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faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Le haq, ne se dissocie pas, il faut l'accepter tel qu'il est, dans sa totalité, et toute dissociation, de quelque forme, soit-elle, ne peut qu'altérer son sens. Notre problème c'est cette tendance en nous de vouloir soumettre le haq, soumettre la vérité, au lieu de nous soumettre et nous conformer à elle.
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faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Comme j'avais dit, la vérité il faut la prendre dans sa totalité, comme un tout indissociable. Aussi, la question, concernant l'Attribut divin, concernant la Qualité divine, n'est pas seulement une question de croyance, mais aussi une question de sens, dans quel sens considérer cette Qualité divine, est-ce dans un sens de non dissociation, comme un toutt indissociable, ou au contraire, de dissociation.
Dans ce sens de non dissociation, la Qualité divine est vue sous ses différentes aspects, d'élévation et de proximité, de transcendance et d'immanence, l'un ne se dissociant de l'autre, tel c'est illustré par ce verset : « les regards ne L'atteignent pas et Lui atteint les regards ». Le fait que les regards ne L'atteignent pas c'est le fait que Lui atteint les regards, le fait de la transcendance, au-delà des regards et de toute chose, c'est le fait de l'immanence, en les regards et en toute chose, le fait de l'élévation, « Celui au ciel », c'est le fait de la proximité, « Il est plus près de lui que sa veine jugulaire ». C'est une différence de considération, et non de fait. La considération (élévation, proximité, istiwâ, ma'iyya, antériorité, postériorité, extériorité, intériorité, transcendance, immanence) c'est par rapport au crée, par rapport al-khalq (cieux, trône...), par rapport au relatif, le fait c'est par rapport al-Haq, par rapport à l'absolu. L'on peut dire aussi, la considération se rapportant à la qualification, le fait se rapportant au qualifié, la considération se rapportant à la manifestation, le fait se rapportant au manifesté ; le manifesté étant un, la manifestation est multiple.
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faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Comme j'avais dit, la vérité il faut la prendre dans sa totalité, comme un tout indissociable. Aussi, la question, concernant l'Attribut divin, concernant la Qualité divine, n'est pas seulement une question de croyance, mais aussi une question de sens, dans quel sens considérer cette Qualité divine, est-ce dans un sens de non dissociation, comme un toutt indissociable, ou au contraire, de dissociation.
Dans ce sens de non dissociation, la Qualité divine est vue sous ses différentes aspects, d'élévation et de proximité, de transcendance et d'immanence, l'un ne se dissociant de l'autre, tel c'est illustré par ce verset : « les regards ne L'atteignent pas et Lui atteint les regards ». Le fait que les regards ne L'atteignent pas c'est le fait que Lui atteint les regards, le fait de la transcendance, au-delà des regards et de toute chose, c'est le fait de l'immanence, en les regards et en toute chose, le fait de l'élévation, « Celui au ciel », c'est le fait de la proximité, « Il est plus près de lui que sa veine jugulaire ». C'est une différence de considération, et non de fait. La considération (élévation, proximité, istiwâ, ma'iyya, antériorité, postériorité, extériorité, intériorité, transcendance, immanence) c'est par rapport au crée, par rapport al-khalq (cieux, trône...), par rapport au relatif, le fait c'est par rapport al-Haq, par rapport à l'absolu. L'on peut dire aussi, la considération se rapportant à la qualification, le fait se rapportant au qualifié, la considération se rapportant à la manifestation, le fait se rapportant au manifesté ; le manifesté étant un, la manifestation est multiple.
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faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Comme j'avais dit, la vérité il faut la prendre dans sa totalité, comme un tout indissociable. Aussi, la question, concernant l'Attribut divin, concernant la Qualité divine, n'est pas seulement une question de croyance, mais aussi une question de sens, dans quel sens considérer cette Qualité divine, est-ce dans un sens de non dissociation, comme un toutt indissociable, ou au contraire, de dissociation.
