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31 octobre 2005 21:57
la brûlure




Un jour, une princesse se promenait seule dans la forêt. a nuit commença à tomber, et elle se rendit compte alors qu'elle était loin de chez elle et se mit à pleurer car elle n'arrivait plus à retrouver son chemin.

eule dans cette forêt, elle avait froid, faim et très peur. lle marchait dans le but de retrouver son chemin quand soudain, elle aperçut une lumière au loin.

lle s'en approcha et vit une petite maison ; elle toqua à la porte et un jeune homme lui répondit , il s'étonna de voir une jeune fille à cette heure tardive de la nuit et lui demanda ce qui lui était arrivé.

lle répondit en sanglotant qu'elle s'était perdue, et il la fit donc entrer chez lui.

Il vivait seul, il se rappela cette phrase : « Quand deux personnes sont seules, haitane est la troisième personne ».

Il lui donna à manger, à boire ainsi que des vêtements chauds et lui présenta une chambre ou elle passerait la nuit.

Il s'assura qu'elle ne manquait de , puis il partit faire la prière. haitane lui dit de se dépêcher, car la princesse est seule dans l'autre pièce : c'est une belle fille, parfumée, séduisante.

Pour combattre haitane, le jeune homme enchaîna une prière à la suite d'une autre, pendant une bonne partie de la soirée.

Mais haitane continuait toujours à l'inciter à tenir compagnie à la princesse, et à commettre un péché.

C'est alors qu'il alluma une bougie, mit son doigt dans la flamme pendant quelques secondes jusqu'à ressentir une violente brûlure, puis retourna faire la prière jusqu'au lendemain matin.

Comme il faisait jour, il reconduisit la princesse chez elle ; celle-ci raconta tout ce qui s'était passé à son père, et lui dit qu'elle avait vu le jeune homme mettre son doigt dans la flamme d'une bougie, et avoir très mal.

e Roi convoqua alors le jeune homme et lui demanda pourquoi il s'était volontairement brûlé le doigt. Il répondit que c'était une affaire entre lui et llah.

Mais le Roi voulait absolument comprendre et força le jeune homme à répondre.

lors, il expliqua :

« a punition du péché est le feu de l' nfer : pour m'empêcher de commettre un péché, j'ai voulu ressentir la sensation du feu : c'est pour cela que j'ai mis mon doigt dans la petite flamme de la bougie, ceci m'a fait mal, même si c'était une petite flamme, alors j'ai pu imaginer un petit instant la punition du feu de l' nfer ! »

e pauvre jeune homme avait le doigt tout brûlé.

a princesse, qui avait tout entendu, se convertit à l'Islam et, touchée par la délicatesse de ce jeune homme, l'épousa.

forcez-vous à éviter les péchés...
f
31 octobre 2005 21:58
l amdoulillah




Un roi africain avait un ami d'enfance qui était très proche de lui. Cet ami avait une habi de curieuse : quelque soit l'évènement qui lui arrivait dans la vie , positif ou négatif, il disait : 'al hamdulah !'.

Un jour le roi et son ami partirent à la chasse. on ami prépara les fusils pour le roi. Mais il fit sans doute une bétise, car un des fusils explosa dans les mains du roi et le priva de son pouce.

au moment ou cet accident arriva, l'ami dit comme d'habi de 'el hamdoulah!'.

celà le roi qui était vraiment en colère lui dit : 'non , ce n'est pas génial du tout!' et en donna la preuve à son ami en le jetant en prison.

Un an plus tard, le roi chassait hors de son royaume et se fit cap rer par des cannibales et le firent prisonnier dans leur village. Ils l'attachèrent à un tronc , mirent du bois autour de lui et s'apprétèrent à le faire griller pour le manger.

Mais au moment où, ils allaient mettre le feu, ils s'aperçurent qu'il lui manquait un pouce. Une de leurs croyances étant qu'en le mangeant ils leur arriverait la mème chose, ils détachèrent le roi et le laissèrent partir.

ur le chemin du retour, exténué, choqué, il se souvint des circonstances dans lesquelles il avait perdu son pouce. peine arrivé, il se fit conduire à la prison pour parler à son ami.

