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Crise entre les EU et Israël
D
15 mars 2010 19:25
Salam,

Suite au projet de construction de 1600 nouveaux logements en territoire palestinien, les EU se disent "insultés". Israel s'excuse mais n'a pas l'intention d'y renoncer.

la crise entre Israël et les Etats-Unis est, selon plusieurs commentateurs, la plus grave depuis au moins une décennie, la coalition gouvernementale, sans être menacée, bat de l'aile, et la presse israélienne tire à boulets rouges sur un premier ministre qui a réussi l'exploit de brouiller Israël avec le seul pays qui est indispensable à sa sécurité.

[www.lemonde.fr] (supprimer l'espace "i srael" dans l'adresse)
o
15 mars 2010 20:34
moi jdis que c'est la comédie tout ça...

on n'est pas dupe c'est de la poudre aux yeux, pour qu'on se dise qu'il va se passer quelquechose... mais c'est comme tout ce qui s'est passé avant, les soi-disant accords de paix et tout le tralala, a d'autres!!!

que des conneries!

ils sont complices et le seront toujours, pour moi usa et israel c'est du pareil au meme, et leur strategie de manipulation de la population, on la connait c'est toujours la meme!!

fait croire aux autres qu'on n'est pas d'accord, que c'est pas bien, du coup les gens attendent qu'ils se passent quelquechose, mais ce n'est que pour mieux nous endormir!!

il se passera rien, mais d'ici qu'on s'en rende compte et qu'on se reveille , une autre atrocité aterviendra fesant oublier celle qui est passée et attirera notre attention... du coup rebelotte!!

un guignol viendra dire que c'est pas bien... et le stratageme s'en suivra eternellement !!!

jusqu'a quand une vraie position de defense? j'en sais rien mais en tout cas comptez pas sur les usa!!!
i
15 mars 2010 20:51
Bah si netanyahou veut rester premier ministre...il ne peut desavouer son ministre de l'interieur (issu d'un parti d'ultras).

D'un autre coté, les ultras ont de puissants relais aux USA.
Donc Nethanyahou pense que les Americains vont gober la couleuvre sous la pression de lobbyistes israeliens ou pro-israeliens.

L'UE insultée.
Les americains furax.

Et les arabes ?
D
15 mars 2010 21:09
Quels arabes ? La plupart sont soit à la botte des EU, soit trop crédules.
Ne restent plus que les Maghrebins et les Perses à voir clair, mais ils ont bien d'autres chats à fouetter pour se maintenir au pouvoir...

nb : ce sont les Etats-Unis qui se disent insultés, pas l'Union Européenne.
l
15 mars 2010 21:35
Du cinéma ou du théâtre (à vous de choisir).On fait semblant de se sentir insulté, on sort quelques communiqués fracassants mais en aparté on donne le feu vert pour continuer la construction de nouvelles colonies.
H
15 mars 2010 22:16
Il n'y a pas de crise.
C'est juste une occasion pour Biden et Obama de se rappeler qui est le maitre, au cas ou ils auraient oublié...
C
16 mars 2010 16:28
Voilà pourquoi il y a des Ben Laden ici et là...

USA: des élus républicains défendent Israël dans la querelle avec Washington
15.03.10 | 20h15

lusieurs élus républicains du Congrès ont défendu lundi l'allié israélien dans la crise qui l'oppose actuellement à Washington sur les colonies à Jérusalem-est.

Le numéro deux républicain de la Chambre des représentants, Eric Cantor, a jugé que la réaction de l'administration Obama aux projets de colonisation à Jérusalem-est était "irresponsable".


Seul élu républicain de confession juive de la Chambre, M. Cantor a estimé que "pour s'attirer les bonnes grâces du monde arabe, cette administration a fait preuve d'une volonté troublante de s'écarter de nos alliés et amis", ajoutant que la dispute publique avec l'Etat hébreu "compromet la sécurité nationale des Etats-Unis".

L'annonce par Israël, durant la récente visite du vice-président américain Joe Biden, d'un nouveau projet de colonisation à Jérusalem-est a ouvert une crise diplomatique entre les deux pays, traditionnellement proches alliés.

