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Des centaines de Mre s’installent au Maroc ! ! !
15 mai 2006 10:12
Il y a à peine cinq ans, les observateurs les plus avertis ne pouvaient prévoir le phénomène. Aujourd’hui, ce sont des centaines et, si le mouvement continue à s’amplifier crescendo, des milliers à décider de rejoindre le Royaume avec épargne et/ou savoir-faire. Ce phénomène s’inscrit dans un mouvement de ressourcement qui a bénéficié de l’« effet M6 ». Il mérite d’être examiné de plus près.
D’une douzaine de milliards de DH vers la fin du siècle dernier, la manne des transferts des MRE a évolué pour atteindre l’année écoulée plus de 36 milliards. Un coefficient-trois qui a énervé nombre de milieux politiques et fiscaux européens, au point que les justices italienne et française osèrent frapper à la porte des délégations de la première institution financière marocaine installée en Europe, à savoir la Banque Chaâbi, pour tenter de savoir ce qui s’y passe. Malgré son volume impressionnant, ce mouvement de transferts de devises n’était guère annonciateur d’une quelconque métamorphose du rapport des MRE au pays d’origine. « En réalité, les fluctuations politiques à l’intérieur des Etats européens ont engendré une immense angoisse parmi les personnes - jeunes et moins jeunes - issues de l’immigration. Les discours exclusionnistes et chauvinistes ont fleuri parmi les opinions publiques européennes.

En parallèle à ce mal-vivre sur le sol européen, le Maroc a opté pour la rationalisation de ses procédures et l’engagement des réformes nécessaires à l’encouragement de l’investissement. C’est, en tous cas, cela qui m’a incité à délocaliser au Maroc », me dit Abdelhafid H, revenu depuis quelques mois de Hollande où il possédait un atelier de design et de fabrication de mobilier professionnel. Installé actuellement dans la zone industrielle de Douar Laskar à Marrakech, il dessine et fait fabriquer par les artisans de la ville toutes sortes de meubles professionnels et domestiques. « En vérité, je n’ai pas délocalisé uniquement mon savoir-faire, mon outil de travail et mon épargne.

J’ai également drainé mon portefeuille de clients. Aujourd’hui, je peux livrer sous 48 heures. J’emploie directement six personnes dont quatre de niveau universitaire, sans compter les emplois indirects que j’évalue à une vingtaine de smics », conclut-il. Ahmed S. a fait ses études en France avant d’émigrer aux USA. L’après-11 septembre lui a été pénible. Pourtant, l’ensemble des signes de son intégration aux States étaient réunis : une épouse américaine dévouée, une belle demeure et un job gratifiant. Que s’est-il donc passé de si grave ? « Le regard des voisins, des collègues et même des caissiers du supermarket a changé. Je n’étais plus que l’Arabe à éviter et, quelquefois, à proscrire. Le président de l’association du quartier m’a clairement signifié le fait que je n’étais plus le bienvenu. Le choix de retourner au Maroc m’a d’ailleurs été soufflé par mon épouse qui a été jusqu’à saisir l’attorney des attitudes racistes dont j’ai été victime », me répond-il.

Le syndrome du faciès ne peut, à lui seul, expliquer le phénomène de retour de ces MRE qui ont décidé de prendre le train du développement du pays d’origine. La répugnance des Algériens issus de l’immigration, par exemple, à s’établir dans leur pays d’origine est là pour attester de l’existence de facteurs endogènes.

De là à affirmer que le Royaume soit devenu attractif et que la visibilité juridique et réglementaire face aux opportunités d’investissement ait atteint un niveau appréciable, il n’y a qu’un pas que des centaines de nos compatriotes de la deuxième et la troisième génération de MRE semblent avoir franchi sans grand mal. « Je ne peux pas dire que c’était facile. Au début, je ne comprenais pas certaines attitudes, réflexes et autres comportements de mes compatriotes marocains : le manque de rigueur, le peu de respect pour les règlements, la nonchalance et l’absence de ponctualité allaient mettre fin à mon rêve marocain. Mais au fur et à mesure que je maîtrisais les codes et que j’intégrais un mental rétif au stress, je me trouvais d’autres raisons de travailler ici », me confie Adil G., patron d’une PME spécialisée dans la fabrication, sous licence, de peinture marine, installée dans une zone industrielle de Rabat.

