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Femmes des années 2010…


Ces filles étaient pour la plupart indéniablement intelligentes, très cultivées, fines et pleines d’esprit. Elles savaient s’adapter à tous les milieux sans perdre pour autant de leur élégance. Je me souviens particulièrement de celle qui ne perdait rien de sa classe même dans un bistrot louche du XXème arrondissement de Paris. Elles demeuraient donc invariablement séduisantes, réussissant leur carrière sans perdre leur féminité. Elles étaient également émancipées, pratiquaient une sexualité apparemment joyeuse et libre affranchie de toute culpabilité, et de tout tabou…. Bien entendu, la plupart étaient soient de gauche soient très libérales et dans leurs milieux, les changements sociétaux étaient perçus comme allant de soi sans que cela ne pose aucune question. Les remettre en cause était du dernier ringard à leurs yeux. Elles vous regardaient alors non sans dédain malgré leur sourire de commisération, avec un peu de pitié pour tant d’aveuglement ou de naïveté. Elles aimaient refaire le monde avec idéalisme.

Cela, tout comme leur militantisme affiché, leurs engagements pour le décorum, pour les droits des femmes, pour la libération sexuelle, l’avortement, c’était le rôle qu’elles jouaient pour leurs amis, pour leurs collègues de travail, leurs correspondants Facebook pour épater la galerie donc. Ce n’était que leur « emploi » de comédie en quelque sorte. Car derrière tout cela, sans que cela ne soit forcément bien caché, il y avait l’envers du décor, la trame derrière la tapisserie.

Il suffisait la plupart du temps de discuter avec elles en tête à tête en confiance pour comprendre que ce n’était qu’une apparence. La plupart en effet rêvait du prince charmant comme dans les contes, elles redevenaient des petites filles des lumières dans les yeux lorsqu’elles en parlaient. C’était là une aspiration parfaitement incompatible avec leur désir de réussite sociale et professionnelle. Et puis la princesse finit toujours femme au foyer et ce n’est pas non plus une position certes tout à fait paradisiaque.

Realpolitik au bureau

Elles qui affirmaient vouloir des enfants le plus tard possible voire ne pas en avoir du tout fondaient toute en sensiblerie, gâtifiaient presque lorsque par hasard elles croisaient des minuscules, la progéniture d’une amie, celles de leurs connaissances. Je me souviens ainsi de celle-là qui passa bien dix bonnes minutes à câliner un petit bébé qui jouait les beaux indifférents à la caisse d’un grand magasin sous mes yeux un peu surpris. Quand des familles nombreuses passaient dans les cafés où nous allions je voyais son regard parfois se troubler un peu. Par la « magie » des progrès techniques, de temps je vais voir son « profil » de réseau dit social, je vois ses yeux gris se voilant progressivement de tristesse. Elle semble connaître enfin le prix de son indépendance.

J’apprenais souvent qu’au travail elles se laissaient faire de temps en temps par leurs chefs de service, d’un geste déplacé à un coït rapide sur le bord du bureau, acceptaient de porter des cafés et de faire des photocopies pendant les réunions, y fermant leur bouche, espérant grappiller ainsi un peu de salaire en plus. Elles n’aimaient pas ça, mais elles pratiquaient en quelque sorte une « Realpolitik ». Plus tard leurs ambitions seraient réalisés, cela nécessitait bien quelques sacrifices même les plus douloureux comme ceux suivant un « dernier tango ». Vieillissantes, elles tombaient de temps à autres sous la coupe de salopards sans filtres se comportant en gougnafiers avec elles sans qu’elles n’y trouvent à redire. Pour elles c’était inespéré croyaient-elles. Elles feignaient de croire qu’enfin elles avaient trouvé leur amoureux parfait.

Les célibattantes ayant subi les incartades baupinesques par leur rage à accuser quasiment tous les hommes de la même frénésie libidineuse ne veulent que se dédouaner de leurs compromis, de leur silence coupable. Elles veulent faire oublier leur lâcheté, leur peur, leur détestation d’elles-mêmes aussi. C’est à qui sortira son témoignage le plus fracassant, c’est à qui lancera la pétition la plus définitive. Je ne leur jette pas la pierre bien qu’étant sans doute caustique avec elles, je les aime bien, je les trouve émouvantes malgré leurs côtés pitoyables ou pathétiques. J’aurais préféré pour elles qu’elles le soient vraiment, libres…

[www.causeur.fr]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 14/02/17 12:27 par dezaid.

