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Crise Economique Mondiale cette année semblable à celle de 1929
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27 février 2006 16:40
Le Laboratoire européen d’Anticipation Politique Europe 2020 (LEAP/E2020)
estime désormais à plus de 80% la probabilité que la semaine du 20 au 26
Mars 2006 voit se déclencher la principale crise politique mondiale depuis
la Chute du Rideau de Fer en 1989, accompagnée d’une crise économique et
financière d’une ampleur comparable à celle de 1929. Cette semaine de la
fin Mars 2006 marquera le point d’inflexion d’évolutions critiques,
entraînant une accélération de tous les facteurs conduisant à une crise
majeure, même sans intervention militaire américaine ou israélienne contre
l’Iran. Dans le cas d’une telle intervention, les probabilités d’une crise
majeure, selon LEAP/E2020, atteignent 100%.

Une Alerte fondée sur 2 événements vérifiables
L’annonce de cet événement résulte de l’analyse de décisions prises par les
deux acteurs-clés de la crise internationale principale actuelle que sont
les Etats-Unis et l’Iran :

--> il s’agit d’une part de la décision iranienne d’ouvrir à Téhéran le 20
Mars 2006 la première bourse pétrolière en Euros, ouverte à tous les
producteurs de pétrole de la région ;

--> et d’autre part, de la décision de la Réserve Fédérale américaine
d’arrêter à partir du 23 Mars 2006 de publier les chiffres de M3
(l’indicateur le plus fiable sur la quantité de dollars circulant dans le
monde [1]).

Ces deux décisions constituent à la fois les indices, les causes et les
conséquences de la transition historique en cours entre l’ordre créé après
la 2° Guerre Mondiale et le nouvel état d’équilibre international en
gestation depuis l’effondrement de l’URSS. Leur magnitude comme leur
simultanéité vont agir comme un phénomène catalyseur de toutes les
tensions, faiblesses et déséquilibres accumulés depuis plus d’une décennie
dans le système international.
Une crise mondiale déclinée en 7 crises sectorielles
Les chercheurs et analystes de LEAP/E2020 ont ainsi identifié 7 crises
convergentes que les décisions américaine et iranienne de la semaine du 20
au 26 Mars 2006 vont catalyser en crise globale, affectant toute la planète
dans les domaines politique, économique et financier, et probablement
militaire :

1. Crise de confiance dans le Dollar
2. Crise des déséquilibres financiers américains
3. Crise pétrolière
4. Crise du leadership américain
5. Crise du monde arabo-musulman
6. Crise de la gouvernance mondiale
7. Crise de la gouvernance européenne


L’ensemble du processus d’anticipation de cette crise est détaillé dans le
les prochains numéros du « GlobalEurope Anticipation Bulletin » élaboré par
LEAP/E2020, et en particulier dans le N°2 qui paraît ce 16 Février 2006. Y
figureront les analyses détaillées de chacune de ces sept crises ainsi que
les recommandations pour diverses catégories d’acteurs (notamment
gouvernements et entreprises) et des conseils opérationnels et stratégiques
pour l’Union européenne.


Décryptage de l’événement « Création de la bourse pétrolière iranienne en
Euros »
Cependant, et afin de ne pas limiter cette information aux seuls décideurs,
LEAP/E2020 diffuse largement ce communiqué ainsi que les éléments suivants
issus de ses travaux.
L’ouverture par l’Iran d’une bourse pétrolière libellée en Euros à la fin
mars 2006 marquera la fin du monopole du Dollar sur le marché mondial du
pétrole. Le résultat immédiat sera de nature à bouleverser le marché
mondial des devises puisque les pays producteurs pourront désormais
utiliser l’Euro également pour facturer leur production. Parallèlement, les
pays européens en particulier pourront acheter le pétrole directement dans
leur devise sans passer par le relais du Dollar. Concrètement, dans les
deux cas cela signifie qu’un moins grand nombre d’acteurs économiques aura
besoin d’un moins grand nombre de Dollars [2] . Cette double évolution
s’exercera donc dans le même sens, à savoir celui d’une réduction très
significative de l’importance du Dollar comme monnaie internationale de
réserve, et donc d’un fort affaiblissement, durable, de la devise
américaine en particulier par rapport à l’Euro. Les évaluations les plus
conservatrices placent l’Euro à 1,30 Dollar à la fin 2006. Mais si la crise
est de l’ampleur qu’anticipe LEAP/E2020, les estimations donnant l’Euro à
1,70 Dollars en 2007 ne paraissent plus irréalistes.


