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Baphomet a écrit:
Forcément, qu'il ne peut être que fou ! mais un fou méticuleux qui s'attaquait à des personnes précises !
J'ai oui dire également que ceux qui voulaient se convertir au christianisme avait de gros soucis à se faire en Egypte !
De même, les coptes restent interdits de certains postes et métiers, eux qui sont les premiers installés en Egypte bien avant l'avénement de l'islam
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srnit a écrit:
Salam,
J'ai vu une partie du reportage sur 7 à 8 sur les coptes d'Egypte.
Voilà le fait, un type a fait le tour des églises et a tué un maximum de personnes avant d'être arreté.
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srnit a écrit:
Salam,
J'ai vu une partie du reportage sur 7 à 8 sur les coptes d'Egypte.
Voilà le fait, un type a fait le tour des églises et a tué un maximum de personnes avant d'être arreté.
Tel que présenté par le reportage :
- ce type est un illuminé fanatique et un dignitaire copte disait craindre que la religion passe avant la nation.
- un copte a dit que les chrétiens avait une vie assez difficile, qu'ils étaient exclus de bcp d'emplois et qu'il y a de la discrimination contre eux.
De l'autre côté, j'ai une version qui rapporte que le tueur était un malade qui avait arrêté son traitement depuis plusieurs semaines et que son carnage n'a rien avoir avec la religion. Et on m'a dit également que les coptes vivent très bien, ils ont de très bonnes relations avec al azhar^et ils n'ont pas de problème ...
On m'a même dit qu'un copte qui veut se convertir à l'islam risque gros du fait de l'influence des coptes.
Bref, c'est flou entre ce que dit TF1, ce qu'on me dit ...
Est ce qu'il y a des gens qui ont vécu là bas ou qui ont des infos digne de foi.
Merci
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l'européen a écrit:
rien ne semble arréter le depart des chretiens des pays arabes. les coptes sont victimes de ségrégations et c'est pas un article ecrit par un exalté sous le coup de la colére qui demantrera le contraire.
méme en palestine le nombre de chretiens candidat au depart s'éléve malgré ce que disent certains.
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l'européen a écrit:
j'en pense que les chiffres des emigrants chretiens sont ce qu'ils sont, ne t'en déplaise.
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a écrit:
L'hommage de la Bosnie à deux soldats français morts le 27 mai 1995
Par Sulejman Tihic
27 mai 2006,
Il y a onze ans, le 27 mai 1995, deux soldats français, le caporal Marcel Amaru et le marsouin Jacky Humblot, ont donné leurs vies pour la paix sur le pont Vrbanja dans Sarajevo assiégée. Leur action a représenté un tournant décisif dans le comportement des unités de maintien de la paix de la communauté internationale. D'observateurs passifs des souffrances des citoyens bosniaques, celles-ci sont devenues des forces actives de rétablissement de la paix. Les soldats Humblot et Amaru sont ainsi devenus, d'une certaine façon, le symbole des 84 soldats français qui ont donné leur vie pour la paix en Bosnie-Herzégovine. Leur courage, leur détermination et leur sens du devoir ont contribué à l'établissement de la paix dans notre pays. Ils resteront à jamais gravés dans nos mémoires. Nous n'oublierons pas non plus la mobilisation fantastique des citoyens français et leur soutien à notre pays pendant les moments les plus difficiles de la guerre.
Aujourd'hui, dix ans après les accords de Dayton, nous pouvons dire que le sacrifice des soldats français n'a pas été inutile, car la paix établie n'a jamais été remise en question. La Bosnie-Herzégovine se trouve sur le chemin des intégrations euroatlantiques. Nous sommes en train de mettre en place un grand nombre de réformes capitales. Nous rétablissons une société multiethnique basée sur l'unité dans les diversités et sur une longue tradition de nos peuples à vivre ensemble. Nous avons réussi à assurer la stabilité macro-économique de notre pays, avec un taux d'inflation comparable à ceux de l'Union européenne. Notre monnaie est la plus stable de la région.
