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Fantastique! En déplaçant ma souris, je suis allé jusqu'à Ahermoumou puis je suis revenu vers El Menzel par la route de Zaouïa...

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Modifié 1 fois. Dernière modification le 28/03/09 07:30 par froissart.

Merci mon cher Rami, de m'avoir permis de faire une visite ce matin chez moi. J'ai même compté le nombre d'oliviers que je possède quelque part, vers Oued Zloul.

Mon cher Mghili, tu nous as mis un jour l'eau à la bouche (à propos, connais-tu la famille Alabouch?) en écrivant ceci:

"Merci Fandlaoui de ton conte de KZIMAR, qui me rappelle les belles nuits d'autrefois, lorsque l'une de mes grand-mères, et particulièrement celle maternelle, alors qu'il faisait très froid,nous récitait autour du Kanoun, les contes de Mama Lghoula (mère l'ogresse), ou du cavalier téméraire qui bravait tous les obstacles (frois, neige rivières, serpents, loups et lions, pirates etc...) pour parvenir à libérer sa belle. Elle parlait, et parlait encore, et encore, jusqu'au moment où personne ne lui disait: "aiwa" (et puis). Elle nous transportait alors, la pauvre, nous les petits, un par un, pour nous plaçer, allignés l'un à côté de l'autre, dans la chambre où elle nous couvrait d'un grand et lourd tapis en laine. Le matin, je me réveillais avec l'histoire encore en tête. QUE DIEU AIT TOUS NOS PARENTS ET GRANDS PARENTS EN SA SAINTE MISERICORDE. AMEN."

Nous attendons depuis ce jour-là les contes de Mama Lghoula et ceux du cavalier téméraire...

******
Avant d'introduire mon douar ,par ecris je vous laisse avec ces photos de Chmonda,Bouhassan,trik Elkasba,entreé de El menzel etc..

[yellahalkbila.blogspot.com]

*******

A tres bientot.[/quote]

Le lien ne fonctionne pas, cher 7ab riro. Peux-tu nous le redonner?



Modifié 1 fois. Dernière modification le 28/03/09 18:34 par froissart.

Bonjour tout le monde.


Rani hachmane !!!!!! ghir adrouni . Ces derniers jours je n’étais pas bikhir. Je présente mes excuses à tout le monde. Je sais que vous m’en voulez. Mais encore une fois, je vous présente mes excuses. Vous êtes généreux et tolérants, je n’en doute pas. Et pour me racheter je vous promets de ne plus m’absenter.
Yallah assidi , pour commencer je vais vous raconter aujourd’hui un souvenir que je garde de mon école primaire.
C’était au mois d’avril. Notre professeur de français était Mlle Marie Claude Mouisse ou Moise. Je ne sais pas comment l’écrire. En tout cas c’est ce que j’entendais les autres lui dire. Son nom, je ne l’ai jamais vu écrit. Elle était blonde, belle, fraîche, bref, pour résumer, elle était ravissante. Le jour où elle portait une jupe, toute la classe était au délire. Elle avait beau nous demander de prêter attention, quand elle nous lisait un texte d’un livre intitulé Bonjour Ali bonjour Fatima, ou d’un autre : le Petit Chacal, personne n écoutait ce qu’elle lisait. Parfois, elle faisait appel à son frère, qui était lui aussi instituteur, pour nous faire taire. Mais dès qu’il franchissait le seuil de la porte, nous revenions à nos malices. La classe de français était pour nous des moments de joies indescriptibles. Le groupe classe était hétérogène : il avait des petits comme il y avait aussi adultes qui descendaient d’ait saghrouchen ou qui montaient de beni sadden et qui se rasaient déjà la barbe.
Une fois par semaine, elle nous accompagnait pour une promenade, soit sur la route d’ouled mkoudou soit sur celle de ain kbir. On chatait, on ricanait, bref on se défouait merveilleusement. Mais l’excursion dont je me souviens le plus c’est celle quelle organisa de printemps vers sraghna. Celle-là je ne l’oublierai jamais.
Pour ne pas être lourdaud, je vous la raconterai demain si vous le permettez. Bonsoir et à demain.