Nouvelles générations

Tout au long de cette enquête, nous avons rencontré un certain esprit de revanche chez les nouvelles générations issues de l’immigration. « Nos parents et grands-parents ont trimé durant des décennies pour contribuer directement à la prospérité de l’Europe. Pour cela, il n’ont récolté qu’indifférence et mépris. De plus, ils ont rêvé toute leur vie d’un retour joyeux au bled pour y goûter au repos et peut-être même y finir leur carrière. Je suis de ceux qui désirent ardemment faire aboutir ce rêve à travers ma génération », affirme Mustapha F.

Ce qui nous a le plus surpris, c’est l’hétérogénéité de cette population décidée à s’investir dans le destin entrepreneurial du pays, et ce malgré les décalages, les désemboîtements comportementaux et les procédures difficultueuses.

En effet, ces jeunes MRE - parce que la majorité d’entre eux n’a pas encore atteint la quarantaine - viennent de tous les milieux. Les parents étaient ou sont encore ouvriers, commerçants, d’extraction bourgeoise, de profession libérale ou même chômeurs endémiques. Ils semblent, en revanche, partager une somme de valeurs dont la plus flagrante est la ténacité. Soutenue en permanence par le désir de se joindre à l’effort modernitaire engagé par le Royaume à tous les niveaux de la vie économique, politique et sociale, cette ténacité tient du défi que l’on oppose, avant tout, à soi-même. « Que n’ai-je pas entendu, y compris de la bouche de mes propres parents, sur les obstacles administratifs, les tours de filouterie que je risquais de subir ici et même le degré de propagation de la corruption ? Mais j’ai décidé de m’assurer moi-même de la véracité de ces choses. Trois voyages initiatiques accomplis durant l’année 2004 ont réussi à déclencher en moi la décision de plier bagages pour m’installer ici. Si tu ajoutes à cela le fait que tu contribues quand même à la prospérité du bled, tu te dis que c’est vraiment le pied ! Un an et demi après, je ne regrette pas une seconde mon geste. L’aventure est trop belle pour être interrompue », atteste Ilias K., tenancier d’un petit motel-restaurant dans la région d’Agadir. Cette jeunesse n’a pas investi le seul champ entrepreneurial stricto sensu.

Elle a également intégré des institutions prestigieuses régionales, locales ou nationales. L’ingénierie de la lutte contre l’exclusion a été confiée par le Wali de Casablanca à un ex-travailleur social en France et ancien conseiller de Mme Aubry au ministère du travail et de la solidarité sociale. Mais un exemple autrement plus parlant est bien celui de Moulay Abderrahmane E.O., cadre supérieur de la première institution financière publique marocaine : la Caisse de Dépôts et de Gestion (CDG). Ex-centralien, ex-banquier à Paris, appartenant actuellement au staff de M. Bakkoury, ce jeune homme, armé d’un excellent savoir financier que la modestie n’aliène à aucun moment, offre l’exemple du MRE motivé, avant tout, par le service du pays. Il a préféré abandonner une situation quasiment directoriale à Parisau profit d’une fonction apparentée à un devoir sacerdotal.

« La CDG se trouve au centre de la mise à niveau économique et sociale de notre pays. Sous la direction de M. Bakkouri, elle conquiert des espaces partenariaux inédits, sans faillir aux impératifs que sont le retour sur l’investissement et la profitabilité. La feuille de route royale articulée autour de la modernité et assise sur la transformation du pays en immense chantier en vue des échéances historiques qui nous attendent est on ne peut plus claire. Pour ce qui est du rôle central de la CDG, la vision royale est mise en musique par un homme auprès duquel je suis fier de servir mon pays », dit-il. Quoi de plus élégant que ce souci de coller aux aspirations de la patrie d’origine ? Des jeunes MRE ont choisi de s’investir pleinement dans le caritatif en mettant à la disposition de leur ville, village, ou parfois douar d’origine, les process et les moyens logistiques de la lutte contre la grande pauvreté et les « fatalités du destin ». Les uns ont creusé des puits, d’autres ont récupéré des équipements médicaux et paramédicaux, d’autres encore ont créé des « entreprises d’insertion » à vocation associative...etc. « Après m’être aguerri à la confrontation avec la misère sociale et culturelle dans les banlieues françaises, j’ai regagné mon pays d’origine pour contribuer modestement à l’œuvre sociale initiée par le « Roi des pauvres », dit Abdellah Q., secrétaire général d’une association caritative souirie, qui ajoute aussitôt : « Continuer à travailler dans la transfusion pécuniaire d’un système bâti sur la gestion du chômage endémique dans les banlieues était devenu désuet à mes yeux. La reconnaissance s’est soustraite au profit d’un mépris qui ne disait pas son nom, mais que je ressentais à chaque instant. » Tout à coup songeur, il conclut : « J’avais l’impression d’allumer des bougies de glace pour illuminer des non-voyants. Aujourd’hui, je suis au service d’une œuvre qui me passionne et qui s’inscrit dans un élan de solidarité nationale impressionnant. A travers mon humble action, j’ai presque le sentiment de m’approprier l’Initiative de développement humain lancée par le Roi. »