Il y a seulement 10 ans, le monde envoyait ses soldats pour nous aider à rétablir la paix et la stabilité. Aujourd'hui, c'est la Bosnie-Herzégovine qui envoie ses soldats dans les missions de paix à travers le monde. Nous pensons être en mesure de signer l'accord de stabilisation et d'association avec l'Union européenne d'ici à la fin de l'année 2006. Nous espérons également devenir un Etat membre à part entière de l'Otan en 2008. L'Adhésion de la Bosnie-Herzégovine à l'Union européenne et à l'Otan est la plus haute priorité de notre politique étrangère. Les réformes délicates et ambitieuses que nous avons accomplies jusqu'à présent, comme la réforme de la défense, du système fiscal, des systèmes des renseignements, etc. attestent d'elles-mêmes notre volonté et notre sérieux et nous conduisent à l'optimisme. Nous pensons d'autre part que ces conditions et critères d'adhésion à la grande famille européenne doivent être identiques pour chaque pays candidat. Nous soutenons donc vigoureusement la France et l'Union européenne dans cette optique.
Ce point de vue prend notamment tout son sens quand il s'agit de la coopération avec le Tribunal Pénal International de La Haye, à savoir quand il s'agit de l'arrestation des criminels de guerre. La question des crimes de guerre et de leurs auteurs est essentielle, non seulement pour la Bosnie-Herzégovine, mais aussi pour toute la région. Sur notre chemin européen, nous comptons à nouveau beaucoup sur le soutien de nos amis parmi lesquels la France et l'ensemble de ses citoyens occupent une place importante. Votre appui et vos conseils sont précieux et appréciés.
L'amitié entre la Bosnie-Herzégovine et la France est ancienne. Il y a deux cents ans que la France a nommé son premier consul en Bosnie-Herzégovine, à Travnik. La France a été le premier pays a avoir accrédité son ambassadeur en Bosnie-Herzégovine indépendante, en juillet 1993, sous les bombes. Les Sarajéviens n'oublieront jamais que le premier ambassadeur français, M. Henri Jacolin, a partagé avec eux les jours les plus difficiles dans Sarajevo assiégée.
* Président de la présidence collégiale de Bosnie-Herzégovine.
Il y a onze ans, le 27 mai 1995, deux soldats français, le caporal Marcel Amaru et le marsouin Jacky Humblot, ont donné leurs vies pour la paix sur le pont Vrbanja dans Sarajevo assiégée. Leur action a représenté un tournant décisif dans le comportement des unités de maintien de la paix de la communauté internationale. D'observateurs passifs des souffrances des citoyens bosniaques, celles-ci sont devenues des forces actives de rétablissement de la paix. Les soldats Humblot et Amaru sont ainsi devenus, d'une certaine façon, le symbole des 84 soldats français qui ont donné leur vie pour la paix en Bosnie-Herzégovine. Leur courage, leur détermination et leur sens du devoir ont contribué à l'établissement de la paix dans notre pays. Ils resteront à jamais gravés dans nos mémoires. Nous n'oublierons pas non plus la mobilisation fantastique des citoyens français et leur soutien à notre pays pendant les moments les plus difficiles de la guerre.
Aujourd'hui, dix ans après les accords de Dayton, nous pouvons dire que le sacrifice des soldats français n'a pas été inutile, car la paix établie n'a jamais été remise en question. La Bosnie-Herzégovine se trouve sur le chemin des intégrations euroatlantiques. Nous sommes en train de mettre en place un grand nombre de réformes capitales. Nous rétablissons une société multiethnique basée sur l'unité dans les diversités et sur une longue tradition de nos peuples à vivre ensemble. Nous avons réussi à assurer la stabilité macro-économique de notre pays, avec un taux d'inflation comparable à ceux de l'Union européenne. Notre monnaie est la plus stable de la région.
