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pao de acucar a écrit:
azl95
des poubelles éventrées, des trottoirs détruits et des immeubles sans ravalement.
A l'Etat d'intervenir. Dans la mesure où le sens de la collectivité fait défaut, pas encore inscrit dans les mentalités. Et l'argent de la collectivité va en partie dans les poches de certains.
). Mais celle ci ne perd pas le nord, loin de là. Elle prend ce qui lui semble le mieux et rejette le reste. N'est ce pas cela le libéralisme? Maximiser le choix qu'on fait? C'est la politique du moindre effort me dirai t'on. Citation
azl95 a écrit:
Ce post n’a pas pour vocation de dénigrer le Maroc, ni de généraliser mais de formuler un constat
Nous sommes très compètent s, nous sommes compétitifs, seule la rigueur nous fait souvent défaut.
En effet, j’ai remarqué , que nous sommes capables des meilleures réalisations , que cela soit dans le domaine de la construction « gros œuvre » , des équipements derniers cri ou des décorations les plus sophistiquées.
Or, hélas une fois cela réalisé, nous tombons assez rapidement dans la nonchalance et un manque manifeste de suivi, en fait de rigueur.
Nous sommes capable de fournir le travail le plus méticuleux voir l’exemple de l’artisanat et des arabesques en architecture mais dès qu’il s’agit de petit œuvre, nous manquons de finitions.
En d’autres termes, nous nous donnons comme objectif de réaliser le plus difficile mais une fois cet objectif atteint, nous négligeons l’entretien.
Autre caractéristique, nos intérieurs de maison sont des plus propres et nos extérieurs laissent à désirer, des poubelles éventrées, des trottoirs détruits et des immeubles sans ravalement.
Ne me dites pas que cela est essentiellement dû à un problème économique car ce constat concerne aussi des gens qui ne sont pas dans le besoin.
Pourquoi sommes-nous capables du meilleur mais aussi du pire.
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