bonsoir,je me demandée s'il y'avait des femmes qui soufré de depression aprés une grossesse difficile et si on pouvaient discuter de ce problème que generalement personne n'en parle(tabout),existe -il des moyens pour s'en sortir à part un psy,comment peut on aider les jeunes mamans qui se sentent^pas bien après l'accouchement ,la rentrer à la maison avec un petit bebe c'est nouveau; merci de s'interesser à ce sujet .cordialement
j etais un peu panique a l'idee de renter avec mon bb a la maison et de me retrouver seule sans personne pour m epauler, la veille j ai pleurer a l hopital, une infirmiere m a entendu et ma tenu compagnie et ma epauler, elle ma donner des conseil pour l allaiter, pour me nourrir sainement, de m occupper de moi aussi, le wk de laisser mon bb 1h ou 2h avec son pere ou quelqu un et de sortir faire de la marche, de la natation, de me detendre, je lui ai expliquer dure quand on est arabe, elle m afait comprendre que non que s est possible. Que quand j ai pas le moral de mettre bb dans la poussette ou la voiture et faire un tour, et m aconseiller de sortir un 1/2 heure par jour avec bb, pour prendre la ir et renconter du monde car plus tu reste seule plus tu deprimera, organiser un peu sa joournee la veille, et dormir quand bb dort, laisser un peu de cote menenage et repassage tout cela reprendra sa place apres aller au pmi cela permet de voir du monde et de sortir de se rassurer j ai mis en place pas mal de ces onseils et s est bien passe jour apres jour ma crainte s est evapore et j ai de bon moment avec mon fils
Pendant neuf mois, vous avez vécu votre grossesse sous le signe de la plénitude et de la jolie rondeur. Bébé est né et vous voilà à plat, nostalgique et plutôt déprimée… voici quelques conseils pour mieux passer ce cap et goûter au plus vite aux plaisirs de la maternité !
Rien de plus normal, répondent les psychologues et les médecins. Que l’on parle de baby blues ou de dépression du post-partum, les symptômes se manifestent chez près de 7 femmes sur 10. Vague à l’âme, anxiété, impression d’être une mère totalement incompétente, seule face à ce nouveau-né qu’elle connaît à peine : ces sentiments inconfortables taraudent plus d’une maman après la naissance de leur premier enfant, mais aussi, bien souvent, des suivants…
Une profonde métamorphose
"Inutile de culpabiliser, conseille Hélène de Gunzbourg, sage-femme libérale. Les causes de ces désordres émotionnels sont multiples et intriquées et la femme n’y peut rien. Elle est confrontée subitement à la découverte de son bébé, à un changement de statut social, car elle devient mère, à un changement au sein de son couple, avec une toute nouvelle relation à créer avec le père. Pour la femme, il s’agit d’une profonde métamorphose, comparable à celle vécue à l’adolescence, mais dans un laps de temps beaucoup plus court et avec, en plus, la responsabilité d’un nouveau-né ! Tout cela au moment où, physiquement, elle doit se remettre de la fatigue liée à l’accouchement, tout en ayant des nuits entrecoupées par les réveils de bébé…"
Ne vous inquiétez pas : les trois premiers mois sont les plus durs, toutes les mamans le disent. Ensuite, une fois que bébé fait ses nuits, les choses rentrent en général dans l’ordre.
Se sentir entourée
"Plus la mère est entourée, mieux elle pourra faire face à ces brusques changements, poursuit Hélène de Gunzbourg. L’isolement est le pire ennemi d’une toute nouvelle mère. Le soutien doit venir du conjoint bien sûr, mais aussi de la famille, des amies, des baby sitters". Mais sachez aussi dire : stop ! Ne vous laissez pas envahir. Votre appartement ne doit pas se transformer en hôtel pour vos parents et beaux-parents venus de province pour profiter de votre enfant… Si vous en ressentez le besoin, Hélène de Gunzbourg conseille également de faire appel à une sage-femme ou une puéricultrice qui peut se déplacer à votre domicile et vous apporter une aide précieuse. Même si ce service est peu connu des jeunes mères, il suffit de se renseigner auprès de la PMI ou de la mairie. Le récent congé de paternité est une excellente chose pour que la femme ne reste pas seule à son retour de la maternité.
Savoir s’écouter
Dans cette période délicate, il est important d’apporter à la femme un soutien affectif chaleureux et rassurant. "Trop souvent, les jeunes mamans manquent de confiance en elles, ont peur de mal faire avec le bébé. Mais il faut leur rappeler que dans les semaines qui suivent l’accouchement, rien n’est plus important pour le bébé que sa mère. Spontanément, elle sait ce qui est bon pour lui. Elle devrait s’écouter sans se laisser influencer par les soit disant bons conseils de l’entourage. Si elle veut bercer le bébé, le câliner, le porter, le nourrir à la demande, qu’elle le fasse. Si elle éprouve le besoin de le faire garder pendant quelques heures pour souffler un peu, qu’elle n’hésite pas non plus. Avant tout, il faut savoir se faire plaisir, se détendre, écouter son bon sens. Et arrêter de culpabiliser si bébé pleure malgré tous vos efforts pour le calmer, ou ne dort pas ou dort trop !" Car sachez qu’être mère s’avère très gratifiant, même si parfois, c’est aussi très frustrant…
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