Il y a seulement 10 ans, le monde envoyait ses soldats pour nous aider à rétablir la paix et la stabilité. Aujourd'hui, c'est la Bosnie-Herzégovine qui envoie ses soldats dans les missions de paix à travers le monde. Nous pensons être en mesure de signer l'accord de stabilisation et d'association avec l'Union européenne d'ici à la fin de l'année 2006. Nous espérons également devenir un Etat membre à part entière de l'Otan en 2008. L'Adhésion de la Bosnie-Herzégovine à l'Union européenne et à l'Otan est la plus haute priorité de notre politique étrangère. Les réformes délicates et ambitieuses que nous avons accomplies jusqu'à présent, comme la réforme de la défense, du système fiscal, des systèmes des renseignements, etc. attestent d'elles-mêmes notre volonté et notre sérieux et nous conduisent à l'optimisme. Nous pensons d'autre part que ces conditions et critères d'adhésion à la grande famille européenne doivent être identiques pour chaque pays candidat. Nous soutenons donc vigoureusement la France et l'Union européenne dans cette optique.
Ce point de vue prend notamment tout son sens quand il s'agit de la coopération avec le Tribunal Pénal International de La Haye, à savoir quand il s'agit de l'arrestation des criminels de guerre. La question des crimes de guerre et de leurs auteurs est essentielle, non seulement pour la Bosnie-Herzégovine, mais aussi pour toute la région. Sur notre chemin européen, nous comptons à nouveau beaucoup sur le soutien de nos amis parmi lesquels la France et l'ensemble de ses citoyens occupent une place importante. Votre appui et vos conseils sont précieux et appréciés.
L'amitié entre la Bosnie-Herzégovine et la France est ancienne. Il y a deux cents ans que la France a nommé son premier consul en Bosnie-Herzégovine, à Travnik. La France a été le premier pays a avoir accrédité son ambassadeur en Bosnie-Herzégovine indépendante, en juillet 1993, sous les bombes. Les Sarajéviens n'oublieront jamais que le premier ambassadeur français, M. Henri Jacolin, a partagé avec eux les jours les plus difficiles dans Sarajevo assiégée.
* Président de la présidence collégiale de Bosnie-Herzégovine.
Il y a onze ans, le 27 mai 1995, deux soldats français, le caporal Marcel Amaru et le marsouin Jacky Humblot, ont donné leurs vies pour la paix sur le pont Vrbanja dans Sarajevo assiégée. Leur action a représenté un tournant décisif dans le comportement des unités de maintien de la paix de la communauté internationale. D'observateurs passifs des souffrances des citoyens bosniaques, celles-ci sont devenues des forces actives de rétablissement de la paix. Les soldats Humblot et Amaru sont ainsi devenus, d'une certaine façon, le symbole des 84 soldats français qui ont donné leur vie pour la paix en Bosnie-Herzégovine. Leur courage, leur détermination et leur sens du devoir ont contribué à l'établissement de la paix dans notre pays. Ils resteront à jamais gravés dans nos mémoires. Nous n'oublierons pas non plus la mobilisation fantastique des citoyens français et leur soutien à notre pays pendant les moments les plus difficiles de la guerre.
Aujourd'hui, dix ans après les accords de Dayton, nous pouvons dire que le sacrifice des soldats français n'a pas été inutile, car la paix établie n'a jamais été remise en question. La Bosnie-Herzégovine se trouve sur le chemin des intégrations euroatlantiques. Nous sommes en train de mettre en place un grand nombre de réformes capitales. Nous rétablissons une société multiethnique basée sur l'unité dans les diversités et sur une longue tradition de nos peuples à vivre ensemble. Nous avons réussi à assurer la stabilité macro-économique de notre pays, avec un taux d'inflation comparable à ceux de l'Union européenne. Notre monnaie est la plus stable de la région.
Il y a seulement 10 ans, le monde envoyait ses soldats pour nous aider à rétablir la paix et la stabilité. Aujourd'hui, c'est la Bosnie-Herzégovine qui envoie ses soldats dans les missions de paix à travers le monde. Nous pensons être en mesure de signer l'accord de stabilisation et d'association avec l'Union européenne d'ici à la fin de l'année 2006. Nous espérons également devenir un Etat membre à part entière de l'Otan en 2008. L'Adhésion de la Bosnie-Herzégovine à l'Union européenne et à l'Otan est la plus haute priorité de notre politique étrangère. Les réformes délicates et ambitieuses que nous avons accomplies jusqu'à présent, comme la réforme de la défense, du système fiscal, des systèmes des renseignements, etc. attestent d'elles-mêmes notre volonté et notre sérieux et nous conduisent à l'optimisme. Nous pensons d'autre part que ces conditions et critères d'adhésion à la grande famille européenne doivent être identiques pour chaque pays candidat. Nous soutenons donc vigoureusement la France et l'Union européenne dans cette optique.