Amicalement

lire -"on se défoulait" au lieu de "on se défouait"
-" un jour de printemps" au lieu de "organisa de printemps

Cher Fandlaoui, tu nous annonces une histoire, puis tu nous dis d'attendre demain!!!
C'est une nouvelle forme de torture que tu expérimentes sur nous?
Te rends-tu compte que nous allons passer une nuit entière à compter les minutes?



Modifié 1 fois. Dernière modification le 29/03/09 18:13 par froissart.

Citation
froissart a écrit:
Cher Fandlaoui, tu nous annonces une histoire, puis tu nous dis d'attendre demain!!!
C'est une nouvelle forme de torture que tu expérimentes sur nous?
Te rends-tu compte que nous allons passer une nuit entière à compter les minutes?

Cher Patryck,

Tu n'as rien a compté cette nuit, car notre cher Fandlaoui (à qui je salut le retour, et c'est un retour spécial !! (seul lui qui va comprendre !!!)) avait écrit son message hier soir, donc l'histoire doit être racontée aujourd'hui, n'est ce pas cher Fandlaoui.

Donc, mon cher Patryck, ne dors pas avant de lire l'histoire !!! (je connais l'impact du décalage horaire, mais bon !!! c'est une taxe !!)

Par contre, c'est moi qui va compter les minutes de cette nuit, puisque demain ... (encore une fois seul cher Fandlaoui connait la suite).

A demain, reste encore 1020 minutes !!! Way7a way7a !!



Modifié 1 fois. Dernière modification le 30/03/09 00:32 par menzli.

Bonjour tout le monde.

Comme promis, je vous conterai aujourd’hui un souvenir lointain. C’est l’histoire d’une excursion à Sraghna. C’était au temps où tout était encore très simple. Il n’y avait pas de télé, pas de gadgets, pas trop de tracasseries de la vie. Nos jouets, nous les confectionnions nous-mêmes, ce qui nous procurait un plaisir double ; celui de la fabrication et celui de l’usage. Ainsi ma toupie je la taillais moi-même, je taillais aussi ma plume, et parfois mes sandales. Mon premier cartable, c’était ma mère, que dieu ait son âme, qui me l’avait cousu.
Comme je l’ai signalé dans mon écrit précédent, notre institutrice avait l’habitude de nous promener aux alentours d’El Menzel. Elle n’était pas la seule d’ailleurs, l’instituteur d’arabe monsieur Najjari le faisait aussi. Un jour de printemps, vers 9 heures, nous prîmes le chemin de Sraghna dans l’enthousiasme et la joie. Le trajet s’était bien passé. Vers 11 heures, nous étions déjà à Sraghna, un peu fatigué, mai personne ne se plaignait. Nous nous installâmes à l’ombre, sous de vieux oliviers. La maîtresse, à notre grande joie, nous distribua des bonbons et du chocolat. Ce chocolat, à plus de 50 ans, j’en garde encore le bon goût dans ma bouche. Elle était formidable notre maîtresse ! Elle nous aimait et nous le lui rendions si bien. Le casse-croûte terminé, nous nous mîmes à jouer sous l’œil bleu et vigilent de cette belle institutrice. Soudain, on entendit des plouf. Certains élèves avaient découvert un bassin que le propriétaire d’un jardin d’à coté utilisait pour irriguer ses plantes. Ils s’y baignaient tout nus. L’eau y était stagnante et presque verdâtre. La maîtresse commença à crier : « sortez immédiatement de ce bassin, l’eau est sale, vous allez attraper une maladie !!!!!! » je ne savais pas de quelle maladie elle parlait. Nous avions l’habitude de nous baigner à lgalta dloued entre ouled mhamed et Ben youssef. Tu t’en rappelles akhay toumi ? Personne ne l’écoutait. Je la vois encore toute rouge de colère et bleu de peur !! Les enfants terribles montaient sur le mur du bassin et plongeaient comme des tortues, puis réapparaissaient plein de boue. La baignade terminée, la maîtresse nous emmena dans un endroit plus loin du bassin. Il était déjà tard. Nous commencions à sentir la faim. A notre satisfaction nous aperçûmes un champ de fèves et nous y tombions comme des sauterelles. En un laps de temps nous dépouillâmes le champ de ses fruits. Chacun de nous en offrait une brassée à la maîtresse qui en mangeait, toute en nous faisant la morale qu’il ne fallait pas toucher à ce qui ne nous appartenait pas. Mais le comble c’est lorsque certains élèves découvrirent des nids d’oiseaux. Ils grimpèrent sur les arbres, saisirent les nids et leur contenu et vinrent les offrir comme cadeau à la belle maîtresse. A la vue des petits oisillons, la maîtresse fut hors d’elle-même. Elle ordonnait aux méchants élèves de remettre les nids à leur place mais en vain. Un des dénicheurs, mécontent, jeta parterre la nichée et l’écrasa sous ses sandales de « gamouss ». La maîtresse, horrifiée, tomba raide devant nous. Elle s’était évanouie. Je n’oublierai jamais cela. Puis quand elle revint à elle-même, elle nous ordonna de rejoindre immédiatementl’école.
Sur ce je vous laisse et à la prochaine

Superbe!
Ah, quels garnements vous étiez!
Quelle belle illustration du choc culturel!

Bonjour tout le monde.


Je t'assure Patryck, que moi, je n'étais pour rien. Comment aurais-je pu. Elle était si belle et ci douce !!!! Le bon vieux temps!!!! Passons.

En relisant, sur notre site, un texte de mon cher ami TOUMI, je me suis aperçu qu’il m’avait posé une question : « Pourquoi le minaret d’Ouled mhamed était décapité. D’abord j’ai beaucoup apprécié la métaphore que tu as employée. « Décapité » !!!! Qui aurait osé le décapiter sous les yeux vgilents des braves d'ouled mhamed ? En tout cas, cela ne pourrait être un touamy, un azizi un menzli ou un yousfi.
A ma connaissance, c’était la foudre de dieu. Et il y a une drôle d’histoire à ce sujet :
Un jour de tempête. Un jour de ces vieux jours où personne n’osait mettre le nez dehors, nous entendîmes un grondement sourd. Tout le monde se demandait ce que c’était. Certains pensaient que c’étaient l’armée française qui bombardait le village, d’autres émettaient les suppositions les plus saugrenues. Tout le monde accourut s’enquérir de ce qui c’était passé. Puis nous entendîmes des cris chez nass ali. En effet c’était la foudre qui avait transpercé les entrailles de notre majestueux minaret. La femme de Abdelcrim ould ali, que dieu ait leur âme, était en train de traire sa vache. Leur maison était mitoyenne de la mosquée. La foudre traversa le minaret tua la vache mais épargna la femme. C’était un avertissement du ciel conclurent les sages du village. Toi toumi tu sais bien de quoi je parle. Une prière suivie du lattif fut organisée à la mosquée juste après l’évènement.

Après 1020 min, je dois attendre encore 180 min !!!

Salam,

Citation
Fandlaoui a écrit:

Comme promis, je vous conterai aujourd’hui un souvenir lointain. C’est l’histoire d’une excursion à Sraghna.
..........................
..........................
Mais le comble c’est lorsque certains élèves découvrirent des nids d’oiseaux. Ils grimpèrent sur les arbres, saisirent les nids et leur contenu et vinrent les offrir comme cadeau à la belle maîtresse. A la vue des petits oisillons, la maîtresse fut hors d’elle-même. Elle ordonnait aux méchants élèves de remettre les nids à leur place mais en vain. Un des dénicheurs, mécontent, jeta parterre la nichée et l’écrasa sous ses sandales de « gamouss ». La maîtresse, horrifiée, tomba raide devant nous. Elle s’était évanouie. Je n’oublierai jamais cela.

