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comment eduqer nos enfants
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17 juin 2018 11:53
1. Faites ce que vous dites
et ne dites pas ce que vous ne ferez pas !

(pour rester crédible aux yeux de l’enfant)
– Si vous dites « Encore une fois et tu vas au lit » et que l’enfant désobéit encore une fois, ne lui laissez pas une seconde chance. Ne menacez pas dans le vide. Ne répétez pas 5 fois la même chose. Après une menace, agissez. (Sinon, l’enfant n’aura pas peur de vos menaces et n’obéira pas.)

– Ne dites pas une menace que vous ne saurez pas respecter. Ex: « Encore une fois et tu ne regarderas plus la TV pendant un mois » alors que vous savez que vous ne tiendrez pas cette interdiction aussi longtemps.

« Si tu continues, tu me le copieras 1000 fois » alors que vous n’exigere

– Soyez fermes, convaincus intérieurement que vous réussirez à obtenir votre demande. L’enfant ne doit pas déceler de l’hésitation, et de la fragilité dans vos consignes. (mise à jour du 5 mars 2012)

– Arrêtez de criez; dites une fois les choses et agissez calmement mais fermement.


2. Soyez plus têtu que lui !

Trop de parents craquent dès qu’un enfant « pique une crise capricieuse de colère » pour qu’il arrête sa crise.

Si vous dites « non« , il ne faut pas changer d’avis si l’enfant se met à pleurer, à râler, à bouder, à crier, à frapper, à se mordre,…

L’entêtement d’un enfant et le refus d’obéir est inversement proportionnel à l’entêtement des parents !
En effet, plus un parent « craque », cède, change d’avis, et plus l’enfant sera renforcé dans son comportement d’entêtement.
Un enfant dit « têtu », est donc le résultat d’un parent qui ne l’est pas assez.
Un des « trucs » dans l’éducation est donc d’ÊTRE PLUS TÊTU QUE SON ENFANT !!
L’enfant comprendra très vite que cela ne sert à rien d’insister, de pleurer, de faire une crise…

Pour réussir à « tenir tête », il faut
prendre distance au niveau affectif,
ne pas se laisser amadouer par les pleurs,
ne pas avoir de compassion pour des comportements capricieux
se dire que si on craque, il aura « gagné »
se dire que si on craque, sa « crise » sera renforcée pour les prochaines fois
se dire que ce ne sont pas les enfants qui décident, mais les parents (ils peuvent donner leur avis et dire ce qu’ils pensent)


3. Félicitez, encouragez ses bons comportements

– Ne lui faites pas seulement des remarques lorsqu’il désobéit, lorsqu’il fait quelque chose de mal.

Veillez à équilibrer vos critiques : qu’il y ait au moins autant de remarques positives que négatives.

– Évitez les récompenses matérielles systématiques. « Si tu as un beau bulletin, tu auras de l’argent, un vélo »

(Il doit bien se comporter par plaisir, pour faire plaisir, parce qu’il sait que c’est mieux et non pour recevoir quelque chose.)

– Récompensez le comportement plutôt que le résultat : un enfant peut travailler beaucoup et avoir 70 % à son bulletin pendant qu’un autre ne fait aucun effort et a 80 % à son bulletin.

Il faut donc récompenser, féliciter le travail fourni, les efforts consentis, le comportement plutôt que le résultat.

Préférez-vous un enfant qui triche et qui gagne son match de tennis ou un enfant qui reste honnête, fair-play et qui perd son match ?


4. Donnez-lui beaucoup d’amour (et de temps) !

– À côté de votre discipline, des punitions que vous lui donnez, passez du temps avec votre enfant. Jouez, discutez avec lui, intéressez-vous à ce qu’il fait et montrez-lui que vous l’aimez. Écoutez-le. (C’est la meilleure manière pour qu’il comprenne et accepte la discipline que vous exigez.)

– Ne lui donnez pas de l’amour lorsqu’il fait quelque chose de mal, lorsqu’il désobéit.

Mis à jour le 18/01/2013 :

– Faites-leur des câlins régulièrement ! Gâtez-les affectivement !

– Dites-leur explicitement que vous les aimez !




5. Sanctionnez directement

(et pas deux jours après)

– Une sanction faite plusieurs jours après l’infraction aura nettement moins d’effet qu’une sanction qui suit directement le fait commis.

– Ne laissez pas votre enfant manquer de politesse, insulter quelqu’un sans intervenir, sans le sanctionner.

Choisissez des sanctions qui ennuient l’enfant. (Sinon il continuera à dépasser les limites sans craindre la punition.)

Ne choisissez pas de sanctions qui durent des jours, des semaines ou des mois.
6.C’est vous qui décidez ! Mise à jour du 5 mars 2012)

Trop souvent, les parents laissent choisir l’enfant, et le laissent décider.
Or, c’est au parent à décider ce qui est le mieux pour l’enfant APRÈS AVOIR ÉCOUTÉ L’ARGUMENTATION ET L’AVIS DE L’ENFANT.

J’entends des parents me dire « Mon enfant ne fait plus de sieste, il ne veut plus. »
Je réponds « Ce n’est pas à lui de décider ! C’est vous qui savez s’il en a besoin, si c’est bon pour lui. »
17 juin 2018 20:34
Tu crois qu'on peut forcer un enfant à dormirperplexe
Citation
-99- a écrit:
1. Faites ce que vous dites
et ne dites pas ce que vous ne ferez pas !