'Tu avais raison , mon ami dit-il. C'était génial que je perde mon pouce.'

t il lui raconta ce qui lui était arrivé. 'Je te supplie de me pardonner de t'avoir laissé croupir en prison si longtemps. C'était mal de ma part de t'avoir fait celà.'

on ami lui répondit : 'Mais non , hamdoulah au contraire!'

'Qu'est-ce que veux dire Comment le fait de te jeter en prison, toi, mon ami, pourrait-il ètre une hamdoulah '

' i je n'avais pas été en prison , j'aurais été avec toi. t ils m'auraient mangé!'



' ois attentif envers llah e trouveras devant toi. Rappelles toi de UI ds l'aisance, I se rappelera de toi ds l'adversité. ache que ce qui t'a manqué ne pouvais t'être destiné et ce qui t'a atteind ne pouvais te manquer. ache que la victoire accompagne l'endurrance que le soulagement arrive apres l'affliction comme la facilité apres la difficulté' adith rapporté par thirmidi.
f
31 octobre 2005 21:59
e vol de la chemise




Une nuit, alors que Junayd aghdâdî était en train d'accomplir sa prière, un voleur se glissa dans la maison.


Junayd comprit qu'un intrus venait de pénétrer chez lui, mais il continua quand même sa prière.


e voleur cherchait des objets de valeur, mais tout ce qu'il put trouver fut une chemise neuve. Il la prit et sortit de la maison à pas de loup.


Junayd avait bien entendu tout ce chahut, mais il n'y avait prêté aucune attention, étant profondément concentré sur sa prière.


e bon vieux Junayd croyait vraiment que le voleur avait besoin de la chemise, et que le seul moyen de l'avoir était de la voler. C'est pourquoi il garda l'incident secret.


Quelques jours plus tard, tout en flâ t au marché, Junayd rencontra deux hommes qui se disputaient. « Pourquoi tout ce bruit » demanda Junayd qui était toujours soucieux de calmer les disputes. « é bien, expliqua le client, je veux acheter cette chemise à cet homme, et je veux être sûr qu'elle n'a pas été volée. Je veux qu'il me présente un témoin prouvant que cette chemise lui appartienne vraiment.


Mais il refuse d'amener un témoin ! » Junayd reconnut sa chemise et pensa : « Quelle coïncidence ! » Mais il décida de ne rien dire. Il s'offrit même d'être le témoin et, plus encore, il proposa d'acheter lui-même la chemise.


e client, impressionné par l'enthousiasme de Junayd, acheta immédiatement la chemise. Peu de temps après, le voleur apprit toute l'histoire. Il se souvint que Junayd n'avait rien chez lui présentant une quelconque valeur. Il se rappela comment Junayd n'avait jamais rien dit à propos du vol et comment il s'était porté témoin pour prouver que la chemise n'avait pas été volée.


on cœur se serra et il se sentit affreusement mal à cause de ce qu'il avait fait.


Il courut chez Junayd et tout en pleurant et implorant son pardon, il avoua son crime.


Il décida sur le champ de devenir un bon musulman et de ne plus jamais voler.


Et, d'après ce que racontent les gens, il tint sa promesse. e vieux Junayd n'était pas un saint réputé, mais par son acte, un frère musulman changea sa façon de vivre : de mauvais qu'il était, il passa au droit chemin.


Cette petite histoire nous apprend beaucoup de belles choses : trouver une excuse à quelqu'un qui nous cause un tort, lui pardonner, lui venir en aide, ne pas être attaché aux biens matériels de ce monde…


C'est ce que le comportement de Junayd nous enseigne. Mais le comportement du voleur nous apprend aussi qu'on peut commettre des péchés puis revenir sur le droit chemin.

j
31 octobre 2005 22:00
machaalah smiling smiley
f
31 octobre 2005 22:03
Il était une fois, à l’époque des califes abbassides, dans la capitale musulmane agdad, un grand savant connu pour sa sagesse. Cet homme avait passé sa vie à é dier le Coran et les paroles du Prophète et il était très pieux.

Jamais on ne l’entendait dire du mal de quelqu’un, se moquer des autres ni répéter des paroles inutiles.

Tout le monde l’aimait, car il avait toujours une parole gentille ou un sourire pour les gens qu’il rencontrait, et il était toujours prêt à aider les autres.

