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.....

un soir, ils décidèrent d’aller voir d’un peu plus près ce qui se tramait dans la cour d’El-Mansour.
La nuit était déjà tombé lorsqu’ils s’approchèrent de la maison du plâtrier. Le vent du soir apportait à leurs oreilles des bruits bizarres.. comme celui d’un marteau qui frapperait le fer. Affûterait-il sa faucille ou réparerait-il le collier de son âne en pleine nuit ?
Ahmed et Rachid atteignirent le mur qui surplombait l’atelier pour s’en assurer. Le premier s’adressa au second :
_Monte sur mes épaules, et vois ce qui se passe !
Quelques minutes après,lorsque Rachid descendit de son perchoir improvisé, il ne put prononcer que quelques mots :
_Tu ne vas pas me croire, vois par toi-même !
Ahmed grimpa à son tour sur les épaules de son acolyte . et il ne quitta pas El-Mansour des yeux. Celui-ci sortait un grand récipient de terre cuite de son four qui crachait un feu d’enfer. A l’aide d’un crochet, il fit basculer le récipient et un liquide brillant s’en échappa pour s’écouler lentement dans un moule. Puis El-Mansour laissa tomber dans le liquide en fusion une petite pierre qui étincelait comme une étoile. Un bouillonnement puis plus rien. Le plâtrier saisit alors son marteau et cassa le moule et… stupéfaction ! il en dégagea un magnifique lingot d’or qui luisait à la lumière des flammes de son four !
Ahmed, tout comme Rachid, avait entendu parler des alchimistes, des hakims, mais il doutait un peu de leur existence…. Et voilà qu’il découvrait un faiseur d’or, là, à deux pas de chez lui !
Qu’allaient-ils décider ? Oublier ce qu’ils avaient vu ? Impossible ! Répandre la nouvelle dans toute la ville ? Pourquoi pas ! Mais une troisième possibilité s’offrait à eux et ils se mirent d’acord....





Modifié 1 fois. Dernière modification le 12/09/05 14:32 par rifia1.

ok je patienterait tu on a de la chance d'avoir des livres comme ca moi je suis une grande fan de livres parreilles au football.

salam**


la suite , la suite , la suite...............

je suis comme une petite fille, écoutant attentivement ton histoire, c'est merveilleux et c'est super bien écris, j'ai l'eau a la bouche si je peux me le permettre, j'attends avec impatience la suite de cette histoire

en tt cas merci! de patager ca avec nous

je vous remercie de votre soutient

laila K === moi aussi je suis comme une petite fille lorsque je dévore ces contes



voici la suite mes ami(e)s


""""Pourquoi pas ! Mais une troisième possibilité s’offrait à eux et ils se mirent d’acord.... """""



ils comptaient bien profiter d’une incroyable découverte, connue d’eux seuls !

Dès le lendemain, ils frappèrent à la porte de leur voisin .. ( ahhh les chayatines )

_Que le salut soit sur toi ! Et que Dieu te protège ! dirent-ils d’une même voix à El-Mansour qui se garda bien de les introduire chez lui .

_Que Dieu vous protège également ! Que puis-je faire pour vous ?
_Pardonne notre curiosité, mais nous avons vu ton âne l’autre jour et tu transportais de drôles de choses dans ses paniers.. Et l’épicier dit qu’il t’a vendu de la pyrite, de l’antimoine et de la cobaltine.. N’est-ce pas étrange pour un plâtrier ?
_Ce que je fais ne vous regarde pas ! répondit El-Mansour immédiatement sur la défensive. Mais ses deux voisins se montraient déterminés ç en savoir plus. Comment s’en débarrasser ? « Le mieux est sûrement d’endormir leur méfiance en inventant un mensonge », pensa-t-il. Et s’adressant à eux sur le ton de la confidence :
_Bien, promettez-moi de garder le secret.. ces ingrédients vont me permettre de fabriquer un médicament.. qui pourra guérir toutes les maladies !
_Un plâtrier qui devient médecin ?! Tu mens bien mal ! lui dit alors Ahmed d’un air narquois. Ce médicament ne serait-il pas un peu trop lourd pour l’estomac ? . Et.. d’après sa couleur jaune, il me semble qu’il peut soigner bien d’autres choses que les rhumes ou les coups de chaleur !
El-Mansour était démasqué. Le jour même où il était parvenu à mettre au point la formule et fabriquer son premier or. Il avait cherché depuis tant d’années. Et à peine avait-il réusi que son invention était déjà connue de ces deux voisins de malheur !
_ Allons, El-Mansour, continua Rachid, tu nous donnes un peu de ton or et nous partons aussitôt !
_ Non ! répliqua vivement El-Mansour, car vous irez sans aunsun doute colporter la nouvelle dans toute la ville !
_Alors, renchérit Ahmed, confie-nous le secret de la fabrication de l’or et nous te jurons que personne n’en saura rien.
Mais El-Mansour ne céda pas. Il savait que l’or rend les hommes fous, car ils n’en ont jamais assez. Il menaça ses interlocuteurs d’un destin terrible :
_Vous seriez harcelés par vos amis qui vous demanderaient eux aussi votre secret.. et le malheur s’abattrait sur la ville ! J’ai réussi à fabriquer un lingot , oui, mais je jure que je n’en fabriquerai pas un de plus ! Que je sois changé en chameau si je reviens sur ma parole !
Devant tant de détermination, il n’y avait pas grand chose à tenter. Mais Ahmed et Rachid n’avaient pas dit leur dernier mot..........

aie aie aie pas moyen de les faire changer d'avis ces 2 là!!! l'or, ça rend fou

citoyenne_de_coeur a écrit:
-------------------------------------------------------
> aie aie aie pas moyen de les faire changer d'avis
> ces 2 là!!! l'or, ça rend fou
>
> "Notre pays, c'est le monde"


la richesse tt court!

merci rifia1!

la suite vous l'aurez ce soir insha allah


suspens suspens

mrsi pour votre attention

inshallah on nè impatient

.....

Puisqu’ils ne pouvaient obtenir l’or pour eux seuls, ils dénonceraient El-Mansour au Calife !
Ils se précipitèrent au palais du puissant seigneur qui les reçut en audience. Gouverneur d’une ville sans histoire, le Calife fut très troublé d’apprendre que sa cité abritait un alchimiste capable de créer de l’or.
_ Un faiseur d’or, dites-vous ? El-Mansour le plâtrier ? eh bien, voyons si cette histoire est vraie !
et il envoya des gardes arrêter le brave El-Mansour. Le pla^trier comparut immédiatement devant le Calife. En reconnaissant Ahmed et Rachid aux côtés du gouverneur, El-Mansour comprit ce qui l’attendait.
_Ainsi, dit le Calife en croisant ses bras sur son ventre ( on imagine bien la scène ), tu connaît le secret de fabrication de l’or, paraît-il ?
_… Oui.. je connais la formule..
El-Mansour ne pouvait pas nier ! Un garde avait fouillé sa maison et tenait entre les mains, à hauteur de sa boucle de ceinturon, le lingot d’or, l’unique lingot, qu’il avait caché sous un sac de plâtre !
_ D’où tiens-tu ce secret ? demanda le Calife sur un ton sans appel, tandis que les gardes forçaient l’accusé à répondre.
_De.. de mon grand-père Mustapha, lâcha l’apprenti alchimiste. Que la bénédiction de Dieu soit sur lui !
_Mais encore.. reprit le gouverneur qui voulait en savoir plus.
_ .. A sa mort, j’ai hérité d’un manuscrit qui provenait d’Egypte. D’après ma mère, il l’avait acheté deux dinars sur la route de son pèlerinage à la Mecque. Mais le pauvre homme ne savait pas lire. S’il avait su ce que contenanit ce livre, il ne serait pas mort dans la misère..
_ Et que contient-il ce livre ?
_Grand Seigneur, l’alchimiste était connue en Egypte bien avant la naissance de notre Prophète. Eh bien l’auteur de ce livre, Abou Moussa Djaber ( que mille remerciements lui soient adressés) y révèle justement .. les grands secrets des alchimistes égyptiens !
Les yeux du Calife brillèrent alors d’un tout autre éclat :
_ Voici ma sentence : j’ordonne que cet ouvrage me soit confié et que tu me livres toutes les explications utiles à la fabrication de l’or !
Mais El-Mansour ne l’entendait pas ainsi.
_ Demande-moi ce que Tu veux, dit-il en s’inclinant respectueusement devant le gouverneur, mais ce secret, je ne peux et ne veux le donner !
Le Calife s’empourpra de colère.
_Mécréant, tu dois m’obéïr ! Sinon tu passeras ta vie en prison ! Choisis !
El-Mansour avait déjà choisi.
_La prison est un sort plus doux que les malheurs qui suivraient la révélation d’un tel secret.. Ô puissant Seigneur, l’or fera de Toi un tyran et les guerres qui découleront de tou cela n’apporteront que ruine et désolation à tous les peuples..
Le Calife n’était pas homme à se laisser dicter sa conduite ! El-Mansour fut jeté dans le plus sombre des cachots. Il ne recevait chaque jour qu’un morceau de pain et un peu d’eau que lui servait son gardien, un homme rustre et brutal. Son geôlier aussi tenta de lui soutirer son secret..
_Confie-moi la formule et je te laisserai partir.. tu recouvreras la liberté, cela en vaut la peine !
_Non, répondit El-Mansour une fois de plus, toi aussi l’appât du gain te montera à la tête et le goût du pouvoir te fera mépriser tes semblables...
Le plâtrier reçut ainsi de nombreuses visites. Des puissants, des gens fortunés, de moins riches, des pauvres vinrent l’implorer. Chacun attendait soit un peu d’or, soit la fameuse formule tant convoitée. Amis El-Mansour s’opposait à tous.
_Une fois dévoilé, ce secret conduirait la cité vers la désolation et la destruction. Regardez,l’or a déjà fait mon malheur ! Je m’étais pourtant juré de n’en fondre qu’un seul lingot ! Et cela me vaut la prison.. Non, je préfère mourir que de révéler mon secret !
_Il préfère mourir, avait répété le Calife, qui non seulement avait eu vent qupplique mais était surtout très mécontent de voir un humble plâtrier lui résister. Eh bien je vais accéder à son souhait ! Que l’on mure sa prison et qu’il y meure de faim !
Le jour même, El-Mansour vit son ami Mahmoud, le maçon, s’affairer devant la porte de sa cellule. Ironie du destin, l’artisan utilisait avec application le plâtre vendu quelques semaines auparavant !
_Mahmoud,mon ami, avant de mourir, je voudrais rédiger mon testament, peux-tu me donner de quoi écrire ?
Le maçon ne comprenait rien à l’obstination de cet homme et comprenait encore moins pourquoi il allait en mourir. Mais en souvenir des jours meilleurs, il ne s’opposa pas à cette dernière volonté et fit parvenir au condamné un crayon et quelques feuilles.
Et pendant que la porte et la fenêtre se fermaient petit à petit, El-Mansour écrivit des dizaines de fois, sur des feuilles qu’il avait découpées en petits morceaux, la formule jusque-là secrète de la fabrication de l’or. Avant que le maçon eût scellé la dernière pierre, El-Mansour passa son bras à travers les barreaux et laissa s’envoler tous ses petits morceaux de papier.

......

snif snif pauvre de lui !

salam****


machaALLAH quelle histoire alors!
j'ai vraiment hate de lire la suite
Je suis impatience RIFIA
DEPECHES TOI VITE LA SUITE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

wi mes ami(e)s .. cete histoire est très émouvante, je suis très sensible et je ne vous cache pas ke j'ai eu pitié de el-Mansour

je vous raconte la suite et la fin de cette histoire bi idhni allah

.....

Le vent du sud les amena un à un au cœur de la cité. On en ramassa un, puis deux, puis chaque habitant eut en main la précieuse formule. S’en suivit une frénésie indescriptible. Pas une maison qui ne possédait désormais un four ! et chacun s’activait à produire son or. Peaux de lézard, pattes d’autruche, de gecko séché, cornes de gazelle, astérite, cobaltine.. toutes sortes d’ingrédients circulaient à travers la ville.
En quelques jours, tous les habitants de la cité étaient devenus riches. On ne vit plus de mendiants, ni de pauvres quémander au coin des rues. On oublia El-Mansour au fond de sa prison. Tout le monde semblait heureux.
Une fois l’opulence installée, on se demanda comment dépenser sa fortune. Les bijoutiers furent dévalisés les premiers, puis ce fut le tour des couturiers. Dans les ruelles, on se pavanait dans de magnifiques cafetans brodés d’or ; bracelets et colliers de grandes valeurs ornaient le moindre vêtement ; on rivalisait de tenues excentriques et clinquantes. Les animaux eux-mêmes portèrent des parures : les ânes arboraient des licols en or,les chameaux n’étaient plus attachés qu’à des chaînes faites du plus précieux métal. On finit même par recouvrir les toits des maisons de tuiles d’or !
Cette extravagance dura plusieurs mois, dans une ambiance de liesse générale. Plus personne ne travaillait ! les chameliers ne partaient plus dans le désert.. Les savetiers ne réparaient plus les babouches.. Les boulangers ne voulaient plus passer leurs nuits devant leur four à pain, juste pour gagner quelques malheureux dinars.. Les paysans ne voulaient plus puiser l’eau ni se fatiguer pour assurer les récoltes.. Il n’y avait plus de marchands, plus d’épiciers.
La nourriture vint à manquer. Isolée au milieu des dunes, la cité ne commerçait plus avec aucune autre.. Il n’y eut bientôt plus rien dans la ville aux toits d’or.
L’eau ne coulait plus dans les jardins qui se desséchaient. Le sable envahissait peu à peu les ruelles..
Les citadins, malgré la faim qui les tenaillait, ne voulaient à aucun prix abandonner les lingots qu’ils avaient amassés. Les animaux disparurent les premiers. Les hommes leur survécurent quelques temps mais ils ne tardèrent pas à les rejoindre dans la mort. Puis le temps et le sable firent lentement leur ouvrage et effaçèrent de la carte la cité maudite, autrefois si heureuse et si prospère.