Plusieurs membres de l'équipe Obama, dont Joe Biden, la secrétaire d'Etat Hillary Clinton et le principal conseiller du président, David Axelrod, ont critiqué en des termes très durs le projet de colonisation et le moment choisi pour l'annoncer.

Il est "difficile de considérer le fait de passer un week-end à condamner Israël pour une décision de zonage dans sa capitale comme un pas en avant vers la paix", a écrit lundi dans un communiqué le sénateur républicain Sam Brownback.

Pour cet élu conservateur, farouche soutien de l'allié israélien, les Etats-Unis feraient mieux de s'occuper de transférer l'ambassade américaine à Jérusalem et de s'attaquer à "la menace nucléaire iranienne croissante".

De son côté Ileana Ros-Lehtinen, la plus haute représentante républicaine à la commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants, a estimé lundi dans un communiqué qu'Israël était "un allié et ami indispensable des Etats-Unis".

"Les condamnations américains d'Israël et les menacent sur nos relations bilatérales nuisent à la fois à nos alliés et au processus de paix, tout en encourageant les ennemis d'Israël et des Etats-Unis", selon elle.

Mme Ros-Lehtinen s'est également dite "inquiète" de "la manière adoucie" dont les Etats-Unis s'adressent à l'autorité palestinienne, la Syrie et l'Iran. Les Etats-Unis s'apprêtent à nommer un ambassadeur en Syrie, un ancien ennemi jugé utile par Washington dans ses efforts pour la paix entre Israël et les Palestiniens.
H
16 mars 2010 17:22
Cela démontre encore une fois ou va l'allégence de la classe politique américaine...
C
16 mars 2010 23:13
Quitte à jouer contre ses propres intérêts!
i
17 mars 2010 07:53
Citation
Hichamo a écrit:
Cela démontre encore une fois ou va l'allégence de la classe politique américaine...

Un seul élu parle et la classe politique américaine est a la solde des sionistes: "Seul élu républicain de confession juive de la Chambre, M. Cantor a estimé ...." ?
C
17 mars 2010 10:21
Citation
icare99 a écrit:
Citation
Hichamo a écrit:
Cela démontre encore une fois ou va l'allégence de la classe politique américaine...

Un seul élu parle et la classe politique américaine est a la solde des sionistes: "Seul élu républicain de confession juive de la Chambre, M. Cantor a estimé ...." ?

Disons que cet élu-sans jeu de mots-vient juste confirmer un secret de Polichinelle à savoir que le Congress est sous haute influence-et c'est un euphémisme-sioniste.
D
17 mars 2010 11:25
il faut que les gens qui veulent la paix et la justice pour les paletsiniens s organisent mieux qu il ne le sont. il y a 3 mois 1400 personnes (comme le nombre de mort a gaza en decembre et janvier 2009) se sont retrouvé au caire bloqué par le traitre moubarak. la gaza freedom march a demontré que toute la planete est preoccupée par cette terrible injustice. je propose qu on organise la meme chose, mais cette fois ci rdv a washington, pour etre encore plus nombreux et faire pression sur le gendarme du monde. apres ça direction new york devant le siege de l ONU.
c
17 mars 2010 12:23
C'est de la poudre aux yeux
Ex-Ouarza
N
18 mars 2010 10:23
Oui c'est de la poudre aux yeux, et l'actualité d'aujourd'hui le confirme !
Le prix Nobel de la paix a laissé tombé les palestiniens !