Un jour, l’un de ses voisins vint le trouver : s- ou alaykoum ! Wa alaykoum as- wa-rahmatou llahi wa-barakatouhou, répondit le savant.

ais- ce qu’on vient de me dire à propos de ton ami bd poursuivit le voisin. ttends un peu, répliqua le savant. Je vois que brûles d’envie de me dire quelque chose. Mais avant que me le dises, j’aimerais te faire passer un petit test. Cela s’appelle le test des trois filtres.

es trois filtres s’étonna le voisin.

xactement, poursuivit le savant. vant que ne me parles de mon ami, ce serait une bonne idée de prendre le temps de filtrer ce que comptes me dire. ous allons faire passer ce que voulais me dire dans trois filtres : ce qui en restera, pourras me le dire. C’est pourquoi j’appelle cela le test des trois filtres. Tu es prêt

Oui, répondit l’homme, de plus en plus étonné. ( n effet, quand il bavardait avec ses voisins, il n’avait pas l’habi de de prendre tant de précautions).

Commençons, dit le savant. Le premier filtre est celui de la vérité. s- bien vérifié que ce que veux me dire est vrai

on, répondit l’homme. n fait on vient juste de me le raconter et…

ien, dit le savant. onc, n’es pas du tout sûr que ce soit vrai. Le filtre de la vérité n’a pas gardé ce que voulais me dire. ssayons maintenant le second filtre, celui du bien. st-ce que ce que voulais me dire sur mon ami est quelque chose de bien

uh, non, au contraire…

h, poursuivit le savant. onc voulais me dire quelque chose de mal sur mon ami, mais n’es pas certain que ce soit vrai. Je ne sais pas si je vais pouvoir t’écouter…Mais peut être que réussiras quand même le test, car il reste encore un filtre : le filtre de l’utilité. i me dis ce que voulais me dire sur mon ami, est-ce que cela me sera utile

uh bien…non, pas vraiment.

lors, conclut le savant, si ce que voulais me dire n’est pas vrai, n’est pas bien et n’est même pas utile, ce n’est pas la peine de me le dire, ne crois pas

Les paroles peuvent faire beaucoup de mal, et il ne faut pas les répandre n’importe comment. Une parole qui n’est ni vraie, ni bonne ni utile ne vaut pas la peine d’être dite.

lors avant de te dire quelque chose, ou de répéter ce qu’on t’a raconté, n’oublie pas de soumettre tes paroles au test des trois filtres ! Cela t’évitera certainement des péchés. llah nous dit dans le Coran :



«Ô vous qui croyez ! e vous moquez pas les uns des autres, car il se peut que ceux-ci soient meilleurs que ceux-là. Que les femmes ne se moquent pas les unes des autres, car il se peut que celles-ci soient meilleures que celles-là. e vous calomniez pas les uns les autres, et ne vous donnez pas de sobriquets injurieux. Quel vilain mot que « perversion », quand on a déjà la foi. Ceux qui ne se repentent pas, voilà les injustes.» ( ourate 49, verset 11)



Le voisin, un peu confus, rentra chez lui et réfléchit longuement aux paroles du savant.

epuis ce jour, il étonna ses voisins en cessant d’écouter les bavardages inutiles, et en demandant à ceux qui voulaient lui raconter quelque chose :

« ttends un peu, ce que vas me dire, est-ce que c’est vrai est-ce que c’est bien est-ce que c’est utile ».

t c’est ainsi que cet homme, dont les gens avaient l’habi de de se méfier à cause de sa mauvaise langue, devint aimé et respecté de tous.
f
31 octobre 2005 22:07
l'ermite




u n rapporte que l'envoyé de dieu saws a raconté cette histoire.


Un ermite avait adoré allah dans son ermitage pendant soixante années.


Un jour comme la pluie était tombée abondamment et que la terre était verdoyante, il se pencha du haut de sa montagne et se dit:


t si je descendais et mentionnais cela me fera du bien !


Il descendit donc de son cloître avec un morceau de pain dans la main.


Pendant qu'il marchait, une femme le croisa et lui fit des avances.


Il ne cessa d'échanger des paroles avec elle et succomba à son charme...


Puis il perdit connaissance.


Une fois revenu à lui, il alla se baigner dans une source et reçut la visite d'un mendiant. Il lui donna alors le pain qu'il avait. Puis il mourrut





n apporta l'oeuvre des 60 années qu'on plaça sur l'un des plateaux de la balance puis on mit son péché (la fornication) dans l'autre plateau, qui pesa plus lourd que sont celui de ses oeuvres.


nsuite on rajouta le pain sur le plateau de ses oeuvres et il pesa plus lourd que son péché. n lui a ainsi pardonné.


