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Chibanis #6 : Omar et Mamah Tahiri, un couple plus soudé que jamais
A
7 octobre 2017 12:38
Voilà le "sacrifice" que nombreuses familles marocaines enduraient ,dèchirèes entre deux cultures,pour

s'intègrer dans celle du pays d'accueuil malgrè elles , ce fut une migration sur demande et apres l'avoir utiliser

et user ,les zemmour,sylvain et acolytes ,veulent les "rejeter" ça y est on a plus besoin de vous,voilà ,

je crois que notre communautè aurait besoin d'orateurs compètents afin de pouvoir relever le dèfi ,arguments

à l'appui ,tracasseries,droits bafouès et tout ce qui s'en suit ...
c
7 octobre 2017 13:18
Ce témoignage donne un aperçu sur la vie que mènent les MRE, surtout ceux qui ont vécu au Maroc avant de s'installer à l'étranger. Peut-être que le niveau de vie change, voir s'améliore, mais, vivre partagé entre deux terres, c'est vivre une vie qui manque de stabilité, une vie entre une terre désirée (pays d'origine) et une terre imposée (pays d'accueil) par les difficultés du quotidien. On vit avec l'espoir de rentrer, un jour, au bled pour finir ses jours là bas. Mais, on est contraint de ne pas quitter le pays d'accueil après la retraite ou une maladie pour ne pas perdre ses droits après des années de galère. Le rêve de rentrer au bled finira par se réaliser, malheureusement, pas pour y vivre les jours restants, mais pour y être enterré.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 07/10/17 17:22 par charmeur de serpent.
K
9 octobre 2017 18:30
Dans les années 80, la France n'a pas fait appel à la main d'oeuvre étrangère. Bien au contraire, sous la présidence de Giscard d'Estaing en 1974, la France proposait des primes de retour au pays pour les immigrés maghrébins.
La France a fait venir des immigrés de l’après guerre jusqu'au années 1960.
La personne dont il s'agit dans le reportage est venue en France pour fuir les difficultés et non pas à la demande de la France.
 
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