouch lhram) ils ne sont pas pret a vivre dans l'egarement et le haram.

J'ai un ami au Maroc qui a du abandoner son salaire et empreiter chez ses amis, car du a un changement de reglementation on ne voulais plus lui donner son salaire que s'il ouvre un compte banquaire.
Il a du attendre 3 mois pour ouvrir un compte postal sans interet.

pour ce qui est du plan fiscal:
"sur le plan fiscal, ni la banque islamique, ni la clientèle ne peuvent être imposées au titre de l'impôt sur les revenus des créances, dis moi tu penses pas qu'on rentre dans le circuit informel? "

encore une fois l'ami tu te trompe les banques islamiques comme "islamic bank of britain" dont je suis client sont reglemente par la FSA (Financial Services Authority) et ses clients ne sont pas desaventage.

salam

m
9 janvier 2005 18:25
En Europe, la laïcité nous est imposée avec ses bons et mauvais côtés.
Même les chrétiens râlent de ne plus avoir leur mot à dire sur les questions de société, le problèmes, les églises sont vides.

Le clergé subit sa défaite sur le champs politique (avortement,mariage gay,euthanasie, ...).
Mais que dire des musulmans dont les mosquées sont pleines doivent-ils se résigner comme les chrétiens à subir la laïcité ou trouver un compromis ?

On essaye d'introduire le débat au Maroc, je trouve ça prématuré; il y a des urgences qu'on ne saurait passer outre.

Comme qui dirait, faut pas jouer au bourgeois quand on a pas les sous ...
m
9 janvier 2005 18:36
Peut etre qu'on pale pas des memes details, moi ce que je voulais te dire c'est que la gestion d'une economie Islamique ne reponds pas a des criteres tres complexe de nos jours, depuis des siecles que les pays musulmans essaye de trouver une alternative mais en vain, pourquoi? la réponse est seulement cette economie islamique tiré dela chira n'existe pas, se qu.on essaye de faire c'est une copie coller des modes de fonctionnement des banques occidenatl en le maquillant par des regles islamique.
autre chose les gens disent que l'impot est illicite et on doit le remplacer par la Zakate, ca mon ami c'est une tres grande supercherie parceque la Zakate suppose un non controle de la part de l'etat du moment que le fisc n'existe pas(Facturation, le bilans, etc etc), et puis y a eu en Algerie une commission parlementaire pour la zakate, croie moi que c'est un Fiasco, la preuve est que un des Califs a meme imposé des taxes dounieres parceque la ZAKATE ne suffisait plus pour faire face a des probleme que connaissait le peuple musulman de l'epoque et puis c'est incontrolable.
Pour se qui est de l'implotation des banques islamiques dans les pays du Maghreb, en algerie y'en a beaucoup mais essaye de demander leur assises sur l'echiquier economique.

m
9 janvier 2005 18:50
Comme qui dirait, faut pas jouer au bourgeois quand on a pas les sous ...

je crois que c'est Jaques Brel qui a dit ça
m
9 janvier 2005 18:51
Oui c'est Brel qui a dis ca.
m
9 janvier 2005 18:58
Juste pour dire qu'il a raison ce grand belge ...
m
9 janvier 2005 19:11
Sorry, le Belge disait faut pas jouer le riche(au lieu de bourgeois) quant on a pas de sous.
Bioen a vous.
m
9 janvier 2005 19:27
concernant le Maroc, ça revient au même, on se pose des questions de pays riches alors que l'essentiel fait défaut ...
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