Obama dément toute crise dans les relations entre Israël et les Etats-Unis
(AFP) – Il y a 8 heures
WASHINGTON — Le président américain Barack Obama a affirmé mercredi qu'il n'y avait pas de crise entre les Etats-Unis et Israël, malgré les échanges virulents entre les deux alliés à propos des nouvelles constructions récemment décidées par l'Etat hébreu à Jérusalem-est.
Interrogé sur la chaîne Fox news sur l'existence d'une telle crise, M. Obama a répondu "non", soulignant que les Etats-Unis avaient "un lien spécial avec Israël qui ne va pas disparaître".
"Israël est l'un de nos plus proches alliés", a-t-il ajouté au cours de cet entretien, précisant que "parfois les amis sont en désaccord".
La tension entre les deux pays a atteint des sommets après de vives critiques américaines sur la décision du gouvernement israélien de construire des logements supplémentaires dans le secteur oriental annexé de Jérusalem, annoncée en pleine visite du vice-président Joe Biden en Israël la semaine dernière.
Les déclarations du président américain, les premières depuis l'émergence de la querelle diplomatique, interviennent alors que Washington attend toujours une réponse formelle du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu aux protestations américaines sur les nouvelles constructions.
Le porte-parole du département d'Etat Philip Crowley avait dit mardi s'attendre à une conversation "très bientôt" entre la chef de la diplomatie américaine Hillary Clinton et M. Netanyahu.
Le bureau de ce dernier a toutefois annoncé mercredi qu'il avait appelé le vice-président américain Joe Biden, dans la nuit de mardi à mercredi, sans préciser la teneur des leurs discussions.
Un haut responsable de la Maison Blanche a ensuite confirmé que cet appel avait eu lieu, se bornant à indiquer sous couvert de l'anonymat qu'il entrait dans le cadre de "négociations en cours".
Semblant vouloir apaiser la dispute, M. Obama a souligné que l'annonce israélienne de la semaine dernière avait été effectuée par le ministère de l'Intérieur israélien et que M. Netanyahu s'était excusé depuis.
Le président, qui tente en vain depuis plus d'un an d'obtenir des avancées vers la paix au Proche-Orient, a également appelé Israéliens comme Palestiniens "à prendre des mesures pour s'assurer que nous pouvons rebâtir la confiance".
M. Obama a aussi souligné que son administration avait condamné les violences déclenchées par les Palestiniens mardi à Jérusalem-est.
Au même moment, la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton était en route pour Moscou, où elle doit participer à une réunion du Quartette (Etats-Unis, Russie, Union européenne et ONU) sur le Proche-Orient vendredi.
Le département d'Etat avait annoncé mardi que l'émissaire américain George Mitchell ne rencontrerait pas de responsables israéliens et palestiniens avant cette rencontre, contrairement à ce qui était prévu. Il devait initialement se rendre au Proche-Orient dans la semaine pour lancer des négociations indirectes entre Israéliens et Palestiniens.
De son côté, M. Netanyahu doit se rendre prochainement aux Etats-Unis pour prendre la parole devant la conférence annuelle du groupe d'influence pro-israélien AIPAC (American Israel Public Affairs Committee), prévue du 21 au 23 mars à Washington.
Selon la radio publique israélienne, il pourrait rencontrer M. Biden et Mme Clinton au cours de ce séjour.


Donc tout va bien, vous avez le feu vert pour poursuivre la colonisation !
Honte à OBAMA !!! Yes we can ?!
Obama, You are complicit in crimes against humanity in Palestine !!! Shame on you !!!
I'll remember your terrorist political agreement to continue that illegal colonization ! Shame on you !!!

Mais ils veulent quoi ? Ils cherchent quoi ? Le Jihad ?
J'entrevois une période sombre à court terme, une 3ème Intifada va voir le jour.
D
18 mars 2010 10:44
Le problème c'est que les EU ont besoin d'Israël dans leurs plans contre l'Iran, mais que Nétanyahu ne peut pas se mettre de nouveau à dos l'extrême-droite israelienne (il a perdu les élections la dernière fois). Ils vont fatalement devoir trouver un compromis pour s'entendre.
C
18 mars 2010 14:56
Djemila75:c'est plutôt l'Etat juif raciste qui a besoin des EU dans leurs plans machiavéliques contre l'Iran.Obama, sur ce dossier, n'a pas cherché la voie de la confrontation comme son criminel prédécesseur.Je ne vois pas le prix Nobel de la "paix"opter pour cette option dans l'immédiat.
Un compromis?Non pas nécessaire,les judéo-sionistes continueront de faire comme bon leur semble.Et les Ricains continueront de s'écraser.Ah si,quand même:à l'avenir, ils feront en sorte de ne pas (trop) coloniser pendant la visite d'une grosse légume US.Ils attendront son départ ou ne feront pas d'annonce...
D
18 mars 2010 19:00
Citation
Casasurseine a écrit:
Djemila75:c'est plutôt l'Etat juif raciste qui a besoin des EU dans leurs plans machiavéliques contre l'Iran.Obama, sur ce dossier, n'a pas cherché la voie de la confrontation comme son criminel prédécesseur.Je ne vois pas le prix Nobel de la "paix"opter pour cette option dans l'immédiat.