Décryptage de l’événement « Suppression de la parution de l’indicateur
macro-économique M3 »
La suppression de la parution de l’indicateur M3 [3] (ainsi que d’autres
indicateurs connexes) par la Réserve Fédérale américaine, décision
fortement critiquée par la communauté des économistes et analystes
financiers, aura pour conséquence, à la même date, de rendre invisibles les
évolutions du nombre de Dollars en circulation dans le monde. On assiste
déjà depuis quelques mois aux Etats-Unis à une forte augmentation de M3 (ce
qui indique que la «planche à billets » [4] tourne déjà un régime élevé à
Washington) ; or le nouveau président de la Réserve Fédérale, Matt
Bernanke, est un adepte déclaré de la « planche à billets » . Comme une
forte baisse du Dollar se traduira probablement par une vente massive de
Bons du Trésor américain détenus en Asie, en Europe ou dans les pays
producteurs de pétrole, LEAP/E2020 estime que la décision américaine de ne
plus publier M3 vise uniquement à cacher le plus longtemps possible deux
décisions américaines, en partie imposées par les choix politiques et
économiques de ces dernières années [5]:


. la monétarisation de la dette US
. le soutien monétaire à l’activité économique américaine.
… et ce au moins jusqu’aux élections « mid-term » d’Octobre 2006 afin
d’éviter une déroute du Parti Républicain.

Cette décision illustre également l’impuissance des autorités monétaires et
financières américaines et internationales face à une situation qui les
conduit à préférer supprimer les indicateurs qu’agir sur la réalité.






Décryptage du facteur-aggravant « Intervention militaire contre l’Iran »
Outre les atouts géostratégiques de l’Iran dans la crise actuelle, qui
notamment lui permettent d’intervenir aisément et avec un impact majeur sur
l’approvisionnement pétrolier de l’Asie et de l’Europe (en bloquant le
Détroit d’Ormuz), sur les conflits en cours en Irak et en Afghanistan, sans
même mentionner le recours éventuel au terrorisme international, le
contexte global de défiance envers Washington crée une situation
particulièrement problématique. Loin de calmer les craintes éventuelles
concernant l’accession de l’Iran au statut de puissance nucléaire, tant en
Asie qu’en Europe [6], une intervention militaire contre l’Iran entraînera
une désolidarisation quasi-immédiate des opinions publiques européennes,
dans un contexte d’absence quasi-complète de crédibilité de Washington sur
ce type de dossiers depuis l’invasion de l’Irak, qui empêchera les
gouvernements européens de faire autre chose que suivre leurs opinions
publiques. Parallèlement, le risque de flambée des cours du pétrole qui
suivrait une telle intervention conduira les pays asiatiques, Chine en
tête, à s’opposer à une telle option, obligeant dans ce cas les Etats-Unis
(ou Israël) à intervenir seuls, sans caution de l’ONU, et ajoutant donc une
grave crise militaire et diplomatique à la crise économique et financière.


Les facteurs pertinents de la crise économique américaine
LEAP/E2020 estime également que ces deux décisions, non officielles, vont
entraîner les Etats-Unis et le monde dans une crise monétaire et
financière, puis économique sans précédent à l’échelle planétaire. La
monétarisation de la dette américaine est en effet un terme très technique
pour décrire une réalité d’une simplicité catastrophique : les Etats-Unis
entreprennent de ne pas rembourser leur dette, ou plus exactement de la
rembourser en « monnaie de singe ». Et ils anticipent une accélération du
processus fin Mars en coïncidence avec le lancement de la Bourse Iranienne
du Pétrole qui ne peut que précipiter les ventes de Bons du Trésor US par
leurs détenteurs non américains.