Ce point de vue prend notamment tout son sens quand il s'agit de la coopération avec le Tribunal Pénal International de La Haye, à savoir quand il s'agit de l'arrestation des criminels de guerre. La question des crimes de guerre et de leurs auteurs est essentielle, non seulement pour la Bosnie-Herzégovine, mais aussi pour toute la région. Sur notre chemin européen, nous comptons à nouveau beaucoup sur le soutien de nos amis parmi lesquels la France et l'ensemble de ses citoyens occupent une place importante. Votre appui et vos conseils sont précieux et appréciés.
L'amitié entre la Bosnie-Herzégovine et la France est ancienne. Il y a deux cents ans que la France a nommé son premier consul en Bosnie-Herzégovine, à Travnik. La France a été le premier pays a avoir accrédité son ambassadeur en Bosnie-Herzégovine indépendante, en juillet 1993, sous les bombes. Les Sarajéviens n'oublieront jamais que le premier ambassadeur français, M. Henri Jacolin, a partagé avec eux les jours les plus difficiles dans Sarajevo assiégée.
* Président de la présidence collégiale de Bosnie-Herzégovine.
Il y a onze ans, le 27 mai 1995, deux soldats français, le caporal Marcel Amaru et le marsouin Jacky Humblot, ont donné leurs vies pour la paix sur le pont Vrbanja dans Sarajevo assiégée. Leur action a représenté un tournant décisif dans le comportement des unités de maintien de la paix de la communauté internationale. D'observateurs passifs des souffrances des citoyens bosniaques, celles-ci sont devenues des forces actives de rétablissement de la paix. Les soldats Humblot et Amaru sont ainsi devenus, d'une certaine façon, le symbole des 84 soldats français qui ont donné leur vie pour la paix en Bosnie-Herzégovine. Leur courage, leur détermination et leur sens du devoir ont contribué à l'établissement de la paix dans notre pays. Ils resteront à jamais gravés dans nos mémoires. Nous n'oublierons pas non plus la mobilisation fantastique des citoyens français et leur soutien à notre pays pendant les moments les plus difficiles de la guerre.
Aujourd'hui, dix ans après les accords de Dayton, nous pouvons dire que le sacrifice des soldats français n'a pas été inutile, car la paix établie n'a jamais été remise en question. La Bosnie-Herzégovine se trouve sur le chemin des intégrations euroatlantiques. Nous sommes en train de mettre en place un grand nombre de réformes capitales. Nous rétablissons une société multiethnique basée sur l'unité dans les diversités et sur une longue tradition de nos peuples à vivre ensemble. Nous avons réussi à assurer la stabilité macro-économique de notre pays, avec un taux d'inflation comparable à ceux de l'Union européenne. Notre monnaie est la plus stable de la région.
Il y a seulement 10 ans, le monde envoyait ses soldats pour nous aider à rétablir la paix et la stabilité. Aujourd'hui, c'est la Bosnie-Herzégovine qui envoie ses soldats dans les missions de paix à travers le monde. Nous pensons être en mesure de signer l'accord de stabilisation et d'association avec l'Union européenne d'ici à la fin de l'année 2006. Nous espérons également devenir un Etat membre à part entière de l'Otan en 2008. L'Adhésion de la Bosnie-Herzégovine à l'Union européenne et à l'Otan est la plus haute priorité de notre politique étrangère. Les réformes délicates et ambitieuses que nous avons accomplies jusqu'à présent, comme la réforme de la défense, du système fiscal, des systèmes des renseignements, etc. attestent d'elles-mêmes notre volonté et notre sérieux et nous conduisent à l'optimisme. Nous pensons d'autre part que ces conditions et critères d'adhésion à la grande famille européenne doivent être identiques pour chaque pays candidat. Nous soutenons donc vigoureusement la France et l'Union européenne dans cette optique.