Belle histoire !!
Elle me rappelle une fois dans une rue de Fés, un touriste anglais qui voulait acheter un oiseau. Le vendeur, un vieux monsieur qui vendait l'oiseau dans sa cage à 120 Dhs et qui ne comprenait pas un seul mot en anglais. Le touriste était en train de négocier le prix lorsque je suis passé (il voulait acheter l'oiseau à 100 Dhs et pas plus) et là le vendeur me demanda si je pouvais faire la traduction. Je lui ai donc demandé s'il voulait vendre son oiseau à 100 Dhs. Il ne voulait pas du tout en m'expliquant qu'il avait déjà vendu des oiseaux de la même race à 150 dhs. J'ai expliqué au touriste que le vendeur ne voulait pas baisser le prix. Ce dernier m'a dit qu'il n'avait que 100 Dhs sur lui et qu'il tenait absolument à acheter l'oiseau.
Le vendeur et le touriste restèrent sur leurs positions en me demandant en permanence de faire un effort pour ré expliquer que c'est bien de vendre à 100 Dhs ou d'acheter à 120...
Bref, je n'avais pas que ça à faire mais en même temps ça m'intéressait puisque c'était une bonne occasion pour moi pour pratiquer mon anglais !!
En discutant un peu plus avec le touriste, il m'a expliqué qu'il ne voulait acheter que l'oiseau et pas la cage. A ce moment là, j'ai compris ce qu'il voulait faire...
J'ai pris les deux billets de 50 Dhs que me donna le touriste, j'ai ajouté 20 Dhs de ma poche pour donner les 120 Dhs au vendeur. Les deux étaient contents mais à la surprise du vendeur, le touriste laissa l'oiseau en liberté et lui rendit la cage !!!

Citation
encoreUnYazghi a écrit:
Salam,

Citation
Fandlaoui a écrit:

Comme promis, je vous conterai aujourd’hui un souvenir lointain. C’est l’histoire d’une excursion à Sraghna.
..........................
..........................
Mais le comble c’est lorsque certains élèves découvrirent des nids d’oiseaux. Ils grimpèrent sur les arbres, saisirent les nids et leur contenu et vinrent les offrir comme cadeau à la belle maîtresse. A la vue des petits oisillons, la maîtresse fut hors d’elle-même. Elle ordonnait aux méchants élèves de remettre les nids à leur place mais en vain. Un des dénicheurs, mécontent, jeta parterre la nichée et l’écrasa sous ses sandales de « gamouss ». La maîtresse, horrifiée, tomba raide devant nous. Elle s’était évanouie. Je n’oublierai jamais cela.

Belle histoire !!
Elle me rappelle une fois dans une rue de Fés, un touriste anglais qui voulait acheter un oiseau. Le vendeur, un vieux monsieur qui vendait l'oiseau dans sa cage à 120 Dhs et qui ne comprenait pas un seul mot en anglais. Le touriste était en train de négocier le prix lorsque je suis passé (il voulait acheter l'oiseau à 100 Dhs et pas plus) et là le vendeur me demanda si je pouvais faire la traduction. Je lui ai donc demandé s'il voulait vendre son oiseau à 100 Dhs. Il ne voulait pas du tout en m'expliquant qu'il avait déjà vendu des oiseaux de la même race à 150 dhs. J'ai expliqué au touriste que le vendeur ne voulait pas baisser le prix. Ce dernier m'a dit qu'il n'avait que 100 Dhs sur lui et qu'il tenait absolument à acheter l'oiseau.
Le vendeur et le touriste restèrent sur leurs positions en me demandant en permanence de faire un effort pour ré expliquer que c'est bien de vendre à 100 Dhs ou d'acheter à 120...
Bref, je n'avais pas que ça à faire mais en même temps ça m'intéressait puisque c'était une bonne occasion pour moi pour pratiquer mon anglais !!
En discutant un peu plus avec le touriste, il m'a expliqué qu'il ne voulait acheter que l'oiseau et pas la cage. A ce moment là, j'ai compris ce qu'il voulait faire...
J'ai pris les deux billets de 50 Dhs que me donna le touriste, j'ai ajouté 20 Dhs de ma poche pour donner les 120 Dhs au vendeur. Les deux étaient contents mais à la surprise du vendeur, le touriste laissa l'oiseau en liberté et lui rendit la cage !!!