J 'ai posté cet extrait pour lancer le debat :

Les occidentales ont finalement les memes problémes que les musulmanes diplomées et actives dans leur rapport au mariage, aux hommes,leur quete du prince charmant...

Vos avis.

mon avis est que ce terme, célibattantes, est ridicule

Généralités, généralités...
Pleins de mépris et de clichés...

J'ai cru que c'était de toi j'allais etre impressioner la ,moi qui suis plein de faute d'orthographe et qui tourne mes phrase n'importe comment il y a beaucoup de vrai pas mal en tous cas PS EXPDR gougnafier.

Citation
dezaid a écrit:
J 'ai posté cet extrait pour lancer le debat :

Les occidentales ont finalement les memes problémes que les musulmanes diplomées et actives dans leur rapport au mariage, aux hommes,leur quete du prince charmant...

Vos avis.

Pourrais tu developper stp ? Parce que moi je le trouve pertinent .

Citation
amirene a écrit:
mon avis est que ce terme, célibattantes, est ridicule

Il prend au contraire des exemples concrets . Il argumente et explique son point de vue.

C'est plutôt toi qui balance que des généralités

Citation
Capestian a écrit:
Généralités, généralités...
Pleins de mépris et de clichés...

Et pourtant j 'ai mis la source en bas de l'article.
Moi aussi je laisse des fautes . La flemme de me relire et de me corriger ....

Citation
Jimmy2fois a écrit:
J'ai cru que c'était de toi j'allais etre impressioner la ,moi qui suis plein de faute d'orthographe et qui tourne mes phrase n'importe comment il y a beaucoup de vrai pas mal en tous cas PS EXPDR gougnafier.

les célidéprissives

beau texte qui sonnera vrai dans l'oreille d'une maghrébine approchant la ménopause et ayant tout misé sur sa carriere professionnelle, ayant collectionner les conquêtes, refuser tous les Khtabs qui s'offrait à elle jeune, repoussant ses parents à chaque rappel mariage....mais cela elles ne le diront jamais à une jeunette de 20 à 25ans... le discours yabiladi c'est fini tes études trouve un job tu verras plus tard c'est pas le plus important le mariage.... nn nn faites les choses en parallele c'est sur les bancs d'école qu'on trouve son amour et qu'on fait les choses bien...
Ces filles là comme ces hommes là ils ne leur restera que leur pensée ou photo de vacance bronzé pour montrer leur vie d'avant, pas de vie de famille des soirées seules interminables, le renouvellement de copine de plus en plus jeune car celle de leur générations se marient à tour de bras....d'ailleurs circonstances aggravantes pour les femmes l'homme peut tjrs concevoir un enfant à 50 ans chose difficile pour une femme.... d'où l'importance pour une femme de se marier plus jeune, et souvent elles sont les premieres à critiquer les femmes au foyer qui élevent une famille qu'est ce que tu fais toi? du travail tertiaire avec un matricule pour une entreprise capitaliste jusqu'à ta retraite à 70ans et jetter comme un kleenex à la fin sans une retraite digne de ce nom ni d'enfant pour venir la voir en hospice....

Citation
dezaid a écrit:
Femmes des années 2010…


Ces filles étaient pour la plupart indéniablement intelligentes, très cultivées, fines et pleines d’esprit. Elles savaient s’adapter à tous les milieux sans perdre pour autant de leur élégance. Je me souviens particulièrement de celle qui ne perdait rien de sa classe même dans un bistrot louche du XXème arrondissement de Paris. Elles demeuraient donc invariablement séduisantes, réussissant leur carrière sans perdre leur féminité. Elles étaient également émancipées, pratiquaient une sexualité apparemment joyeuse et libre affranchie de toute culpabilité, et de tout tabou…. Bien entendu, la plupart étaient soient de gauche soient très libérales et dans leurs milieux, les changements sociétaux étaient perçus comme allant de soi sans que cela ne pose aucune question. Les remettre en cause était du dernier ringard à leurs yeux. Elles vous regardaient alors non sans dédain malgré leur sourire de commisération, avec un peu de pitié pour tant d’aveuglement ou de naïveté. Elles aimaient refaire le monde avec idéalisme.

