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A qui le dis tu a écrit:
Salam,
[Post accompagné d'images]
A l'aube de ma quarantaine, un tas de questionnements bouscule mon esprit.
Est-ce que c'est la vie qui a donné sens à mes décisions ?
Ou mes décisions ont orienté ma vie vers mes aspirations ?
Autrement, ai-je été acteur ou spectateur de ma vie ?
Je ne sais pas si c'est une crise et si certain(e)s l'ont vécu à la quarantainre ou avant ou après.
D'abord avec les études et les efforts pour un diplôme
Puis un premier job avec un salaire de jeune diplômé après une longue recherche
Un changement de job et un bon de salaire
Puis d'autres changements successifs de jobs
Côté sentimental, un mariage et 2 enfants ... et une séparation à venir
Et une vie rythmée par le train, le travail et le repos ... et l'impression d'une répétiton.
Avec le sentiment que les événements se sont enchaînés comme une obligation, comme un rythme réglé : il faut étudier, il faut travailler, il faut se marier etc
Et la façon de les aborder a suivi la même méthode mécanique. Parce qu'il fallait, sans se poser trop de questions sur les aspirations profondes.
El hamdolillah, je remercie Dieu pour tout cela.
Ce n'est pas une remise en question de Ses bienfaits mais plutôt la manière d'aborder la vie, de prendre des décisions importantes.
Certains d'entre vous ont ils déjà ressenti cela ?
Et certains ont-ils un jour eu le déclic d'entrer en rupture avec leurs habitudes passées ?
Changer de boulot, changer de vie, changer de femme accessoirement, changer tout court.
Ou avez-vous des exemples dans ce cas ?
. 
Citation
A qui le dis tu a écrit:
Salam,
[Post accompagné d'images]
A l'aube de ma quarantaine, un tas de questionnements bouscule mon esprit.
Est-ce que c'est la vie qui a donné sens à mes décisions ?
Ou mes décisions ont orienté ma vie vers mes aspirations ?
Autrement, ai-je été acteur ou spectateur de ma vie ?
Je ne sais pas si c'est une crise et si certain(e)s l'ont vécu à la quarantainre ou avant ou après.
D'abord avec les études et les efforts pour un diplôme
Puis un premier job avec un salaire de jeune diplômé après une longue recherche
Un changement de job et un bon de salaire
Puis d'autres changements successifs de jobs
Côté sentimental, un mariage et 2 enfants ... et une séparation à venir
Et une vie rythmée par le train, le travail et le repos ... et l'impression d'une répétiton.
Avec le sentiment que les événements se sont enchaînés comme une obligation, comme un rythme réglé : il faut étudier, il faut travailler, il faut se marier etc
Et la façon de les aborder a suivi la même méthode mécanique. Parce qu'il fallait, sans se poser trop de questions sur les aspirations profondes.
El hamdolillah, je remercie Dieu pour tout cela.
Ce n'est pas une remise en question de Ses bienfaits mais plutôt la manière d'aborder la vie, de prendre des décisions importantes.
Certains d'entre vous ont ils déjà ressenti cela ?
Et certains ont-ils un jour eu le déclic d'entrer en rupture avec leurs habitudes passées ?
Changer de boulot, changer de vie, changer de femme accessoirement, changer tout court.
Ou avez-vous des exemples dans ce cas ?
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Faty** a écrit:
Salam qamar,
Je n'aurais jamais pu penser que t'ai pu vivre des drames comme ceux-là...
Qu'Allah apaise ton cœur et te facilite tes projets à venir, amin.
Citation
Faty** a écrit:
Salam,
Tu te rends juste compte que cette vie n'est rien à part une succession d'étapes de vie universelle qui mènera à la mort de chacun d'entre nous, et qu'heureusement, grâce à ta religion et foi, tu auras passé ces étapes de la meilleure façon qu'il soit afin que tu puisse accéder à la vraie vie, insha'Allah...
Y en a ils ont eu cette réflexion bien avant d'être arrivé à la quarantaine donc ce n'est pas une crise de la quarantaine comme tu le pense selon moi.
Citation
Magneto* a écrit:
Salam,
D'accord avec toi, sur le côté bénéfique du changement qui devient une nécessité avec le temps.
Surtout sur les contraintes sociales concernant les études et le travail.
Ce sont des schémas sociaux subis.
Par contre, le mariage n'est pas une contrainte normalement, pourquoi le décris-tu comme une fatalité avec du recul, comme si le divorce était une suite logique aussi bénéfique que le changement de travail?
Citation
Qamary a écrit:
Salam
Je suis dans le même état d’esprit que toi. Pour ma part j’ai 28 ans, bientôt la trentaine.
De 20 ans a 23 ans j’ai vécu mes plus belles années. Marié et papa d’un beau bébé.
Lorsque ma fille a atteint ses 1 an et demi, ma femme perd le contrôle de son véhicule. Ça faisait à peine un an et demi que mon petit frère était parti. J’ai tout perdu d’un coup et ça m’a plongé dans une détresse indescriptible.
Quelques temps après j’ai changé de travail, j’ai rencontré une nouvelle femme, mais impossible d’avancer ensemble, le passé m’en empêchait, et elle pas assez mature pour l’accepter.
J’ai fini par baisser les bras et me suis coupé du monde extérieur.
A mes 27 ans j’ai repris contact avec mon ex fiancée mais le fossé qui nous sépare était énorme. Maintenant je veux qu’une chose, c’est fermer le livre pour en ouvrir un autre. J’aimaurais changer de pays, partir vivre loin et tout reconstruire.
Je crois qu’on a tous quelque chose de cassé en nous, les membres actifs de ce forum. Oser l’admettre ça demande un long travail sur soi-même.
Citation
12thSTREETkOrn3R a écrit:
Pour ertre en crise... c'est d'avoir tout rate
Citation
A qui le dis tu a écrit:
La crise n'est pas forcément synonyme d'échec
Tu peux être footballer et avoir gagné les coupe du monde, mais être en crise.
Parce qu'en fait, c'est le sens que l'on donne aux choses qui changent
Par exemple, dans ma jeunesse, mon but c'était à chaque fois de changer pour gagner plus.
en soi ce n'est pas un échec, mais avec le recul, on se dit qu'il y a d'autres manière d'aborder les choses.
Citation
Qamary a écrit:
Salam
Je suis dans le même état d’esprit que toi. Pour ma part j’ai 28 ans, bientôt la trentaine.
De 20 ans a 23 ans j’ai vécu mes plus belles années. Marié et papa d’un beau bébé.
Lorsque ma fille a atteint ses 1 an et demi, ma femme perd le contrôle de son véhicule. Ça faisait à peine un an et demi que mon petit frère était parti. J’ai tout perdu d’un coup et ça m’a plongé dans une détresse indescriptible.
Quelques temps après j’ai changé de travail, j’ai rencontré une nouvelle femme, mais impossible d’avancer ensemble, le passé m’en empêchait, et elle pas assez mature pour l’accepter.
J’ai fini par baisser les bras et me suis coupé du monde extérieur.
A mes 27 ans j’ai repris contact avec mon ex fiancée mais le fossé qui nous sépare était énorme. Maintenant je veux qu’une chose, c’est fermer le livre pour en ouvrir un autre. J’aimaurais changer de pays, partir vivre loin et tout reconstruire.
Je crois qu’on a tous quelque chose de cassé en nous, les membres actifs de ce forum. Oser l’admettre ça demande un long travail sur soi-même.
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