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Combien de femmes la pillule contraceptive a-t-elle tuées ?
A
23 octobre 2013 08:35
Selam

Après son introduction en 1960, la pillule contraceptive a tué sans relâche.
Tout cela pour copuler, souvent tromper son conjoint et cela sans risque d'avoir un bébé

A combien de victimes peut-on chiffrer ce massacre ?
Je n'ai pas encore la réponse au moment où j'écris

Voici une petite historique de la contraception

[ethique-tic.fr]
c
23 octobre 2013 09:10
La pilule, risque dosé et danger de diabolisation
Marie PIQUEMAL 2 janvier 2013 à 22:21

Les plaintes se multiplient contre les contraceptifs dits de troisième et quatrième générations, très utilisés.

Le 14 décembre, Marion Larat, 25 ans, déposait plainte contre le laboratoire pharmaceutique Bayer qui commercialise la pilule Meliane. Elle accuse ce contraceptif dit de troisième génération d’être à l’origine de son accident vasculaire cérébral en 2006 qui l’a laissée lourdement handicapée. «J’ai vraiment la haine contre Bayer, j’ai vraiment la haine contre l’Etat. Mais surtout, je dois prévenir les filles», déclarait-elle à l’AFP. Trente nouvelles plaintes vont être déposées dans les prochains jours par des femmes s’estimant elles aussi victimes de ces pilules de troisième et quatrième générations. Les risques pour la santé sont-ils connus et avérés ? Depuis quand ? Le cas échéant, pourquoi les autorités de santé ne les retirent-elles pas du marché ? Eléments de réponse.
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Quelles pilules sont en cause ?

Leur qualificatif, «troisième ou quatrième génération», laisse à penser qu’elles sont récentes. Pas du tout. Les laboratoires ont commencé à commercialiser les pilules de troisième génération (Desobel, Edenelle, Mercilon…) dans les années 80, suivies de près par celles de quatrième génération (Jasmine, Bélanette…).

Légalisée en 1967, la pilule est aujourd’hui - de loin - le moyen de contraception le plus populaire en France, utilisé par la moitié des femmes âgées de 15 à 49 ans. Celles de première et deuxième générations sont apparues sur le marché dans les années 70. Si les unes ont quasiment disparu (seule la marque Triella reste en vente), celles de deuxième génération (Minidril, Ludeal…) sont encore utilisées par 2,1 millions de femmes. La différence de composition se situe surtout entre les deuxième et troisième générations. «Elle tient à la nature du progestatif utilisé, explique Danielle Hassoun, gynécologue à Paris. En modifiant la molécule, les laboratoires espéraient une amélioration des effets secondaires, comme l’acné. Mais, en pratique, les études réalisées depuis ne montrent pas de façon évidente une amélioration.» Aujourd’hui, 1,7 million de femmes prennent tous les jours une pilule de troisième ou quatrième générations, sans forcément le savoir d’ailleurs… car ce n’est précisé ni sur la boîte ni même sur la notice.

Quels risques pour la santé ?

Comme tout médicament, la pilule contraceptive, quelle qu’elle soit, présente des risques. De deux sortes. L’un, commun à toutes les pilules, est artériel. En prendre augmente la probabilité d’avoir un accident vasculaire cérébral. En la matière, «les contraceptifs oraux de troisième génération ne présentent pas de surrisque par rapport aux pilules de deuxième génération», rappelle l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), en charge de leur autorisation et de leur retrait, et aussi visée par la plainte de Marion Larat.

Le deuxième risque encouru est d’ordre veineux. «On le sait depuis le départ», assure Claudine Zimmer, gynécologue à Toulon. En 2002, un avis de la Haute Autorité de santé (HAS) mentionnait déjà l’existence d’un risque plus important de thrombo-embolie veineuse. En 2011, l’Agence européenne du médicament indiquait que ce risque est deux fois plus élevé chez les femmes utilisant une pilule de troisième génération que chez celles prenant un contraceptif de deuxième génération. «De l’ordre de 4 cas pour 10 000 contre 2 pour 10 000», précise l’ANSM, s’appuyant sur des projections menées à l’échelle européenne. Ce risque, potentiellement très grave, reste donc très rare.

Que font les autorités de santé ?

En 2007, la Haute Autorité de santé a recommandé aux médecins de prescrire une pilule de deuxième génération aux patientes utilisant pour la première fois un contraceptif oral. Celles de troisième et quatrième générations ne doivent être employées qu’à défaut, pour les femmes qui ne tolèrent pas bien les deuxième génération, les suspectant de favoriser acné et prise de poids.