Cela, tout comme leur militantisme affiché, leurs engagements pour le décorum, pour les droits des femmes, pour la libération sexuelle, l’avortement, c’était le rôle qu’elles jouaient pour leurs amis, pour leurs collègues de travail, leurs correspondants Facebook pour épater la galerie donc. Ce n’était que leur « emploi » de comédie en quelque sorte. Car derrière tout cela, sans que cela ne soit forcément bien caché, il y avait l’envers du décor, la trame derrière la tapisserie.

Il suffisait la plupart du temps de discuter avec elles en tête à tête en confiance pour comprendre que ce n’était qu’une apparence. La plupart en effet rêvait du prince charmant comme dans les contes, elles redevenaient des petites filles des lumières dans les yeux lorsqu’elles en parlaient. C’était là une aspiration parfaitement incompatible avec leur désir de réussite sociale et professionnelle. Et puis la princesse finit toujours femme au foyer et ce n’est pas non plus une position certes tout à fait paradisiaque.

Realpolitik au bureau

Elles qui affirmaient vouloir des enfants le plus tard possible voire ne pas en avoir du tout fondaient toute en sensiblerie, gâtifiaient presque lorsque par hasard elles croisaient des minuscules, la progéniture d’une amie, celles de leurs connaissances. Je me souviens ainsi de celle-là qui passa bien dix bonnes minutes à câliner un petit bébé qui jouait les beaux indifférents à la caisse d’un grand magasin sous mes yeux un peu surpris. Quand des familles nombreuses passaient dans les cafés où nous allions je voyais son regard parfois se troubler un peu. Par la « magie » des progrès techniques, de temps je vais voir son « profil » de réseau dit social, je vois ses yeux gris se voilant progressivement de tristesse. Elle semble connaître enfin le prix de son indépendance.

J’apprenais souvent qu’au travail elles se laissaient faire de temps en temps par leurs chefs de service, d’un geste déplacé à un coït rapide sur le bord du bureau, acceptaient de porter des cafés et de faire des photocopies pendant les réunions, y fermant leur bouche, espérant grappiller ainsi un peu de salaire en plus. Elles n’aimaient pas ça, mais elles pratiquaient en quelque sorte une « Realpolitik ». Plus tard leurs ambitions seraient réalisés, cela nécessitait bien quelques sacrifices même les plus douloureux comme ceux suivant un « dernier tango ». Vieillissantes, elles tombaient de temps à autres sous la coupe de salopards sans filtres se comportant en gougnafiers avec elles sans qu’elles n’y trouvent à redire. Pour elles c’était inespéré croyaient-elles. Elles feignaient de croire qu’enfin elles avaient trouvé leur amoureux parfait.

Les célibattantes ayant subi les incartades baupinesques par leur rage à accuser quasiment tous les hommes de la même frénésie libidineuse ne veulent que se dédouaner de leurs compromis, de leur silence coupable. Elles veulent faire oublier leur lâcheté, leur peur, leur détestation d’elles-mêmes aussi. C’est à qui sortira son témoignage le plus fracassant, c’est à qui lancera la pétition la plus définitive. Je ne leur jette pas la pierre bien qu’étant sans doute caustique avec elles, je les aime bien, je les trouve émouvantes malgré leurs côtés pitoyables ou pathétiques. J’aurais préféré pour elles qu’elles le soient vraiment, libres…

[www.causeur.fr]

Concret ? Il est où le concret là ?

Donc on a des filles. Lesquels, les célibatantes donc. Ces dangereuses féministes (pardon filles, faut pas oublier le paternalisme), qui osent vouloir l'égalité, mais en célibataire. Car le célibat est une situation permanente évidemment.

Elles sont évidemment toutes bourrées de toutes les qualités (généralités évidemment, mais positive donc on s'en fout ?)
" Elles vous regardaient alors non sans dédain malgré leur sourire de commisération, avec un peu de pitié pour tant d’aveuglement ou de naïveté."
A mais non pardon, c'est juste pour justifier qu'elles soient hypocrites et méprisantes.

Bien évidemment, leurs valeurs et leurs convictions ne sont qu'une façade. Comme si une femme pouvait avoir des convictions. N'importe quoi
D'ailleurs cette façade ne sert qu'à bien se faire voir, puisqu'elles sont superficielles.

" La plupart en effet rêvait du prince charmant"
Car évidemment, il est impossible pour une vrai féministe d'avoir envie d'un homme avec pleins de qualités.
Nan mais sérieux, qui ici rêve de quelqu'un avec pleins de défauts ?