Les femmes aussi

La gente féminine n’est guère absente du mouvement de retour au bled. Dans les secteurs de la communication, de l’esthétique, de la haute couture, de la joaillerie de luxe, de l’artisanat décoratif et même de l’industrie et du bâtiment, ce sont probablement des centaines et davantage à percer. On est immédiatement séduit par leur fierté à s’accomplir ici, alors qu’elles ne manquaient point de chances de réussir là-bas. « Ici, on me “voit” réussir. Là-bas, on garde le goût de sa réussite pour soi. Même ma propre famille ne pouvait se représenter mon épanouissement professionnel en Belgique. Une cousine m’a même traité de menteuse. Elle a dû s’excuser à mon troisième défilé de mode à Casa. », raconte Nadia. Lorsqu’elles se décident enfin à revenir définitivement au bled, les Marocaines issues de l’immigration rencontrent invariablement les problèmes de scolarisation des enfants. Francophones, hispanophones, italophones ou anglophones, ces derniers peineront à intégrer les établissements pédagogiques appropriés.

« Notre liste d’attente est équivalente à 28% de nos effectifs d’élèves. On n’y peut rien, c’est peut-être la rançon du succès. », nous confie un responsable du Lycée Victor Hugo de Marrakech. Fondatrice d’une unité de traitement, de conditionnement et d’exportation de produits esthétiques traditionnels marocains (henné, huile d’argan etc.), Aïcha L. n’hésite pas à recommander la création d’un groupement associatif fort, capable de « faire prendre conscience aux autorités de la gravité du problème de la scolarisation des enfants » rapatriés par leurs parents MRE : « Ce sont des Marocains qui ont droit à une scolarisation digne. J’ai dû faire changer mon fils d’établissement secondaire trois fois en deux ans ! Ce qui est asséné à mon fils durant l’année scolaire n’est jamais conforme à ce qu’on m’a promis à l’inscription. C’est inadmissible de laisser ces “marchands de l’enseignement privé” continuer à « commercer » tranquillement, se jouant ainsi du destin de nos enfants ».

Climat serein

Leïla, une amie également récemment retournée au pays, confirme le malencontreux désagrément, mais elle y met le bémol de saluer le nouveau code de la famille et la décision royale de permettre à la femme marocaine de transmettre sa nationalité d’origine à sa progéniture. « Nous avons obtenu des droits fondamentaux.

Les problèmes relevant de la gestion quotidienne de la chose publique ne résisteront pas longtemps à la dynamique de mise à niveau sociale du pays », affirme-t-elle. Si l’observateur peut aisément toucher du doigt l’enthousiasme communicatif trouvé auprès de ces MRE qui ont opté pour le retour et l’accomplissement de soi dans le pays d’origine, il acquiert vite la conviction qu’il existe de sérieuses difficultés auxquelles cette catégorie de nos compatriotes fait face non sans un certain courage. En effet, le déficit du pays en infrastructures hospitalières et en couverture sociale efficiente vient en tête de ces difficultés. L’absence d’une fiscalité capable de contextualiser - de préférence sans dispositifs pompeux - la démarche hautement salutaire de ce type d’investissement patriotique en est une autre. Le jeune Kamel Améziane le dit avec des mots bien plus pertinents.

A côté de ces soucis inhérents à la vie de tous les jours et qui, si l’on n’y prend pas garde, peuvent aliéner des carrières, voire des destins, la sempiternelle problématique de la représentation au sein de l’échiquier démocratique national continue à angoisser, parfois indigner, nos Marocains du monde devenus Marocains Résidents au Maroc (MRM). « Même si nous vivons dorénavant dans notre pays d’origine, nous ne pouvons tolérer le fait que la classe politique ait pu exclure, à ce jour, plus de 10% de nos concitoyens. Nous savons ce qu’ils ressentent pour l’avoir vécu nous-mêmes.