Ce point de vue prend notamment tout son sens quand il s'agit de la coopération avec le Tribunal Pénal International de La Haye, à savoir quand il s'agit de l'arrestation des criminels de guerre. La question des crimes de guerre et de leurs auteurs est essentielle, non seulement pour la Bosnie-Herzégovine, mais aussi pour toute la région. Sur notre chemin européen, nous comptons à nouveau beaucoup sur le soutien de nos amis parmi lesquels la France et l'ensemble de ses citoyens occupent une place importante. Votre appui et vos conseils sont précieux et appréciés.
L'amitié entre la Bosnie-Herzégovine et la France est ancienne. Il y a deux cents ans que la France a nommé son premier consul en Bosnie-Herzégovine, à Travnik. La France a été le premier pays a avoir accrédité son ambassadeur en Bosnie-Herzégovine indépendante, en juillet 1993, sous les bombes. Les Sarajéviens n'oublieront jamais que le premier ambassadeur français, M. Henri Jacolin, a partagé avec eux les jours les plus difficiles dans Sarajevo assiégée.
* Président de la présidence collégiale de Bosnie-Herzégovine.
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Aujourd'hui, dix ans après les accords de Dayton, nous pouvons dire que le sacrifice des soldats français n'a pas été inutile, car la paix établie n'a jamais été remise en question. La Bosnie-Herzégovine se trouve sur le chemin des intégrations euroatlantiques. Nous sommes en train de mettre en place un grand nombre de réformes capitales. Nous rétablissons une société multiethnique basée sur l'unité dans les diversités et sur une longue tradition de nos peuples à vivre ensemble. Nous avons réussi à assurer la stabilité macro-économique de notre pays, avec un taux d'inflation comparable à ceux de l'Union européenne. Notre monnaie est la plus stable de la région.
Il y a seulement 10 ans, le monde envoyait ses soldats pour nous aider à rétablir la paix et la stabilité. Aujourd'hui, c'est la Bosnie-Herzégovine qui envoie ses soldats dans les missions de paix à travers le monde. Nous pensons être en mesure de signer l'accord de stabilisation et d'association avec l'Union européenne d'ici à la fin de l'année 2006. Nous espérons également devenir un Etat membre à part entière de l'Otan en 2008. L'Adhésion de la Bosnie-Herzégovine à l'Union européenne et à l'Otan est la plus haute priorité de notre politique étrangère. Les réformes délicates et ambitieuses que nous avons accomplies jusqu'à présent, comme la réforme de la défense, du système fiscal, des systèmes des renseignements, etc. attestent d'elles-mêmes notre volonté et notre sérieux et nous conduisent à l'optimisme. Nous pensons d'autre part que ces conditions et critères d'adhésion à la grande famille européenne doivent être identiques pour chaque pays candidat. Nous soutenons donc vigoureusement la France et l'Union européenne dans cette optique.
Ce point de vue prend notamment tout son sens quand il s'agit de la coopération avec le Tribunal Pénal International de La Haye, à savoir quand il s'agit de l'arrestation des criminels de guerre. La question des crimes de guerre et de leurs auteurs est essentielle, non seulement pour la Bosnie-Herzégovine, mais aussi pour toute la région. Sur notre chemin européen, nous comptons à nouveau beaucoup sur le soutien de nos amis parmi lesquels la France et l'ensemble de ses citoyens occupent une place importante. Votre appui et vos conseils sont précieux et appréciés.
L'amitié entre la Bosnie-Herzégovine et la France est ancienne. Il y a deux cents ans que la France a nommé son premier consul en Bosnie-Herzégovine, à Travnik. La France a été le premier pays a avoir accrédité son ambassadeur en Bosnie-Herzégovine indépendante, en juillet 1993, sous les bombes. Les Sarajéviens n'oublieront jamais que le premier ambassadeur français, M. Henri Jacolin, a partagé avec eux les jours les plus difficiles dans Sarajevo assiégée.
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