Tu vois à peu près où je veux en venir ou il faut que je continue ?
Donc oui je maintiens que cet article est un condensé de clichés qui en plus se prétend bienveillant tout en étant le contraire.

Citation
dezaid a écrit:
Il prend au contraire des exemples concrets . Il argumente et explique son point de vue.

C'est plutôt toi qui balance que des généralités

@amazighaitatta

Un peu misogyne ton discours. Et quelle haine envers les femmes!

Le sujet est que même les célibataires, carrièristes, femmes libres et émancipée en occident rêvent au fond de leurs coeurs et dans le secret de leurs chaumières de prince charmant et de romance.

Que malgré qu'elles soit intelligentes et cultivées et bonne situation professionnelle, elles continuent a être soumises, oui soumises a l 'homme : elles ramènent la café lors des réunions, font les photocopies, bref vous l aurez compris , restent corvéables pour l homme dont elles espèrent et recherchent les faveurs.

Que les femmes en occident ne sont pas aussi libres qu 'elles le croient, qu 'on le leur dit..



Modifié 1 fois. Dernière modification le 14/02/17 13:30 par dezaid.

célibayra c'est mieux

Citation
amirene a écrit:
mon avis est que ce terme, célibattantes, est ridicule

Bonjour

Disons que la vie d'une femme n'est pas aussi constante que celle d'un homme.

La femme vieillit plus vite que l'homme. Elle a beau vouloir la parité, elle ne l'aura jamais. Un homme est en forme jusqu'à ce qu'il meurt. Une femme, à partir de la ménopause et quelques années avant, la femme vieillit. Et ça commence déjà dès 45 ans. Parfois même plus tôt si on a une santé fragile. Donc se dire qu'on fera des enfants plus tard, c'est une erreur.

Il faut les faire quand on est jeune, quand le corps est en forme pour assurer les grossesses et quand on est en forme psychologiquement parlant pour suivre la vie trépidante de nos petits. Après 35 ans, ça y est, la machine ralentit pas mal. Et logiquement, ça tombe bien, nos enfants deviennent adolescents, ils peuvent refiler un coup de main. Et après 45 ans, là s'installe un rythme de croisière. Les rides apparaissent, les premiers cheveux gris aussi, et on est moins en forme qu'un homme, quoi qu'on en dise. Côté sexe, on a tendance à se mettre sur pause alors que notre mari pourrait se remarier avec une jeunette et vivre encore 15 bonnes années sans souci. Et il pourrait refonder une famille, de toutes manières, c'est la jeunette en question qui s'en occupera ... C'est son boulot.

Les célibattantes pensent qu'elles ont le temps. Elles veulent cette parité : profiter de leur jeunesse à faire ce qu'elles veulent à droite et à gauche et puis se caser une fois bourrée d'argent pour fonder une famille.

Mais à 30 ans passés, les belles années sont déjà parties. Et on n'a plus l'énergie d'une jeune déjà. On ne le sait pas à 20 ans. Mais à 30 ans, on sait qu'on n'aura pas 6 gamins. Un, ce sera déjà bien. Et quand on vit une première grossesse à cet âge, on sait que c'est difficile à supporter. Plus difficile que quand on a 20 ans. Y'a rien à faire.

On ne peut pas, quand on est une femme, avoir une famille et une vie à l'extérieur. Il faut choisir entre les deux. Celles qui arrivent à combiner les deux sont celles qui choisissent quand même un camp plus que l'autre. Soit elles jouent le jeu de la nounou et se consacrent à leur carrière avant tout. Soit elles préfèrent la vie de famille et n'acceptent qu'un travail à temps partiel ou à domicile ...

Et de toutes manières, une fois que les enfants sont là, ben on ne peut plus sortir comme on veut. Notre vie ne se résume, si on travaille à côté, qu'à une succession de devoirs et de contraintes. Déjà en étant maman, on n'a plus beaucoup de loisirs à côté, mais si on se rajoute une vie à l'extérieur, c'est fini. On n'existe plus du tout.

Je crois que les femmes ont oublié ce qu'elles étaient, à quoi elles servaient dans cette vie.

On est d'abord faites pour s'occuper des autres. Des hommes, des enfants et accessoirement des autres personnes. On ne peut pas avoir la même vie que les hommes. Un jour ou l'autre, on finit par le regretter.