A ce propos, il est utile de méditer l’information suivante [7] : la part
de la dette du gouvernement américain possédée par les banques américaines
est tombée à 1,7% en 2004, alors qu’elle était de 18% en 1982.
Parallèlement la part de cette même dette détenue par les opérateurs
étrangers est passée de 17% en 1982 à 49%.
--> Question: Comment se fait-il que ces dernières années les banques
américaines se soient débarrassées de presque toute leur part de la dette
publique américaine ?





Parallèlement, afin d’essayer d’éviter en interne l’explosion de la « bulle
immobilière », sur laquelle repose l’essentiel de la consommation des
ménages américains, et à un moment où le taux d’épargne américain est
devenu négatif pour la première fois depuis 1932 et 1933 (au creux de la «
Grande Dépression »), l’administration Bush, en partenariat avec le nouveau
patron de la Fed, adepte de cette approche monétaire, va inonder le marché
américain de liquidités.


Quelques effets attendus de cette rupture systémique
Pour LEAP/E2020, la conjonction, non accidentelle, des décisions iranienne
et américaine, marque donc une étape décisive dans le déclenchement d’une
crise systémique marquant la fin de l’ordre international tel que constitué
après la Deuxième Guerre Mondiale et se caractérisera notamment d’ici la
fin 2006 par une chute brutale de la valeur du Dollar US (pouvant conduire
à 1 Euro = 1,70 Dollars en 2007) et une pression à la hausse immense sur
l’Euro, une hausse importante du prix du pétrole (plus de 100$ le baril),
une aggravation de la situation militaire américaine et britannique au
Moyen-Orient, une crise budgétaire, financière et économique américaine
comparable par son ampleur à celle de 1929, des conséquences économiques et
financières très graves pour l’Asie en particulier (et notamment la Chine)
mais aussi pour le Royaume-Uni [8], un arrêt brutal du processus économique
de globalisation, un effondrement de l’axe transatlantique et une montée
générale connexe de tous les dangers politiques intérieurs et extérieurs
sur l’ensemble du globe.

Pour le particulier détenteur de Dollars, comme pour l’entreprise
transnationale ou les décideurs politiques et administratifs, les
conséquences de cette semaine de la fin Mars 2006 seront cruciales. Ils
impliquent dès aujourd’hui de prendre des décisions difficiles (anticiper
une crise est toujours un acte complexe puisqu’il se fonde sur un pari)
mais urgentes car une fois la crise déclenchée, c’est le « sauve-qui-peut »
général, et l’échec assuré pour ceux qui auront choisi d’attendre.
Pour les particuliers, le choix s’impose de lui-même : le dollar n’est plus
une valeur refuge. La montée vertigineuse de l’or depuis un an prouve
d’ailleurs que nombreux sont ceux qui ont anticipé cette évolution de la
monnaie américaine.


Anticiper… ou être balayé par les vents de l’histoire
Pour les entreprises et les gouvernements, en particulier européens,
LEAP/E2020 développe dans sa lettre confidentielle – le GlobalEurope
Anticipation Bulletin -, et en particulier dans le N° 2 paru le 16 février,
une série de recommandations stratégiques et opérationnelles qui, si elles
sont intégrées dans le processus décisionnel dès aujourd’hui, peuvent
permettre d’amortir considérablement le « tsunami monétaire, financier et
économique » qui va commencer à déferler sur la planète à la fin du mois
prochain. Pour prendre une image simple, qui est d’ailleurs directement
issue du scénario d’anticipation politique « USA 2010 » [9], les évènements
de la semaine du 20 au 26 Mars 2006 seront comparables en termes d’impact
sur l’ « Occident » tel qu’on le connaît depuis 1945, à celui de la Chute
du Rideau de Fer en 1989 sur le « bloc soviétique ».