Il est temps de mettre bon ordre à ce déni de démocratie, notamment en prenant garde à ne pas resservir le traditionnel choix para-consulaire de type “amicalier”. A nos yeux comme aux yeux de nos concitoyens restés “là-bas”, cela pourrait mettre en péril le projet modernitaire et démocratique promis et initié par S.M. Mohamed VI », nous confie Ali D, récemment recruté par une grande école marocaine de gestion et de management. Le phénomène du retour au bled s’amplifie d’année en année. Ceux qui tentent l’aventure sont éblouis par le nombre et les dimensions des grands chantiers, le train des réformes engagées, la transformation accrue de l’environnement urbain au centre et à la périphérie des grandes villes, les ambitions permises par l’Initiative Nationale de Développement Humain (INDH). Mais ils s’estiment en droit de bénéficier d’une attention particulière du fait que la majorité d’entre eux ait pu trouver en elle assez d’audace pour oser croire au destin de la nation d’origine au détriment des opportunités offertes par le pays d’accueil. En vérité, les Fondations Mohamed V et Hassan II pour les MRE devraient étendre leurs (louables) services au champ de la réintégration de ces MRE, au lieu de leur « faire la fête » chaque été pour les zapper de leurs priorités à la veille de l’automne. Mesdames et messieurs, nous assistons à un phénomène digne d’intérêt et dont la portée historique, en termes de développement économique et social, ne tardera guère à s’affirmer. Saisissons les instruments institutionnels et convoquons notre imagination pour rechercher les réponses appropriées aux problématiques engendrées par la réintégration de ces concitoyens. Bienvenus, chers compatriotes !

Source - La Gazette du Maroc
t
15 mai 2006 19:15
m'rahba bikoum fi bladkoum.smiling smiley
le Maroc a besoin de tous ses enfants
t
15 mai 2006 21:41
moi aussi j´ ai remarqué que bcps des RME rentrent d´ une facon definitive au Maroc, ils ya bcps qui travaillent avec le privée mais aussi il ya des RME qui ont crées leur propre entreprise et sa marche très bien pour eux.

Moi aussi je vais rentrer très prochainement incha allah au Maroc pour créer ma propre entreprise.
a
15 mai 2006 21:47
moi aussi j'aimerai bien mais j'ai pas confiance en la justice marocaine et la corruption c'est vraiment un obstacle important. Devoir passer par un fonctionnaire à 2 balles pour avoir une autorisation contre bakchich alors c'est un peu rabaissant et surtout ça entretien cette corruption.
15 mai 2006 21:56
Citation
andi espoir a écrit:
moi aussi j'aimerai bien mais j'ai pas confiance en la justice marocaine et la corruption c'est vraiment un obstacle important. Devoir passer par un fonctionnaire à 2 balles pour avoir une autorisation contre bakchich alors c'est un peu rabaissant et surtout ça entretien cette corruption.
Méme avis que toi .
Pour avoir une autorisation , il faut payé tel ou telle personne , des fois ça suffit pas ,faut revenir car la personne n'est pas la , mais si on sors des billets il peux venir de suite ...
Rien n'est cohérent dans tous ça .
Tu vas te faire signée une feuille importante,tu rentre dans le bureau , ils sont 4 à boire le thé , et le monsieur te demande de passé demain,voir la semaine prochaine,alors que ça prend 5 minutes .
Moi j'ai pas encore confiance à ces Marocains, du tout , pas un pour rattrapé l'autre No no:
Un Chleuh parmi tant d'autre ...
15 mai 2006 22:02
moi ca fait 2 ans que je suis au maroc rien a faire je retopurne en france par contre le maroc pour la retraite tres bien
a
15 mai 2006 22:09
Voilà c'est triste y'a des pays qui profitent de leur diaspora pour se développer mais au Maroc y'a vraiment un problème, les grandes entreprises s'y installent car elles traitent directement avec le palais mais quand on est un entrepreneur lambda, il faut se farcir cette administration de merde.
t
15 mai 2006 22:17
"andi espoir" mon frère a crée sa propre entreprise sans donner aucun bakchich, 2 aures amis à moi ont crées aussi leur petites entreprise sans dificulté, donc il ne faut pas géneraliser.

et comme suis originaire de la ville de mohammedia, le nombres des francais qui créent leur propre entreprise ou bien qui travaillent pour le privée au Maroc augmente d´ une facon considerable.