Alors on peut être célibataire par défaut. Si on ne trouve pas, on ne trouve pas. Mais il faut quand même faire en sorte de se tourner vers l'humain.

J'ai connu une dame, en Tunisie, qui ne s'est jamais mariée, mais qui a finalement passé sa vie à s'occuper de toute sa famille. Elle a joué à la nounou, à la maman, à l'infirmière, à la cuisinière, à la femme de ménage pour le restant de sa famille. Et au final, elle a été contente de sa vie.

Là, dans mon voisinage, il y a une vieille fille française qui a la cinquantaine, elle vit dans le même quartier que sa mère. Au final, elle s'occupe de sa maman, promène le chien des voisins qui sont au travail. Parfois elle va faire des courses pour les vieux du quartier, ou va les conduire à droite ou à gauche. Elle vit des pourboires recueillis ça et là et certainement que maman l'aide financièrement un peu. Et elle est contente comme ça aussi.

A côté de ça, il y a toutes ces vieilles célibataires endurcies dans la résidence qui critiquent les hommes quand elles sont entre elles, mais qui pourtant sont pleines d'entrain pour dire bonjour aux voisins mariés qui passent par là, sait-on jamais, certains pourraient avoir envie de nouveautés dans leur vie. Surtout que leurs femmes, généralement, elles ne sont pas forcément aussi bien conservées qu'elles et avec les enfants, difficile de s'amuser, n'est-ce pas ?

Bref, des aigries, c'est vrai, qui finalement ont cet air aigri par la vie qu'elles ont mené.

Parfois, je les envie car elles voyagent, ont toujours de beaux habits, sont coiffées à la mode, sont restées minces au cours des années. Et puis, quand je vois avec quelle mépris elles vous disent bonjour, et encore, quand elles vous le disent, surtout qu'avec les hommes mariés elles sont là à jubiler ... Au final, elles me font plus pitié qu'autre chose ...

Pauvres filles, va.

PS : merci, ce post est un clin d'oeil à toutes ces vielles femmes qui tournent autour de mon mari et aussi à celles qui travaillent à la PMI et qui crachent sur les assmats car elles ont su concilier vie de couple et travail à domicile pour leur propre bien-être.

Citation
dezaid a écrit:
J 'ai posté cet extrait pour lancer le debat :

Les occidentales ont finalement les memes problémes que les musulmanes diplomées et actives dans leur rapport au mariage, aux hommes,leur quete du prince charmant...

Vos avis.

Que de généralités dans tous les sens! Je connais des mères célibataires qui galèrent avec leurs trois gosses, qui se sont mariées dans les règles etc mais à qui les maris l'ont faite à l'envers...et bien beaucoup ne vivent pas bien, beaucoup galèrent à retrouver quelqu'un, et beaucoup finissent par enchaîner les mecs parce qu'elles ne font plus confiance. Sauf qu'en plus elles ont trois gosses, pas de temps pour elles, pas de temps pour construire une relation, sont frustrées etc. Et pourtant on ne peut pas dire que ce soit vraiment de leur faute puisqu'au départ elles l'avaient joué mariage etc.

Quand aux "vieilles aigries"...j'en connais qui se marient à 40 ans et sont hyper épanouies, n'ont pas besoin de s'occuper d'enfant, et ont parfaitement trouvé chaussure à leur pieds. Et sont bien contentes de voyager, effectivement. Pas parce que certaines femmes tournent atour de ton mari qu'il faut juger toutes les autres et imaginer leurs vies....

@ Cathy

Merci pour ton avis étoffé. J 'ai aimé avoir ton point de vue.

je trouve ce terme ridicule car encore une fois, on essaie de faire rentrer les femmes dans des cases
et ces cases sont bien souvent un ramassis de généralités (fausses) qui ne concerne finalement personne

il s'agit encore une fois d'un article misogyne qui dénigre la femme au travail et qui voudrait que celle qui a réussi aurait accordé ses faveurs pour (si ta sœur réussit demain, tu aimerais que tout le monde dise que c'est parce qu'elle a donné son corps en échange ?)

j'ai plusieurs amies célibataires aux alentours de 35 ans
si elles ne sont pas mariées, ce n'est pas parce qu'elles ont repoussé les prétendants mais parce qu'il n'y avait pas de prétendants, tout simplement
personne ne rêve de finir sa vie seul

