Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
Cours de français pour immigré hongrois?
C
23 mars 2009 09:25
"En pleine Semaine de la langue française, le chef de l’Etat a gratifié ses auditeurs de quelques belles fautes de français. Involontaires ou calculées" écrit Le Parisien/Aujourd'hui en France.
"Bonnet d’âne, l’élève Nicolas Sarkozy ? Puristes de la grammaire et amoureux des belles lettres sont mis à la torture. En effet, à force de parler tous les jours, ou presque, le président commet parfois de redoutables fautes."
"Furieux contre ceux qui critiquent le bouclier fiscal, il s’est laissé aller mardi à un joli « télescopage syntaxique » devant des ouvriers d’Alstom, dans le Doubs : « Si y en a que ça les démange d’augmenter les impôts… » Ou, le même jour, à propos des études des élites : « On se demande c’est à quoi ça leur a servi ? »…"

"Sarkozy est aussi fâché avec les négations : « J’écoute, mais je tiens pas compte ! » (Provins, le 20 janvier.) Il prend des libertés avec les accords : « On commence par les infirmières parce qu’ils sont les plus nombreux » (Rambouillet, le 13 mars.) Sans compter quand il mange les mots (« ch’ais pas », « ch’uis », « m’enfin », « y a ») ou s’abandonne à un tutoiement intempestif (« Attends, attends ! »)."

"Sarkozy, ancien avocat, est pourtant un tribun hors pair, virtuose du langage. Le plus souvent, c’est dans les usines qu’il se lâche. Chez les linguistes, on s’interroge : faut-il y voir de l’empathie avec son public ou une stratégie pour « faire peuple » ? « Il s’exprime comme un homme de la rue. C’est un langage de publicitaire, fait pour frapper », déplore Fanny Capel, du collectif Sauver les lettres."

[www.arretsurimages.net]
l
23 mars 2009 10:56
En espérant que sa carrière ne soit pas aussi longue que celle de Johnny "a que merci".
b
23 mars 2009 11:10
Que peut on attendre d'une réincarnation multiple de Nicolaï ceausescu, Amine Dada, Saddam et un peu de Bush ?
On à les dirigeants qu'on mérite !
Ainsi les Roumis qui nous brimaient et nous abaissaient alors qu'on reconstruisait leur pays sont aujourd'hui matés par un sous produit de l'immigration est-européenne.
Ils ont mangé leur pain blanc, la crise leur fait plus de mal qu'à nous car nous pouvons prolonger le Ramadhan plus d'un mois dans l'année tandis qu'ils sont esclaves de "l'kerch dyaleye popping smileyum".
 
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook