Ouadi Madih : Selon moi, plus que le fatalisme, le risque est de basculer des revendications simples liées au pouvoir d’achat vers des mouvements sociaux bien plus dangereux que le boycott. Imaginez, récemment, à El Jadida, des jeunes ont bloqué une route, monté une barricade et mis le feux pour dénoncer la promesse non tenue de construire une route.