Citation
dezaid a écrit:
Pourrais tu developper stp ? Parce que moi je le trouve pertinent .

aucune misogynie et je ne généralise pas sur toutes les femmes mais une partie aveuglée par le systeme, celle qui ont tous misées uniquement sur leurs études, carrieres, vie libertine à l'européenne le regrettent souvent car comme tu le dis tu seras soumis mm pas à l'homme mais au système quoi qu'il en soit..et tu te retrouveras seule ou seul... tu peux mettre sur le mm paralléle les hommes mais comme je l'ai dit l'homme peut concevoir une famille jusqu'à 80 ans s'il le souhaite avec de l'aide bleue...
au lieu de voir de la haine dans le message, j'y vois un encouragement pour les jeunettes de construire sa vie maritale et professionnel dans le même moment...car une fois pris par la tourmente du boulot metro dodo tu n'auras plus le temps de trouver l'amour ou tu tomberas sur des rdv sans lendemain de plus en plus avec l'age

Citation
dezaid a écrit:
@amazighaitatta

Un peu misogyne ton discours. Et quelle haine envers les femmes!

Le sujet est que même les célibataires, carrièristes, femmes libres et émancipée en occident rêvent au fond de leurs coeurs et dans le secret de leurs chaumières de prince charmant et de romance.

Que malgré qu'elles soit intelligentes et cultivées et bonne situation professionnelle, elles continuent a être soumises, oui soumises a l 'homme : elles ramènent la café lors des réunions, font les photocopies, bref vous l aurez compris , restent corvéables pour l homme dont elles espèrent et recherchent les faveurs.

Que les femmes en occident ne sont pas aussi libres qu 'elles le croient, qu 'on le leur dit..

je comprends ton discours

Mais non il ne dit pas que TOUTES les femmes qui ont reussi ont du subir le harcelement sexuel au travail et passé par une sorte de droit de cuissage . On connait toutes des femmes brillantes qui ne doivent leur place qu au merite et a leur intelligence

L auteur deplore juste que meme celles qui sont arrivées , il parle donc des femmes qui ont reussi honorablement et par elles memes, doivent se plier au desiderarta des hommes au travail, comme ramner le cafe dans une reunion et faire les photocopies , c est ce comportement là qu il denonce car mysogine

Il ne dit pas que toute les femmes le font , mais seulement celles qui en veulent encore plus ..

Il constate aussi que la femme , malgre le statut et la carrière, la reussite , ne reve que comme les autres femmes, sans bagages ni reussite , d amour et de prince charmant et conclut que les femmes meme eamncipées ne sont pas reellement libres . Et je suis d accord avec lui

Il faut voir les choses sous son angle . Mais j ai compris ton point de vue.

Citation
amirene a écrit:
je trouve ce terme ridicule car encore une fois, on essaie de faire rentrer les femmes dans des cases
et ces cases sont bien souvent un ramassis de généralités (fausses) qui ne concerne finalement personne

il s'agit encore une fois d'un article misogyne qui dénigre la femme au travail et qui voudrait que celle qui a réussi aurait accordé ses faveurs pour (si ta sœur réussit demain, tu aimerais que tout le monde dise que c'est parce qu'elle a donné son corps en échange ?)

j'ai plusieurs amies célibataires aux alentours de 35 ans
si elles ne sont pas mariées, ce n'est pas parce qu'elles ont repoussé les prétendants mais parce qu'il n'y avait pas de prétendants, tout simplement
personne ne rêve de finir sa vie seul

J'ai jamais vu une femme ayant réussi apporter le café dans une réunion, c'est n'importe quoi...Quand aux photocopies si tu le fais c'est parce que c'est ton job, pas parce que tu es une femme. Je sais pas ou bosse l'auteur de ce texte, mais en 15 ans de métier je n'ai jamais vu ce qu'il "dénonce". Pourtant j'ai vues des femmes magistrates, chefs de service, avocates....jamais elles n'accepteraient de "faire le café", ce serait hyper dégradant pour elles et elles ont tout à y perdre, surtout pas à y gagner.

Maintenant que tu le dis , moi non plus je ne vois pas ces femmes brillante a haut niveau apporterle cafe dans les reunions

On sait pas de quel milieu il parle , mais j ai jamais vu non plus. En fait je concois meme pas.