Cette recommandation n’a eu guère d’effets. Les pilules de troisième génération représentaient 32,3% des prescriptions en 2007 et… 32% en 2010, selon les chiffres de l’HAS. Pire, celles de quatrième génération ont carrément fait un bond, passant de 9,6% des prescriptions en 2007 à 16,5% en 2010, au grand profit des laboratoires.

La Haute Autorité a attendu cet été pour enclencher la vitesse supérieure et recommander de dérembourser les pilules de troisième génération (1). A la rentrée, la ministre de la Santé, Marisol Touraine, a annoncé que le déremboursement serait effectif… à partir de septembre 2013. Avant d’avancer hier le calendrier au 31 mars, vu la polémique. Une position peu rassurante pour Véronique Séhier, du bureau national du Planning familial. «De deux choses l’une. Soit ces pilules troisième génération sont dangereuses et il faut les retirer du marché. Soit elles ne le sont pas et il n’y a alors aucune raison de ne pas les rembourser.»

Dernier à réagir, l’ANSM. L’agence a attendu le 1er octobre pour prendre position. Et ce n’est qu’en décembre, après le dépôt de la première plainte, qu’elle s’est fendue d’une lettre envoyée aux médecins prescripteurs. Dimanche, son directeur, Dominique Maraninchi, a réagi, secoué notamment par les critiques du député (PS) Gérard Bapt. L’ANSM «envisage» de restreindre aux seuls gynécologues la possibilité de prescrire des pilules troisième et quatrième générations. Aujourd’hui, les généralistes et les sages-femmes peuvent aussi le faire, les pharmaciens et infirmiers étant autorisés à renouveler l’ordonnance. «Limiter le nombre de prescripteurs n’est pas la solution si on veut que la contraception soit accessible partout sur le territoire et dans des délais rapides, met en garde Véronique Séhier. La vraie question, c’est la formation continue et initiale des médecins, pour qu’elles soient vraiment indépendantes des labos.»

Quelles alternatives ?

«Le stérilet en est une excellente, assure la gynécologue Danielle Hassoun. Mais certaines femmes n’en veulent pas, il faut laisser le choix.» Véronique Séhier renchérit : «Tous les modes de contraception devraient être remboursés, les anneaux, les patchs, les implants… Et il faut donner aux couples une information suffisante pour un choix éclairé. Le vrai danger aujourd’hui, c’est de diaboliser toutes les pilules et que des femmes arrêtent de se protéger. La contraception est un progrès.»

(1) Seule la moitié des pilules de troisième génération sont remboursées par l’assurance maladie, à hauteur de 35 %.
Marie PIQUEMAL
[www.liberation.fr]
vous voulez les misérables secourus, je veux la misère abolie.
y
23 octobre 2013 10:08
Je te pose la question = de quel droit tu insultes les femmes qui prennent la pilule?
"copuler" "tromper son conjoint"
Beaucoup de femmes se passeraient de prendre du chimique avec la crainte d'un effet négatif.sur leur santé.
Si les femmes prennent la pilule -je parle des musulmanes mariées- c'est parce que ça arrange bien leur
mari aussi. Que celui-ci n'a aucun effort à faire, pas de préservatif en période féconde, pas de "attention il faut que je me retire".
Car la pilule c'est aussi avant tout un confort pour l'homme! et une contrainte pour la femme.
Contrainte qu'elle accepte sachant que si elle ne la prenait pas, elle pourrait bien se retrouver enceinte
bien plus souvent qu'elle ne le désire.

Je te rappelle aussi que pour "copuler" il faut être 2 = une femme et un homme
que pour tromper son conjoint il faut avoir un partenaire.

Alors je te le redemande, de quel droit tu te permets en prenant le prétexte de la pilule et de ses méfaits
d'attaquer et d'insulter les femmes?
La femme prend des risques pour sa santé avec la pilule et elle le sait, mais a-t-elle le choix?
Cogite là-dessus!
A
23 octobre 2013 13:04
Désolée d'avoir blesser les femmes mariées
y
23 octobre 2013 14:53
Citation
AyseDeCharleroi a écrit:
Désolée d'avoir blesser les femmes mariées