Un jours j´ avais rencontré un francais proriaitaire d´ une entreprise d´ informatique et qui vis avec sa famille (sa femme et ces 2 enfants) depuis 4 ans à mohammedia m´ a dis la phrase suivante: les Marocains de l´ etranger (RME) sont plus exigents que les européens qui vienent vivre au Maroc.
t
15 mai 2006 22:25
Mais "andi espoir" tu peux créer ta propre entreprise en quelques jours en passant par le CRI (centre regional d´ investissement) essaye de les contacter et tu va voir.

[www.cri-agadir.ma]
a
15 mai 2006 22:34
je vais tacher de m'y réintéresser à nouveau !
s
15 mai 2006 22:40
certes la corruption; le ba9chich et les lourdeurs administratives sont une réalité marocaine, walakine à côté de celà, ya 1autre réalité: une volonté de changer de faire évoluer les choses. ça va pa disparaitre du jour au lendemain, mais c en train dévoluer, aujourdhui c plus facile de créer une pme kil ya encore 5 ou 6ans, on obtient son extrait de naissance, et d'autres papiers plus facilement, tt se modernise, notre pays est sur le bon chemin, maybe pas selon le rythme k'on désire mais ds tt les cas il y arrivera.
donc pour tt marocain désireux de retourner au bled: il faut s'y préparer mentalement, le début sera certainement dur, mais à côté ya un grooos avantage: on est chez soit!!!! et rien ke pour celà, ça vaut des sacrifices
comme a dit telev, si des français arriv à ouvrir des boites au Maroc, certes notre administration (malheureusement pour ns) leur donne plus d'égard kà ns marocains, walakine ils travailent avec des marocains, et sont arrivé à shabituer à la mentalité locale, alors serait-ce vraiment plus difficile pour un marocain de le faire??
ds tt les cas ça m'a fait hyper plaisir de lire cet article, le Maroc se prépare pour notre retour inchallahwinking smiley
l
15 mai 2006 22:58
De plus, c'est le plus beau pays du monde!..
a
15 mai 2006 23:17
toi tu portes bien ton pseudo (le citoyen)
t
16 mai 2006 10:01
je crois si on veux aider notre pays à se developper, il faut critiquer les points noir de notre administration et l´ incompetence de certains politiciens..etc mais il faut aussi avouer que le maroc se change doucement sans faire bcps de Blabla et sans propagande.
l
16 mai 2006 10:11
pour changer le Maroc il faut etre sur le terrain et combattre et non pas critiquer de loin.
a
16 mai 2006 13:00
cretiquer koi le maroc smiling smiley il y avait plus d'immigre francais qui sont arriver au maroc les 4 dernieres annes que marocains qui sont immigree en france dans la meme periode smiling smiley si sa veut dire quelqueshose eh beh c'est que les choses changent au maroc.

un blog d'un francais depuis son instalation au maroc tres interessante son histoir. smiling smiley
[www.blogwaves.com]
vraiment il m'a donne envie de rentrer moi aussi.
a
16 mai 2006 14:04
Bientôt, ce sera mon tour (IA) ...
k
16 mai 2006 16:33
Bonjour tout le monde

Le 31 mai 2006 c'est la date de mon départ definitif au maroc. Je suis tres content
J'ai eu ma mutation que j'attendais depuis 14 mois

bonne chane a toutes et a tous

kamal
M
16 mai 2006 17:23
Je suis tout à fait ok avec toi. Malheureusement, ils ne se rendent pas compte qu'ils sont en train de nous écoeuré plus qu'autre chose. tant qu'il y aura une justice à 2 vitesses le pays n'avancera jamais.
Les riches s'enrichissent et les pauvres s'appauvrissent ! Est-ce que l'on veut vraiment vivre comme ça?
s
16 mai 2006 20:01
les riches s'enrichissent, les pauvres s'appauvrissent, comme en France je crois!!!! on le vit ici quotidiennement. pire encore, vaudrait mieux être pauvre au Maroc ke pauvre en France, pck ici, le plus dur à vivre, c'est l'exclusion.
et puis ya une classe moyenne ki émerge aussi...ki avait disparu et ki se reconstruit petit à petit, de plus en plus de marocains peuvent se permettre lyouma de voyager, d'aller au restaurant... une petite proportion certes, walakine hadik la proportion évolue
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