Dans ce sens de non dissociation, la Qualité divine est vue sous ses différentes aspects, d'élévation et de proximité, de transcendance et d'immanence, l'un ne se dissociant de l'autre, tel c'est illustré par ce verset : « les regards ne L'atteignent pas et Lui atteint les regards ». Le fait que les regards ne L'atteignent pas c'est le fait que Lui atteint les regards, le fait de la transcendance, au-delà des regards et de toute chose, c'est le fait de l'immanence, en les regards et en toute chose, le fait de l'élévation, « Celui au ciel », c'est le fait de la proximité, « Il est plus près de lui que sa veine jugulaire ». C'est une différence de considération, et non de fait. La considération (élévation, proximité, istiwâ, ma'iyya, antériorité, postériorité, extériorité, intériorité, transcendance, immanence) c'est par rapport au crée, par rapport al-khalq (cieux, trône...), par rapport au relatif, le fait c'est par rapport al-Haq, par rapport à l'absolu. L'on peut dire aussi, la considération se rapportant à la qualification, le fait se rapportant au qualifié, la considération se rapportant à la manifestation, le fait se rapportant au manifesté ; le manifesté étant un, la manifestation est multiple.
Assalam alaikoum
Le sens de la Qualité divine c'est la non dissociation. Celui « au ciel » c'est Lui-même Celui « plus près de lui que sa veine jugulaire », Celui qui « s'est établi (istawâ) sur le trône », c'est Lui-même Celui « avec nous où que nous soyons », Celui le Premier c'est Lui-même Celui le Dernier, Celui l'Extérieur c'est Lui-même Celui l'Intérieur. Aussi, le sens de l'élévation ne se dissociant du sens de la proximité, le sens de l'istiwâ ne se dissociant du sens de la ma'iyya, le sens de l'antériorité ne se dissociant du sens de la postériorité, le sens de l'extériorité ne se dissociant du sens de l'intériorité.
C'est dans cette non dissociation que se conçoit le sens de non limitation, du Tanzîh, de la Qualité divine, et toute forme de dissociation, ne peut qu'altérer ce sens.
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faqir a écrit:Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Comme j'avais dit, la vérité il faut la prendre dans sa totalité, comme un tout indissociable. Aussi, la question, concernant l'Attribut divin, concernant la Qualité divine, n'est pas seulement une question de croyance, mais aussi une question de sens, dans quel sens considérer cette Qualité divine, est-ce dans un sens de non dissociation, comme un toutt indissociable, ou au contraire, de dissociation.
Dans ce sens de non dissociation, la Qualité divine est vue sous ses différentes aspects, d'élévation et de proximité, de transcendance et d'immanence, l'un ne se dissociant de l'autre, tel c'est illustré par ce verset : « les regards ne L'atteignent pas et Lui atteint les regards ». Le fait que les regards ne L'atteignent pas c'est le fait que Lui atteint les regards, le fait de la transcendance, au-delà des regards et de toute chose, c'est le fait de l'immanence, en les regards et en toute chose, le fait de l'élévation, « Celui au ciel », c'est le fait de la proximité, « Il est plus près de lui que sa veine jugulaire ». C'est une différence de considération, et non de fait. La considération (élévation, proximité, istiwâ, ma'iyya, antériorité, postériorité, extériorité, intériorité, transcendance, immanence) c'est par rapport au crée, par rapport al-khalq (cieux, trône...), par rapport au relatif, le fait c'est par rapport al-Haq, par rapport à l'absolu. L'on peut dire aussi, la considération se rapportant à la qualification, le fait se rapportant au qualifié, la considération se rapportant à la manifestation, le fait se rapportant au manifesté ; le manifesté étant un, la manifestation est multiple.
Assalam alaikoum
Le sens de la Qualité divine c'est la non dissociation. Celui « au ciel » c'est Lui-même Celui « plus près de lui que sa veine jugulaire », Celui qui « s'est établi (istawâ) sur le trône », c'est Lui-même Celui « avec nous où que nous soyons », Celui le Premier c'est Lui-même Celui le Dernier, Celui l'Extérieur c'est Lui-même Celui l'Intérieur. Aussi, le sens de l'élévation ne se dissociant du sens de la proximité, le sens de l'istiwâ ne se dissociant du sens de la ma'iyya, le sens de l'antériorité ne se dissociant du sens de la postériorité, le sens de l'extériorité ne se dissociant du sens de l'intériorité.
C'est dans cette non dissociation que se conçoit le sens de non limitation, du Tanzîh, de la Qualité divine, et toute forme de dissociation, ne peut qu'altérer ce sens.
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faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Comme j'avais dit, la vérité il faut la prendre dans sa totalité, comme un tout indissociable. Aussi, la question, concernant l'Attribut divin, concernant la Qualité divine, n'est pas seulement une question de croyance, mais aussi une question de sens, dans quel sens considérer cette Qualité divine, est-ce dans un sens de non dissociation, comme un toutt indissociable, ou au contraire, de dissociation.