C'est vrai que dire
"copuler, souvent tromper son conjoint..." en s'adressant à des femmes musulmanes mariées
ça ne cherche pas à être blessant...mais voyons.
Quelle mentalité.
o
24 octobre 2013 13:00
Salam
chaque medicament a son coté dangereux, mais si on compte le nombre d'avortements faits parce que la maman n'a pas pris de pillule, le nombre de bébés laissés la nuit devant les orphelinats ou les hôpitaux parceque la maman célibataire n'a pas pris de pillule. Si vous comptabiliser les drames de ces bébés qui grandissent dans la misére materielle et psychique de ne jamais connaitre sa famille. Faites un tour dans un hopital civil et vous verrez ces pauvres petits qui fendent le coeur parce que leurs mamans n'ont pas pris la pillule. Faut voir aussi le nombre de filles jetées par leurs parent dans la rue à cause de la honte de la grossesse sans mariage.
Si vous voyez tout ça vous direz que la pillule est miraculeuse
A
26 octobre 2013 11:02
Citation
yallahah99 a écrit:
Citation
AyseDeCharleroi a écrit:
Désolée d'avoir blesser les femmes mariées

C'est vrai que dire
"copuler, souvent tromper son conjoint..." en s'adressant à des femmes musulmanes mariées
ça ne cherche pas à être blessant...mais voyons.
Quelle mentalité.

J'assume !
En dehors des femmes mariées, il y a bcp de petites xxxxx qui prennent la pillule
C'était d'ailleurs le but initial: la libération sexuelle
Donc je n'ai que faire que t'acceptes pas mes excuses
26 octobre 2013 11:11
salam

oui la pilule est dangereuse .
en fait comme tout "medicament"

ensuite nan la pilule c pas fait pr tromper gros lol.
donc parce qu'il y a des femmes qui prennent la pilule et qui en profitent pr tromper tt celle qui font ca le sont ??
Oo

tu crois qu'avant quand la pilule existait pas on trompait pas? hehe.
on croit tjr que notre epoque est la pire , mais quelqu'un de vicieu le restera tjr , ds notre epoque ou une epoque passée ou futur.

la pilule a tué.

l'accouchement tue aussi ,

la grossesse tue ;

bcp de choses tue ds cette vie , il faut juste peser le pour et le contre.

et sinon on a pas besoin dtes excuses. personne t'oblige a prendre la pilule si t'es une femme
et les autres femmesn ont pas besoin de ton autorisation rp la prendre

voila tt lmonde est content grinning smiley

on en revient tjr au sexe liberation sexuel sexe sexe sexe mais tout lmonde n'est pas vicieux, il faut voir le monde autrement qlq fois.

bref, sinon je suis d'accord la pilule ca pue . je l'ai prise , ca pose probleme a bcp dfemmes mais jpense qu'elle la prenne pck c plus "pratique"
oui je suis une p*** , Angel ,
je pense qu'il y a des moyens de contraceptions moins dangereux globalement .
A
26 octobre 2013 11:20
Partie 1 Même les petites XXXXX peuvent lire pour leur culture générale thumbs up

LA PILULE, C’EST COMME SI VOUS MANGIEZ CHAQUE JOUR
MILLE POULETS AUX HORMONES



Il y a tout juste 50 ans, en 1963, la pilule Enovid – venue des Etats-Unis – entrait discrètement dans les pharmacies françaises. Une révolution !

La même année pourtant, la revue Science et Vie s’interrogeait sur les dangers potentiels de la pilule et s’étonnait que l’on n’ait pas expliqué au préalable aux femmes comment elle fonctionnait. Aussi fou et monstrueux que cela paraisse, cette question est toujours sans réponse. Alors puisque l’heure est à la « transparence » pour tous, voici la vérité. Cette vérité, c’est qu’on vous cache la vérité sur la pilule, le THS et les hormones de synthèse depuis 50 ans !

1 – La pilule estro-progestative imite le cycle naturel et donc maintient les menstruations en les régulant mieux que les hormones naturelles. Le cycle est donc régulier, mais il est totalement artificiel.

2 – Les estro-progestatifs bloquent l’ovulation, mais comme ils bloquent également les secrétions hormonales des ovaires, ils empêchent la formation de glaire au niveau du col et s’opposent aux modifications de l’intérieur de l’utérus : la grossesse devient alors impossible.

Des doses d’hormones copiant les hormones naturelles mais à quels taux ? Pour empêcher l’ovulation, les doses d’hormones ingérées sont 20 à 50 fois plus élevées que celles fabriquées par les ovaires : dans un comprimé de pilule pris chaque jour, il y a au minimum 10 microgrammes d’estradiol, quantité qui serait présente dans 100 kilos de viande… et comme l’ethynil-estradiol donné par la bouche a une activité estrogénique 100 fois supérieure à celle de l’estradiol, cela correspondrait à 10 000 kilos de viande ! N’en déplaise aux plus ardents défenseurs de la pilule, ceux qui affirment que prendre la pilule revient à ingérer l’équivalent de 1 000 poulets aux hormones par jour ne sont donc pas loin de la vérité !