(pour rester crédible aux yeux de l’enfant)
– Si vous dites « Encore une fois et tu vas au lit » et que l’enfant désobéit encore une fois, ne lui laissez pas une seconde chance. Ne menacez pas dans le vide. Ne répétez pas 5 fois la même chose. Après une menace, agissez. (Sinon, l’enfant n’aura pas peur de vos menaces et n’obéira pas.)

– Ne dites pas une menace que vous ne saurez pas respecter. Ex: « Encore une fois et tu ne regarderas plus la TV pendant un mois » alors que vous savez que vous ne tiendrez pas cette interdiction aussi longtemps.

« Si tu continues, tu me le copieras 1000 fois » alors que vous n’exigere

– Soyez fermes, convaincus intérieurement que vous réussirez à obtenir votre demande. L’enfant ne doit pas déceler de l’hésitation, et de la fragilité dans vos consignes. (mise à jour du 5 mars 2012)

– Arrêtez de criez; dites une fois les choses et agissez calmement mais fermement.


2. Soyez plus têtu que lui !

Trop de parents craquent dès qu’un enfant « pique une crise capricieuse de colère » pour qu’il arrête sa crise.

Si vous dites « non« , il ne faut pas changer d’avis si l’enfant se met à pleurer, à râler, à bouder, à crier, à frapper, à se mordre,…

L’entêtement d’un enfant et le refus d’obéir est inversement proportionnel à l’entêtement des parents !
En effet, plus un parent « craque », cède, change d’avis, et plus l’enfant sera renforcé dans son comportement d’entêtement.
Un enfant dit « têtu », est donc le résultat d’un parent qui ne l’est pas assez.
Un des « trucs » dans l’éducation est donc d’ÊTRE PLUS TÊTU QUE SON ENFANT !!
L’enfant comprendra très vite que cela ne sert à rien d’insister, de pleurer, de faire une crise…

Pour réussir à « tenir tête », il faut
prendre distance au niveau affectif,
ne pas se laisser amadouer par les pleurs,
ne pas avoir de compassion pour des comportements capricieux
se dire que si on craque, il aura « gagné »
se dire que si on craque, sa « crise » sera renforcée pour les prochaines fois
se dire que ce ne sont pas les enfants qui décident, mais les parents (ils peuvent donner leur avis et dire ce qu’ils pensent)


3. Félicitez, encouragez ses bons comportements

– Ne lui faites pas seulement des remarques lorsqu’il désobéit, lorsqu’il fait quelque chose de mal.

Veillez à équilibrer vos critiques : qu’il y ait au moins autant de remarques positives que négatives.

– Évitez les récompenses matérielles systématiques. « Si tu as un beau bulletin, tu auras de l’argent, un vélo »

(Il doit bien se comporter par plaisir, pour faire plaisir, parce qu’il sait que c’est mieux et non pour recevoir quelque chose.)

– Récompensez le comportement plutôt que le résultat : un enfant peut travailler beaucoup et avoir 70 % à son bulletin pendant qu’un autre ne fait aucun effort et a 80 % à son bulletin.

Il faut donc récompenser, féliciter le travail fourni, les efforts consentis, le comportement plutôt que le résultat.

Préférez-vous un enfant qui triche et qui gagne son match de tennis ou un enfant qui reste honnête, fair-play et qui perd son match ?


4. Donnez-lui beaucoup d’amour (et de temps) !

– À côté de votre discipline, des punitions que vous lui donnez, passez du temps avec votre enfant. Jouez, discutez avec lui, intéressez-vous à ce qu’il fait et montrez-lui que vous l’aimez. Écoutez-le. (C’est la meilleure manière pour qu’il comprenne et accepte la discipline que vous exigez.)

– Ne lui donnez pas de l’amour lorsqu’il fait quelque chose de mal, lorsqu’il désobéit.

Mis à jour le 18/01/2013 :

– Faites-leur des câlins régulièrement ! Gâtez-les affectivement !

– Dites-leur explicitement que vous les aimez !




5. Sanctionnez directement

(et pas deux jours après)

– Une sanction faite plusieurs jours après l’infraction aura nettement moins d’effet qu’une sanction qui suit directement le fait commis.

– Ne laissez pas votre enfant manquer de politesse, insulter quelqu’un sans intervenir, sans le sanctionner.

Choisissez des sanctions qui ennuient l’enfant. (Sinon il continuera à dépasser les limites sans craindre la punition.)

Ne choisissez pas de sanctions qui durent des jours, des semaines ou des mois.
6.C’est vous qui décidez ! Mise à jour du 5 mars 2012)

Trop souvent, les parents laissent choisir l’enfant, et le laissent décider.
Or, c’est au parent à décider ce qui est le mieux pour l’enfant APRÈS AVOIR ÉCOUTÉ L’ARGUMENTATION ET L’AVIS DE L’ENFANT.

J’entends des parents me dire « Mon enfant ne fait plus de sieste, il ne veut plus. »
Je réponds « Ce n’est pas à lui de décider ! C’est vous qui savez s’il en a besoin, si c’est bon pour lui. »
18 juin 2018 18:39
Le forcer a s'endormir non mais bien souvent la maman sait quand son enfant a besoin de sommeil. Elle peut dans tout les cas l'obliger a rester dans son lit au calme meme si il ne s'endort pas ca le reposera et le detendra.
 
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