Si cette Alerte est si précise, c’est qu’à ce stade de ses analyses,
LEAP/E2020 estime désormais que tous les scénarios envisageables conduisent
à une seule et même conclusion : nous approchons collectivement d’un « nœud
historique » qui est dorénavant inévitable quelle que soit l’action des
acteurs internationaux ou nationaux. A ce stade, seule une action directe
et immédiate de l’administration américaine visant d’une part à empêcher
une confrontation militaire avec l’Iran, et d’autre part, à ne pas «
monétariser » la dette extérieure des Etats-Unis, pourrait changer le cours
des évènements. Pour LEAP/E2020 il est évident que non seulement une telle
action ne sera pas entamée par les dirigeants actuels à Washington, mais
qu’au contraire ils ont déjà choisi de « forcer le destin » en se
défaussant de leurs problèmes économiques et financiers sur le reste du
monde. Les gouvernements européens notamment doivent en tirer très
rapidement les conséquences.


Pour information, la méthode d’anticipation politique de LEAP/E2020 a
notamment permis à plusieurs de ses experts d’anticiper (et de publier) :
dès 1988, la prochaine fin du Rideau de Fer ; dès 1997, l’effondrement
progressif de la capacité d’action et la légitimité démocratique du système
communautaire ; dès 2002, de prévoir l’enlisement US en Irak et surtout
l’effondrement durable de la crédibilité internationale américaine ; dès
2003, d’anticiper l’échec des referenda sur la Constitution européenne. Sa
méthodologie d’anticipation des « ruptures systémiques » étant désormais
bien établie, il apparaît de notre devoir de chercheurs et de citoyens d’en
faire part aux citoyens et aux décideurs européens en particulier ; surtout
que pour beaucoup d’acteurs individuels ou collectifs, privés ou publics,
il est encore temps d’agir afin de réduire de manière significative
l’impact de cette crise sur leurs positions qu’elles soient économiques,
politiques ou financières.


L’analyse complète développée par LEAP/E2020 ainsi que ses recommandations
stratégiques et opérationnelles à destination des acteurs privés et
publics, seront présentées dans les prochains numéros du GlobalEurope
Anticipation Bulletin, et plus particulièrement dans son N°2 (parution 16
Février 2006).


---------------------------------
1. Ces décisions ont été prises il y a déjà plusieurs mois :
. les informations sur la création par le gouvernement iranien d’une bourse
pétrolière en euro
(http://www.mehrnews.com/en/NewsDetail.aspx?NewsID=260851 )ont commencé à
être citées par la presse spécialisée dès l’été 2004.
. la Réserve fédérale a annoncé le 10 Novembre 2005 qu’elle cesserait de
publier les informations concernant M3 à partir du 23 Mars 2006 :
[www.federalreserve.gov]

2. Il est intéressant de noter en consultant le tableau 13B des
statistiques financières de Décembre 2005 de la Banque des Règlements
Internationaux intitulé International Bonds and Notes (in billions of US
dollars), by currency ), qu’à la fin de 2004 (hors Chine), 37.0% des actifs
financiers internationaux étaient labellés en Dollars US contre 46,8% en
Euros ; alors qu’en 2000, la proportion était inverse avec 49,6% labellés
en Dollars US et seulement 30,1% en Euros. Cela indique que les décisions
de fin mars 2006 ne vont faire qu’accélérer une tendance de fuite hors du
Dollar qui est déjà en cours.

3. Les agrégats monétaires (M1, M2, M3, M4) sont des indicateurs
statistiques économiques. M0 est la valeur d’une monnaie, en l’occurrence
le Dollar, qui existe sous forme de billets et de pièces. M1 représente M0
plus les comptes bancaires dans cette monnaie. M2 est constitué de M1 plus
les dépôts d’épargne et les certificats de dépôts (CD) inférieur à
100.000$. M3 comprend M2 plus les dépôts à terme au sens large (réserves
d’Eurodollars, instruments financiers plus importants ainsi que la plupart
des réserves des pays non-Européens) de 100 000 dollars ou plus. L’élément
décisif, c’est donc qu’avec la fin de la publication de M3 par la Réserve
fédérale américaine, le monde entier perdra toute visibilité sur la valeur
des réserves en Dollars par les autres pays et les institutions financières
majeures.