Dans ce sens de non dissociation, la Qualité divine est vue sous ses différentes aspects, d'élévation et de proximité, de transcendance et d'immanence, l'un ne se dissociant de l'autre, tel c'est illustré par ce verset : « les regards ne L'atteignent pas et Lui atteint les regards ». Le fait que les regards ne L'atteignent pas c'est le fait que Lui atteint les regards, le fait de la transcendance, au-delà des regards et de toute chose, c'est le fait de l'immanence, en les regards et en toute chose, le fait de l'élévation, « Celui au ciel », c'est le fait de la proximité, « Il est plus près de lui que sa veine jugulaire ». C'est une différence de considération, et non de fait. La considération (élévation, proximité, istiwâ, ma'iyya, antériorité, postériorité, extériorité, intériorité, transcendance, immanence) c'est par rapport au crée, par rapport al-khalq (cieux, trône...), par rapport au relatif, le fait c'est par rapport al-Haq, par rapport à l'absolu. L'on peut dire aussi, la considération se rapportant à la qualification, le fait se rapportant au qualifié, la considération se rapportant à la manifestation, le fait se rapportant au manifesté ; le manifesté étant un, la manifestation est multiple.
Assalam alaikoum
Le sens de la Qualité divine c'est la non dissociation. Celui « au ciel » c'est Lui-même Celui « plus près de lui que sa veine jugulaire », Celui qui « s'est établi (istawâ) sur le trône », c'est Lui-même Celui « avec nous où que nous soyons », Celui le Premier c'est Lui-même Celui le Dernier, Celui l'Extérieur c'est Lui-même Celui l'Intérieur. Aussi, le sens de l'élévation ne se dissociant du sens de la proximité, le sens de l'istiwâ ne se dissociant du sens de la ma'iyya, le sens de l'antériorité ne se dissociant du sens de la postériorité, le sens de l'extériorité ne se dissociant du sens de l'intériorité.
C'est dans cette non dissociation que se conçoit le sens de non limitation, du Tanzîh, de la Qualité divine, et toute forme de dissociation, ne peut qu'altérer ce sens.
Assalam alaikoum
L'élévation comme la proximité, l'antériorité comme la postériorité, l'extériorité comme l'intériorité, c'est ce qui se rapporte à la considération, alors que dans le fait, dans l'absolu, au-delà de toute considération, c'est l'immuabilité et la subsistance absolue.
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Muslim 42 a écrit:
Assalamou aleykoum,
Des depats inutiles , se battre pour des interprétations sur des points que seul Dieu connait l interpretation et la verite. Qui te dit que les musulmans nie istawa 3ala arch. Personne ne le nie car cest ecrit dans le coran mais son interpretation = comment est inconnu , relisez la parole de l imam. Arrêter de vous perde dans des détails d interprétation et sur les sujets de divergences. c'est l arme du sheitane. appliquons la sunna d Allah c'est ce qui nous permettra d avoir incha Allah la miséricorde d Allah et sa satisfaction et le paradis. Pourquoi personne de parle de la sunna d Allah ?
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Muslim 42 a écrit:
Qui te dit que les musulmans nie istawa 3ala arch.
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Muslim 42 a écrit:
Assalamou aleykoum,
Juste pr finir car la discussion est inutile avec toi. Un conseil je ne sais pas si tu le sait mais seul Dieu connait ce qui a dans les coeurs. Tu es un etre Humain pas un Dieu , tu NES PAS UN DIEU QUI EST LE SEUL CAPABLE DE LIRE DANS LES COEURS. Je ne suis pas comme certaines personnes qui mettent les savants au rang de divinités et obeis de manière aveugle (3abada) et qui croivent qui ne détiennent que la seule et unique vérité. Tu te trompes en affirmant ce que tu dis, je ne l avait jamais lu. Mon 1er livre de référence est le coran et cest en lui que je cherche la guidance et non un livre de sheikh que je mets en 1er lieu en livre de guidance. Tu me rends koufar et d autre milliards de musulmans . Preserve toi du chatiment car ton orgueil et ton arrongance te masque la verite. Prends le coran en 1ere référence et cherche le a le comprendre et arrete d elever des savants au rang de divinité. Se sont aussi des humains et il n y a qu un seul Dieu ou les humains doivent chercher la guidance. Preuve sourate 1 al fatiha. Lis la apprend la comprend la medite la et surtout met la en application. Cest ca etre musulman.