J'ignore si cette histoire a vraiment été rapporté par le prophète donc ne l'utilisez pas comme source sûre avant de vérifier son authenticité!!!
k
31 octobre 2005 22:59
merci pour tout ces récits, kel beaux rapelle smiling smiley
f
1 novembre 2005 09:55
Le coiffeur




Un homme va chez le coiffeur pour couper ses cheveux et sa barbe.
Cet homme commence par avoir une bonne conversation avec le coiffeur qui l'écoute attentivement .Ils parlent ainsi ensemble de tant de sujets variables...

Soudain,ils évoquent le sujet d'Allah.Le coiffeur dit:

'Voyez-vous mon bon monsieur,je ne pense pas qu'Allah existe comme vous semblez tant le dire.'

'Pourquoi dites-vous ça?' demande le client.

'Bon , c'est très simple, il vous suffit d'aller dans la rue pour vous rendre compte qu'Allah n'existe pas. Dite moi si Allah existait pouquoi il y aurait tant de gens si triste ?

pourquoi il y aurait tant d'enfants abondonnés ? Si Allah existait il n'y aurait ni souffrance ni peine.Je ne pense pas qu'Allah permetterait toutes ses choses.'

Le client s'arrête un moment de penser, mais il ne veut pas répondre tant qu'il n'a pas trouvé un bon argument.

Le coiffeur finit son travail et le client sort du salon. Juste aprés avoir quitté le salon de coiffure il voit un homme dans la rue avec de long cheveux et une barbe (comme s'il était resté longtemps sans les avoir coupé et il avait l'air dans un piteux état).Et là le client retourne chez le coiffeur et il lui dit:

'Que se passerait-il si les coiffeurs n'existaient pas ?

'Qui viendrait chez quelqu'un qui n'existe pas ?' rèpond le coiffeur.

'Et puis moi je suis ici et je suis coiffeur'.

'Non!' -S'exclame le client. 'Ils n'existent pas car s'ils étaient là , il n'y aurait pas des gens avec de long cheveux et de la barbe comme cet homme qui marche dans la rue.'

'Ah, les coiffeurs existent bel et bien, ça c'est ce qui arrive au gens qui ne viennent pas me voir'

'exactement!' affirme le client . 'C'est le point fondamentale, c'est pour cette raison qu'il y a tant de peine et de souffrance dans le Monde. Allah existe bel et bien, c'est ce qui arrive aux gens qui ne vont pas vers Lui et qui ne cherche pas aprés Lui.'



eh oué, on pense pouvoir s'en sortir sans ALLAH mais sans lui, on est rien...on vaut rien.....et on arrivera à rien...comme 1 p'tit bébé abandonné par sa maman...

s
1 novembre 2005 10:02
fatima1205 a écrit:
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> Le coiffeur
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> Un homme va chez le coiffeur pour couper ses
> cheveux et sa barbe.
> Cet homme commence par avoir une bonne
> conversation avec le coiffeur qui l'écoute
> attentivement .Ils parlent ainsi ensemble de tant
> de sujets variables...
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> Soudain,ils évoquent le sujet d'Allah.Le coiffeur
> dit:
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> 'Voyez-vous mon bon monsieur,je ne pense pas
> qu'Allah existe comme vous semblez tant le dire.'
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> 'Pourquoi dites-vous ça?' demande le client.
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> 'Bon , c'est très simple, il vous suffit d'aller
> dans la rue pour vous rendre compte qu'Allah
> n'existe pas. Dite moi si Allah existait pouquoi
> il y aurait tant de gens si triste ?
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> pourquoi il y aurait tant d'enfants abondonnés ?
> Si Allah existait il n'y aurait ni souffrance ni
> peine.Je ne pense pas qu'Allah permetterait toutes
> ses choses.'
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> Le client s'arrête un moment de penser, mais il
> ne veut pas répondre tant qu'il n'a pas trouvé
> un bon argument.
>
> Le coiffeur finit son travail et le client sort du
> salon. Juste aprés avoir quitté le salon de
> coiffure il voit un homme dans la rue avec de long
> cheveux et une barbe (comme s'il était resté
> longtemps sans les avoir coupé et il avait l'air
> dans un piteux état).Et là le client retourne
> chez le coiffeur et il lui dit:
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> 'Que se passerait-il si les coiffeurs n'existaient
> pas ?
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> 'Qui viendrait chez quelqu'un qui n'existe pas ?'
> rèpond le coiffeur.
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> 'Et puis moi je suis ici et je suis coiffeur'.
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> 'Non!' -S'exclame le client. 'Ils n'existent pas
> car s'ils étaient là , il n'y aurait pas des gens
> avec de long cheveux et de la barbe comme cet
> homme qui marche dans la rue.'
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> 'Ah, les coiffeurs existent bel et bien, ça c'est
> ce qui arrive au gens qui ne viennent pas me voir'
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> 'exactement!' affirme le client . 'C'est le point
> fondamentale, c'est pour cette raison qu'il y a
> tant de peine et de souffrance dans le Monde.
> Allah existe bel et bien, c'est ce qui arrive aux
> gens qui ne vont pas vers Lui et qui ne cherche
> pas aprés Lui.'
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> eh oué, on pense pouvoir s'en sortir sans ALLAH
> mais sans lui, on est rien...on vaut rien.....et
> on arrivera à rien...comme 1 p'tit bébé
> abandonné par sa maman...
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Allah Ibark fik c'est bien dit