4. Voir son discours éloquent sur ce sujet devant le Club des Economistes à
Washington DC en Novembre 2002
(http://www.federalreserve.gov/boarddocs/speeches/2002/20021121/default.htm )

5. L’évolution prévisible des taux d’intérêts aux Etats-Unis et dans la
zone Euro indique d’ailleurs que la hausse des taux d’intérêts américains
est en phase finale alors qu’elle commence dans la zone Euro. Cela réduira
d’autant l’attractivité du Dollar par rapport à l’Euro. Il faut noter que
l’évolution à la hausse du Dollar en 2005 a été essentiellement nourrie par
ce différentiel de taux d’intérêts favorable au Dollar, et par la loi de
rapatriement des avoirs américains à l’étranger (valable uniquement pour
une année) qui a fait revenir plus de 200 milliards $ aux Etats-Unis au
cours de l’année 2005.
(source : CNNmoney.com
[money.cnn.com])

6. Et en ce qui concerne l’Europe, LEAP/E2020 souligne que les
gouvernements européens ne sont plus en phase avec leurs opinions publiques
sur les grands sujets, en particulier concernant l’intérêt collectif
européen. Le GlobalEuromètre de Janvier 2006 souligne d’ailleurs très bien
cette situation avec un indice TIDE-Légitimité à 8% (qui indique que pour
92% des sondés les dirigeants de l’UE ne représentent pas leurs intérêts
collectifs) et un indice TIDE-Action à 24% (qui indique que moins d’un
sondé sur 4 pense que les dirigeants européens sont capables de traduire
leurs décisions en actions concrètes). Selon LEAP/E2020, les déclarations
publiques de soutien à Washington venues de Paris, Berlin ou Londres ne
doivent pas cacher le fait que les Européens se désolidariseront très vite
des Etats-Unis en cas d’attaque militaire (le GlobalEurometre est un
indicateur d’opinion européenne publiant chaque mois dans le GlobalEurope
Anticipation Bulletin 3 chiffres dont 2 sont publics).

7.(source : Bond Market Association,
[www.dailykos.com] )


8. Le Royaume-Uni est en effet détenteur de près de 3.000 milliards de
créances en $, soit près du triple de pays comme la France ou le Japon.
(source Banque des Règlements Internationaux, Table 9A, Consolidated Claims
of Reporting Banks on Individual Countries )

9. Cf. GlobalEurope Anticipation Bulletin N°1 (January 2006)
a
27 février 2006 19:33
salam
merci beaucoup pour l'info issi
C
27 février 2006 20:01
Merci infiniment Issi pour cet article fort interessant.

Peux tu citer la source STP?
a
27 février 2006 20:43
dur pour le moral!
une guerre se prépare certainement contre l'Iran.Mais l'Iran, seule, ne tiendra pas longtemps devant une alliance militaire isrealo-americain.
Certes l'impact sur l'economie mondiale sera enorme, au moins pour 5 ans.
La guerre de croisade "judeo-chretienne" ou petrol-predominance israelo-americain a commencé.
D
27 février 2006 20:52
Salam,


S'ils s'amusent à faire une guerre, je pari que le prix du brut sera doublé, surtout si cette guerre durerai longtemps et ça je suis sur qu'elle depassera largement les 3 mois.
Ce qui aura soit pour consequence de faire un mega choc petrolier, et à terme provoquer, une sale recession, avec deflation, chomage et tout le tral la la.
[hr] [b][center]Si perçante soit la vue, on ne se voit jamais de dos[/center][/b][b]Boycottez pour la paix !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! [color=#FF0000]Boycottez!!!!!!!!![/color][color=#FFFFFF]!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!![/color] [color=#009900]Boycottez pour les enfants de Gaza!!!!!![/color][/b]
H
27 février 2006 21:32
Sombres prédictions...
Si ca se produit ça aurait permettrait : bach n3wadou t3azila ... smiling smiley
H
27 février 2006 21:49
Ça me rappelle les prophéties auto-réalistatices. Si on dit que le dollars va s'efendrer et que tout le monde vend sont dollar et ben il va effectivement s'effondrer.


C'est arrivé à L.A dans les années 80. On a annoncé à la radio qu'il y aurait penurie d'essence, tout le monde s'est rué vers les stations services et a cause de ça il y a eu penurie d'essence.
 
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