Le prix nobel ne peut rien contre un projet muri depuis 30 ans.

Par Prof. Jules Dufour

Le 10 avril 2007

Le contrôle des activités humaines, économiques, sociales et politiques mondiales est assuré de plus en plus par les États-Unis d’Amérique (USA) dont la volonté de domination s’exprime dans une stratégie d’interventions directes et indirectes continues pour orienter la conduite des affaires mondiales en fonction de leurs propres intérêts. Le Rapport Global 2000 publié en 1980 présentait l’état du monde en faisant état des menaces qui pourraient peser sur ces intérêts. 20 ans plus tard, les Étatsuniens, pour justifier, dans le contexte de leur propre sécurité, leurs interventions sous toutes les latitudes, montent la plus grande supercherie que l’on puisse imaginer, «une guerre mondiale contre le terrorisme» ou, en d’autres mots, une guerre contre ceux ou celles qui osent ne pas vouloir être ou devenir leurs esclaves.

Les quatre éléments majeurs de la stratégie de conquête et de domination du monde par les Étatsuniens sont le contrôle de l’économie mondiale et des marchés financiers, la main mise sur toutes les ressources naturelles (matières premières et ressources énergétiques) névralgiques pour la croissance de leurs avoirs et de leur pouvoir par le biais des activités des corporations multinationales, la mise en tutelle des 191 gouvernements membres de l’Organisation des Nations Unies et, enfin, la conquête, l’occupation et la surveillance de ces éléments grâce à un réseau de bases ou d’installations militaires qui couvrent l’ensemble de la Planète (continents, océans et espace extra-atmosphérique). Il s’agit d’un Empire dont il est bien difficile d’en déterminer la juste ampleur.

Il est cependant possible d’en décrire la configuration générale à partir des informations rendues publiques dans les rapports annuels présentés devant le Congrès étatsunien sur les dépenses militaires nationales et le réseau des bases militaires situées à l’étranger et aussi dans une série d’analyses de la configuration de cet ensemble dans plusieurs régions du monde.


[acnu-slsj.uqac.ca]

vous y trouverez cette carte [www.unitedforpeace.org] où l'on comprend mieux l'importance de l'Iran dans le projet de domination de la région.

Citation
a écrit:
Un compromis?Non pas nécessaire,les judéo-sionistes continueront de faire comme bon leur semble.Et les Ricains continueront de s'écraser.Ah si,quand même:à l'avenir, ils feront en sorte de ne pas (trop) coloniser pendant la visite d'une grosse légume US.Ils attendront son départ ou ne feront pas d'annonce...

Tu as sûrement raison mais il est clair qu'Israel, déjà isolé, ne peut pas se priver du soutien des EU et vice-versa. J'ai parlé de concessions parce-que justement, ils ne peuvent pas se permettre d'humilier le prix nobel, son prestige joue pour eux.
D
18 mars 2010 19:20
Sur l'"immobilisme" de l'Europe :

Interrogé il y a deux semaines par Le Monde, le président israélien, Shimon Pérès, avait été plus net s'agissant de la place de l'UE: "Quant à être dans la salle des négociations [israélo-américano-palestiniennes], c'est une si petite salle avec tant de participants… ce n'est pas l'objet." "Il n'y a pas de poste vacant", tranche un diplomate israélien.

(...)les relations entre l'Etat juif et l'Europe restent empreintes de méfiance. Israël n'a guère apprécié les conclusions de la présidence suédoise de l'Union, en décembre 2009, critiquant sans ambages l'"annexion illégale" de Jérusalem-Est.

De même, l'adoption, le 10mars, par le Parlement européen, d'une résolution incitant les Vingt-Sept à contrôler l'application des recommandations du rapport Goldstone sur la guerre à Gaza de l'hiver 2008, a été vivement critiquée à Jérusalem.


[www.lemonde.fr]
 
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