*****Ainsi le vieux conteur Sidi-el-Hadj terminait son récit. Puis il ajoutait en brandissant un vieux livre à la reliure défraîchie : « Qui d’entre vous, aimerait connaître le secret de fabrication de l’or ? » Mais les nomades qui avaient écouté son histoire ne répondaient pas. Tous partageaient alors le thé, sûr que leur vie de voyageurs du désert et le peu de biens qu’ils possédaient valaient tout l’or du monde, même celui du plus doué des alchimistes.******

Fin

Merci rifia

la cupidité n'a pas de bornes et elle finit par détruire ceux qui toujours en veulent davantage...al9ana3a est un trésor ki ne périt jamais

wi tout a fais très chère

je suis entrain de vous préparer une autre histoire ki s'intitule

" Le Cadi, le voleur et le palmier "

bon courage nous attendons avec IMPATIENCE ...


fidèle lectrice,

Le Cadi, le voleur et le palmier

Comme tous les vendredis, sur la place du marché de la mosquée, Larbi et Tahar avaient installé devant eux burnous, kachabias, robes de toutes tailles et de toutes les couleurs pour les vendres. Mais la fin de la journée arrivait. Les clients avaient été rares et la recette bien maigre !
Larbi fulminait contre les avares qui marchandaient des heures pour baisser le prix d’un sarouel ou d’une djellaba de quelques douros ! Pour Tahar, plus philosophe, il ne fallait pas s’en faire. « Inch Allah, se disait-il, cela ira mieux la semaine prochaine. »
Alors que le soleil venait de se cacher derrière la mosquée, les deux amis malchanceux décidèrent de remballer leur marchandise. Portant plusieurs sacs à bout de bras, ils se rendirent chez l’épicier. Larbi et Tahar n’habitaient pas en ville mais à Z’Goum, un petit village perdu dans les dunes. L’épicier qui était un lointain parent de Larbi avait accepté de els aider ; il gardait ainsi en dépôt les invendus jusqu’au vendredi suivant.

Enfin sur la piste poussiéreuse qui les ramenait chez eux, Larbi compta les quelques pièces gagnés dans la journée.

_C’est bien peu, ce ne sera pas assez pour tenir jusqu’à la semaine prochaine !
Tahar tenta de le rassurer :

_Ne t’en fais pas, notre petit jardin nous donnera de quoi ne pas mourir de faim !
Mais cela ne suffit pas à calmer Larbi et sa colère éclata :

_Ce métier ne nous mène à rien ! Nous sommes pauvres et nous resteront pauvres !

_Allons, reprit Tahar en souriant, il ne faut pas être si pessimiste..

A peine finissait-il de prononcer ces mots qu’il ....





Modifié 1 fois. Dernière modification le 14/09/05 14:44 par rifia1.

ils vont perdre ce peu qu'ils ont gagné s'il continuent à y voir que du noir

mdrrrrrrrrrrrrrrrr nan !

lis la suite


A peine finissait-il de prononcer ces mots qu’il manqua de trébucher sur un petit sac qui traînait par terre. Tahar se baissa, ramassa le sac et le soupesa.

_Eh bien, qu’attends-tu pour l’ouvrir ? lui dit son compère.

Tahar dénoua alors le cordon sous l’œil impatient de Larbi. La bourse, puisqu’il s’agissait d’une bourse, contenait une petite fortune… pas en piécettes de cuivre, non, mais en véritables pièces d’or ( eh wi encore l’or )

Tahar n’hésita pas un instant :

_Beaucoup de bédouins ont pris cette route pour se rendre au grand marché d’El-Oued, il faut retourner en ville, le propriétaire est sûrement parmi eux !

_Mais tu es fou ! s’empressa de rétorquer Larbi. Qui nous a vus ramasser cet argent ? Personne ! A qui appartient-ils ? On ne sait pas ! Alors gardons-le !

_Non ! je ne suis pas d’accord ! nous ne sommes pas des voleurs !

_ Mais nous n’avons rien volé ! ce trésor est venu à nous.. c’est bien différent.

Ils allaient se disputer vraiment lorsque le sage Tahar eut une idée :

_Bien ! Il nous faut prendre le temps de réfléchir. Creusons un trou au pied de ce palmier, enterrons l’argent et laissons-le jusqu’à ce que nous soyons d’accrod sur ce qu’il convient de faire !

_Bonne idée ! Il faut réfléchir !

ils eurent vite fait de creuser un trou très profond et d’y déposer l’objet de leur querelle. Puis ils regagnèrent en toute hâte leur village avant la fin du jour.


Cette nuit-la, Larbi ne dormit pas. Avoir à portée de la main une véritable fortune et ne pas en profiter, c’était pour lui le comble de la bêtise ! Au bout de quelque heures d’insomnie, tout devint clair : ...