Le site Oumma.com relève que le président du CRIF a fait pression sur le père de Abel Chennouf pour qu'il abandonne ses poursuite contre le directeur de la DCRI, Squacini.
Le site se demande aussi comment Sifaoui a pu avoir accès au dossier de l'instruction et aux notes de la DCRI.
La réponse semble couler de source. Tant qu'on n'arrivera pas à nous expliquer comment Merah a pu parcourir le monde entier et se faire arrêter en Afghanistan et en Israël puis revenir en France pour s'entretenir avec la DCRI, il y aura anguille sous roche. Biensûr, l'histoire de la soeur de Merah est du pain béni pour focaliser l'attention sur ses propos et non sur le fond de l'enquête.
Pour résumer, Merah = agent des services secrets français qui s'est retourné contre eux.
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