Au royaume de l'espoir, il n'y a pas d'hiver
j
1 novembre 2005 10:14
salam2 a écrit:
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> fatima1205 a écrit:
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> > Le coiffeur
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> > Un homme va chez le coiffeur pour couper
> ses
> > cheveux et sa barbe.
> > Cet homme commence par avoir une bonne
> > conversation avec le coiffeur qui l'écoute
> > attentivement .Ils parlent ainsi ensemble de
> tant
> > de sujets variables...
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> > Soudain,ils évoquent le sujet d'Allah.Le
> coiffeur
> > dit:
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> > 'Voyez-vous mon bon monsieur,je ne pense pas
> > qu'Allah existe comme vous semblez tant le
> dire.'
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> > 'Pourquoi dites-vous ça?' demande le client.
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> > 'Bon , c'est très simple, il vous suffit
> d'aller
> > dans la rue pour vous rendre compte qu'Allah
> > n'existe pas. Dite moi si Allah existait
> pouquoi
> > il y aurait tant de gens si triste ?
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> > pourquoi il y aurait tant d'enfants
> abondonnés ?
> > Si Allah existait il n'y aurait ni souffrance
> ni
> > peine.Je ne pense pas qu'Allah permetterait
> toutes
> > ses choses.'
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> > Le client s'arrête un moment de penser, mais
> il
> > ne veut pas répondre tant qu'il n'a pas
> trouvé
> > un bon argument.
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> > Le coiffeur finit son travail et le client
> sort du
> > salon. Juste aprés avoir quitté le salon
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> > coiffure il voit un homme dans la rue avec de
> long
> > cheveux et une barbe (comme s'il était
> resté
> > longtemps sans les avoir coupé et il avait
> l'air
> > dans un piteux état).Et là le client
> retourne
> > chez le coiffeur et il lui dit:
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> > 'Que se passerait-il si les coiffeurs
> n'existaient
> > pas ?
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> > 'Qui viendrait chez quelqu'un qui n'existe
> pas ?'
> > rèpond le coiffeur.
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> > 'Et puis moi je suis ici et je suis
> coiffeur'.
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> > 'Non!' -S'exclame le client. 'Ils n'existent
> pas
> > car s'ils étaient là , il n'y aurait pas des
> gens
> > avec de long cheveux et de la barbe comme
> cet
> > homme qui marche dans la rue.'
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> > 'Ah, les coiffeurs existent bel et bien, ça
> c'est
> > ce qui arrive au gens qui ne viennent pas me
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> > 'exactement!' affirme le client . 'C'est le
> point
> > fondamentale, c'est pour cette raison qu'il y
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> > tant de peine et de souffrance dans le
> Monde.
> > Allah existe bel et bien, c'est ce qui arrive
> aux
> > gens qui ne vont pas vers Lui et qui ne
> cherche
> > pas aprés Lui.'
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> > eh oué, on pense pouvoir s'en sortir sans
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> > mais sans lui, on est rien...on vaut
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