Ce qu'il ne sait pas c'est que sans les Marocains, Sebta est morte.
Tous les commerces et attractions de la ville font leur approvisionnement au Maroc. Leur imposer des taxes douanières serait la pire des choses pour leur économie.
Il veut le beurre et l'argent du beuure. Mais que veulent-ils au juste. Ils ont pleurer deux ans durant pour ouvrir les frontières et voilà qu'ils font la fine gueule.
Profitez bien de votre séjour à Sebta, monsieur Juan Jesús Vivas, bientôt les vacances seront finies et vous serez obligé de rentrer à la péninsule ibérique.