Et donc, tu avais participé à la liberté de notre cher oiseau, mon cher frère.

Mais (et comme, je me rappelle plus que tu avais ramené une cage vide à la maison) seulement à 50%, car tu aurais dû prendre la cage avec toi, et la casser !! comme cela notre vieux vendeur ne pourrait pas l'utiliser pour emprisonner un autre oiseau.

Merci, Fandlaoui et EncoreUnYazghi pour ces belles histoires, qui relancent ce forum.

A signaler: jusqu'à présent personne n'a reconnu l'endroit où se trouvent les deux oliviers sur la photo en page d'accueil de notre site?
[beniyazgha.kazeo.com]

Voici une noukate qu'on m'a racontée lors de mon dernier séjour à El Menzel et qui m'a fait beaucoup rire (la plupart d'entre vous la connaissent sans doute):

Le miracle d'internet

Un fellah âgé voulait cultiver une fois de plus des pommes de terre dans son champ, dans la région d'El Menzel, mais labourer la terre devenait trop difficile pour son âge.
Son fils unique, Ali, étudiait en Europe.
Le chibani se rendit au cybercafé avec un ami branché afin d'expliquer la situation à son fils par ce courriel :

"Cher Ali, Je suis très malheureux parce que cette année je ne pourrai pas planter mes pommes de terre. Je suis trop vieux pour retourner la terre seul. J'espère que tu pourras venir et que mon problème sera résolu. Je sais que tu le feras pour moi. Je t'aime.
Ton père"

Ali répondit:
"Cher père! Que Dieu nous en préserve ! NE RETOURNE SURTOUT PAS la terre cette année. Car c'est là que j'ai caché "tu sais quoi" l'année dernière.
Ali"

A 4h00 du matin le lendemain, la police locale débarqua chez notre fellah, accompagnée d'agents américains et d'ouvriers qui se firent conduire à son champ et le retournèrent complètement.
Puis ils partirent sans rien dire.

Le jour même, le vieil homme, étonné et réjoui, fit envoyer un autre courriel à son fils pour lui annoncer que son champ avait été labouré bénévolement, et comme par miracle, par une équipe escortée par la police et des Américains.

Et il reçut de son fils la réponse suivante:
"Cher père! Il n'y a pas de miracle! Il suffit d'envoyer un courriel signalant que tu caches on ne sait quoi dans ton champ pour qu'aussitôt les Américains se précipitent à la recherche d'armes de destruction massive! Je t'aime.
Ali"


PS: Evidemment, cette histoire se passait à l'époque de Bush...

très belles histoires!

je suis en train de me ressoucer au bled. sachez que le forum s'enracine déjà partout. l l'dée du festival d'ahidouss est déjà là anssi que celle de la coopérative . Atrès bientot



amicalement

Bonjour à tous,

Voici le site de l'association Abydob à el Menzel : www.bniyazghra.asso1901.com

A vous lire !!

salut tout le monde
merci notre ami fandlaoui pour tes choses, cest vraiment du haute qualite.
pour notre ami menzli le site de l association en question ne marche pas.
merci

Citation
rami24 a écrit:
salut tout le monde
merci notre ami fandlaoui pour tes choses, cest vraiment du haute qualite.
pour notre ami menzli le site de l association en question ne marche pas.
merci

Si cher ami Rami24, il marche bien, il suffit de faire attention au espaces !!

Citation
rami24 a écrit:
salut tout le monde
merci notre ami fandlaoui pour tes choses, cest vraiment du haute qualite.
pour notre ami menzli le site de l association en question ne marche pas.
merci

Cher Rami,
Si le lien [www.bniyazghra.asso1901.com] ne fonctionne pas directement, copie-le et colle-le dans ta barre de navigation...
Amitiés.