La belle idée d’un auteur de science-fiction

En 1951, le chimiste et auteur de science fiction Carl Djerassi (d’origine autrichienne) unit ses talents de visionnaire à ceux de Luis Ernesto Miramontes, chimiste mexicain, pour synthétiser une forme active par voie orale de la progestérone. Son rêve : mettre au point une pilule contraceptive.

En 1956, grâce à cette avancée décisive, la science-fiction devient réalité : l’Américain Gregory Pincus et ses collègues mettent au point la pilule estro-progestative.

Libération… sur ordonnance !Danse

1968 : la pilule débarque massivement en Europe. Dans le sillage de mai 68 et de ses slogans « Libération sexuelle, Nous aurons les enfants que nous voulons » et « Il est interdit d’interdire », les laboratoires pharmaceutiques envoient astucieusement des échantillons dans les centres de Planning familial pour que les jeunes filles deviennent au plus tôt consommatrices, pratiquantes définitives. Ils y parviendront avec le support de l’Etat manipulé par des experts souvent considérés et sacrés, plus par les médias que par leurs pairs.

La pilule a permis sans aucun doute une émancipation sexuelle en offrant aux femmes de meilleures conditions de vie pour assumer librement leur capacité à transmettre la vie. Mais peut-on pour autant parler de « libération » devant cet asservissement ? Devant cette dépendance chimique porteuse de risques pour la santé, d’effets secondaires en tous genres ?

Bon j'va dormir parce que chui crevée sleeping
l
26 octobre 2013 22:17
Je voulais savoir si yen parmi ous qui on eu des problème avec
La varnoline continu
A
27 octobre 2013 11:58
partie 2

Plus de 50 ans d’alertes

Depuis 1963, les lancements d’alerte se sont multipliés. En vain…

Quelques exemples :

En 1968, la revue Science et Vie publie un article intitulé « La pilule : les généticiens s’inquiètent… ». L’auteur de l’article conclut son enquête ainsi : « Répétons-le, ces expériences doivent être vérifiées, reproduites, interprétées. Il serait ridicule d’en faire prématurément une occasion d’inquiétude. Mais il serait criminel de les ignorer. »

En 1977, Barbara Seaman, une célèbre journaliste américaine, activiste féministe de surcroît, lance un pavé dans la mare avec Women and the crisis in sex hormones dans lequel elle emploie le terme « pilule du cancer ». Sa conclusion: « Toute femme qui prend ces traitements vit dans un état biochimique altéré ». Cet ouvrage, publié en France en 1984 par les Editions de L’Impatient sous le titre Dossier Hormones sera diffusé sous le manteau…

En 1980, le Dr Dominique Chatain, gynécologue, dresse un bilan alarmant. Son livre, Danger Pilule est le premier en France à souligner les inconvénients et les risques de ce contraceptif. Au terme d’une enquête fort documentée, le Dr Chatain, évoquant ce qu’il qualifie de « préhistoire de la contraception », prédit la fin de l’ère de la contraception hormonale et l’avènement de moyens plus sûrs pour la santé.

En 1988, un éditeur courageux, François Xavier de Guibert, traduit et publie en France le livre du Dr Ellen Grant, Amère pilule. Ce document ne rencontre malheureusement aucun écho. Ellen Grant, gynécologue, a pourtant travaillé à la conception de la pilule outre-Manche. Véritable apôtre de la contraception hormonale dès ses débuts en 1961, – elle avait 26 ans – elle sonne le tocsin avec The Bitter Pill publié en Angleterre dès 1985…

Dans son livre, elle signale, preuves scientifiques et références à l’appui – plus d’une centaine d’études au total – les dangers vasculaires, de phlébite, d’accidents vasculaires cérébraux, d’infarctus du coeur chez des femmes jeunes, mais aussi de nombreux cas de cancers du sein, de l’utérus, du col et du corps utérin : prenez la pilule le moins longtemps possible ! Telle est sa conclusion.

En France Amère Pilule est préfacé par le Professeur Lucien Israël, grand cancérologue, qui confirme la mise en garde. Extrait : « En fait, s’agissant d’autres domaines de la médecine, il est vraisemblable que les produits entraînant de telles conséquences n’auraient jamais reçu l’autorisation de mise sur le marché… ».

En 1994, Ellen Grant récidive avec son excellent livre Sexual Chemistry : Understanding Our Hormones, The Pill and HRT comprenant 329 références scientifiques provenant des meilleures revues internationales, mais aucun éditeur n’ose prendre le risque de le faire paraître en France.

En 2001, je publie une alerte importante Femmes si vous saviez – les hormones de la puberté à la ménopause qui ne trouve aucun écho dans les médias. Un journaliste médical très médiatisé me fait savoir par personne interposée que jamais il ne parlera de ce livre. Black-out !

En 2004 sort une nouvelle édition de Femmes si vous saviez… Les femmes commencent à en parler entre elles. Elles s’inquiètent de l’augmentation du nombre de cas de cancer du sein chez leurs amies, leurs copines, elles mêmes. On leur explique que ce cancer est surtout lié au stress du monde moderne, à des chocs psychologiques récents ce qui est en partie vrai, mais en partie seulement. Quant aux cas de femmes jeunes développant des accidents vasculaires (infarctus cardiaques ou accidents vasculaires cérébraux) ou des cancers du col utérin, ils sont surtout dus au tabac… Evidemment. La pilule ne peut pas être en cause !
H
27 octobre 2013 13:09
La pilule contraceptive a été un progrès social pour les femmes , mais c est aussi dangereux pour la santé si on ne prend pas les précautions nécessaires. Les effets secondaires sont très nombreux.

Quel rapport entre la pilule et l'adultère ?


Citation
yallahah99 a écrit:
Je te pose la question = de quel droit tu insultes les femmes qui prennent la pilule?
"copuler" "tromper son conjoint"
Beaucoup de femmes se passeraient de prendre du chimique avec la crainte d'un effet négatif.sur leur santé.
Si les femmes prennent la pilule -je parle des musulmanes mariées- c'est parce que ça arrange bien leur
mari aussi. Que celui-ci n'a aucun effort à faire, pas de préservatif en période féconde, pas de "attention il faut que je me retire".
Car la pilule c'est aussi avant tout un confort pour l'homme! et une contrainte pour la femme.
Contrainte qu'elle accepte sachant que si elle ne la prenait pas, elle pourrait bien se retrouver enceinte
bien plus souvent qu'elle ne le désire.

Je te rappelle aussi que pour "copuler" il faut être 2 = une femme et un homme
que pour tromper son conjoint il faut avoir un partenaire.

Alors je te le redemande, de quel droit tu te permets en prenant le prétexte de la pilule et de ses méfaits
d'attaquer et d'insulter les femmes?
La femme prend des risques pour sa santé avec la pilule et elle le sait, mais a-t-elle le choix?
Cogite là-dessus!
A
27 octobre 2013 13:24
rapport à la fornication surtout !
N
28 octobre 2013 16:37
Salam,

Pilule et adultère = HS

Les femmes n'ont pas attendus la pilule quand elles voulaient tromper leur mari et pareil les hommes de leur côté n'ont pas non plus attendu le préservatif pour tromper leur femme.

Mais juste un petit mot pour encourager toutes les femmes à tenter de se faire poser le sterilet au cuivre. c'est la meilleur de toutes les contraceptions. Femmes avec ou enfants ou non on peut se faire poser le stérilet. Il permet de conserver un cycle naturel.

Mon gynéco qui a également lgps travaillé en hopital en chirurgie gynecologique et obstétrique me l'a dit et repété : il n 'y a pire choses que la pilule. Quand on voit la taille de ces miniscules comprimés et tous les effets qu'ils impliquent c'est dire à quel point ils sont chimiques !

En France on est en retard sur la pose du stérilet et on n'informe pas assez les femmes pour la pose du sterilet.

Et pour celles qui ne supportent pas le sterilet au cuivre il y a le sterilet hormonal (MIRENA) qui lui e deverse qu'une infime quantité d'hormones dans le corps contrairement à la pilule.

Voili voilou c'était pour info. Après chacune fais ce qu'elle veut, chacune est libre de choisir sa contraception, mais je trouve juste vraiment dommage que les femmes soient si mal informées à propos du sterilet
M
29 octobre 2013 21:03
Citation
AyseDeCharleroi a écrit:
Selam

Après son introduction en 1960, la pillule contraceptive a tué sans relâche.
Tout cela pour copuler, souvent tromper son conjoint et cela sans risque d'avoir un bébé

A combien de victimes peut-on chiffrer ce massacre ?
Je n'ai pas encore la réponse au moment où j'écris

Voici une petite historique de la contraception

[ethique-tic.fr]

Merci,c'est très interressant.
Je n'ai jamais pris de contraceptions de ma vie,ça m'a toujours fais peur la pilule,les sterilets,brrr!!
Maintenant que c'est rendu public je me dis que j'ai bien fait!
miskina.....
29 octobre 2013 23:47
Salam

Pareil que maman nour, je n'ai jamais pris la pilule et meme apres mon mariage je ne la prendrais pas..

 
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